Doué-la-Fontaine

paraître, seul, les Caractères ou les Mœurs de ce siècle , de manière anonyme, et qu’il augmentera au fil des rééditions, jusqu’en 1696. Élu à l’Académie Française, en 1693, il y fait l’éloge des Anciens, comme Jean de la Fontaine. Il meurt à Versailles, d’une apoplexie, avant que d’avoir eu le temps d’achever Dialogues sur le Quiétisme. Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle est une œuvre sur laquelle il a travaillé dix-sept

circulèrent retombant toujours sur le dos de Rudolph, qui, comme nous le savons était le plus vif et parfois même agressif des deux. Malgré ça les deux frères occupaient tous les deux une grande place dans leurs entreprises : Rudolph le commercial doué, assez imprévisible et abrupt et Adi plus tendre toujours à l’écoute des autres. Le propriétaire d’un magasin de chaussure en Bavière vint un jour à Herzogenaurach et sonna à la porte de la famille de Rudolph. Sa femme l’accueillit sur le perron en

Sablière, le savant Huet, évêque d'Avranches, Ménage, madame de Sévigné, la Fontaine, Racine, Molière, Fontenelle, etc. Quant à Jean de la Bruyère, tel est son jugement : « Où il est mauvais, il passe bien loin au-delà du pire, c'est le charme de la canaille ; où il est bon, il va jusqu'à l'exquis et à l'excellent ; il peut être le mets des plus délicats. » Certes, le Pantagruel est le mets des plus délicats, de la Fontaine, de Molière, de la Bruyère lui-même. Quant à charmer la canaille, si l'on

sagesse, ni avec la richesse du savoir, loin de là. Eudémon, Frère Jean et Gargantua lui-même révèlent souvent leurs valeurs humanistes lors des scènes de repas qui rappellent la joie symposiaque du Banquet de Platon. Par exemple, Eudémon, le « bien doué » ou le « bon génie », le soir au souper se présente devant Grandgousier comme un modèle de la bonne éducation qui allie les gestes appropriés, à l’éloquence, à la beauté du corps et au « langage fleuri ». Gargantua, au chapitre XXIII, est mis en

moment même où l’artiste lui confère le statut d’œuvre d’art que sont les ready-made de M.Duchamp par exemple. La question qui se pose alors est celle de l’importance quelconque ou pas, qu’un objet fabriqué industriellement (comme l’urinoir intitulé Fontaine de 1917) et choisi comme ready-made, soit représenté dans un musée par un autre objet ayant l’air tout aussi anonyme et lui ressemblant beaucoup. « Non, c’est une phrase telle qu’elle s’épingle à un objet absolument quelconque, et qui dit : ceci

le vers 13, on peut faire une lecture rétrospective du début du poème, en considérant que l'oiseau représente l'auteur : il faut donc le lire deux fois. - La structure du texte est un peu celle d'un apologue (voir Fables de La Fontaine) : on a d'abord une anecdote, une petite histoire (qu'on appelle « l'exemplum » dans une fable) et ensuite une morale qui peut, comme ici, être explicite. C'est une structure

Rousseau va alors tout abandonner : ces études, son protecteur, son percepteur, et va commencer la vie d’un vrai vagabond. Il part « le cœur saturé de joie », avec son ami Bâcle ( qui n’est pas encore parti pour Genève). Ils ont avec eux « une fontaine de Héron ». Ils sont heureux de voyager, et vont arriver à Chambéri (et non Chambéry, comme actuellement). Rousseau se lasse de la présence de Bâcle à ses côtés, car il veut aller retrouver Mademoiselle de Warens. Bâcle va donc laisser Rousseau à

……………...…………………………………… III. La Grèce antique ………………….…..…………………………… IV. La Rome antique …………..…………….………………………… V. La Gaule …………..………………………………………….…… VI. Alep en Syrie ……………………………………………………… VII. La France carolingienne …………………...……………………… VIII. La fontaine d’Arlette ……………………………………………… IX. Les lavandières du Moyen-Âge …………………………………… X. Le savon de Marseille ………...…………………………………… XI. Le règne de Henri IV ……………………………………………… XII. Le siècle de Louis XIV ………………………………….………… XIII. Le siècle des Lumières…………………

d'accéder à une vérité cachée. Rimbaud désignait son travail de poète comme une « alchimie du Verbe » : pour lui, qui poussa la quête poétique à l'extrême en exploitant toutes les ressources du langage, le poète devait être « voyant », en d'autres termes doué de pouvoirs quasi surnaturels, par lesquels il accédait à une autre réalité. Pour se faire voyant, il devait se soumettre à un « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », entendons vivre des expériences — drogue, alcool, marginalité

il y avoit peint au premier septième une Verge, et des Serpens s’engloutissans (V), au second septième, une Croix, où un Serpent étoit crucifié (VI) ; au dernier septième étoient peints des Déserts, au milieu desquels couloient plusieurs belles Fontaines, dont sortoient plusieurs Serpens, qui couroient par ci et par là (VII). Au premier des feuillets y avoit écrit en Lettres grosses capitales dorées Abraham Juif, Prince, Prêtre, Lévige, Astrologue, Philosophe, à la Nation des Juifs, par l’ire de