Dominique de Villepin

recherche et le ministre de l'outre-mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 11 juillet 2006. Par le Premier ministre Dominique de Villepin Le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, Gilles de Robien Le ministre de l'outre-mer, François Baroin 27 LE SOCLE COMMUN DES CONNAISSANCES ET DES COMPÉTENCES titre du document

Terrot, Roland Vuillaume, Bernard Debré, Emmanuel Aubert, René Couveinhes, Etienne Pinte, Georges Gorse, Philippe Séguin, Edouard Balladur, Claude Barate, Nicolas Sarkozy, Michel Giraud, Jean Falala, Mme Françoise de Panafieu, MM Robert Poujade, Dominique Perben, Charles Paccou, Gabriel Kaspereit, Mme Martine Daugreilh, MM Eric Raoult, Richard Cazenave, Jean-Louis Masson, Mme Lucette Michaux-Chevry, MM Michel Péricard, Antoine Rufenacht, Jean-Louis Debré, Gérard Léonard, Jacques Toubon, Jean-Michel

maritime, la raffinerie, les clients finaux (particuliers), ou les groupes vendant du pétrole. Le pouvoir est donc modéré, voire fort. Une analyse Modèle Porter Cas Total (Rôle de l’État) Rôle de l’Etat : dans Capital d’octobre 2005, Dominique de Villepin déclarait « nos capacités de raffinage sont saturées et ne permettent pas de répondre convenablement à la demande ». Il revient « à TOTAL et aux autres entreprises pétrolières, qui réalisent des profits importants, d’engager rapidement

des hommes et des femmes nouveaux en politique[18]. Nicolas Sarkozy, président de l’UMP, a réussi à se situer à distance de la politique du gouvernement sortant. Ses fortes divergences avec le président Jacques Chirac et le Premier ministre Dominique de Villepin ont du coup été très bénéfiques pour lui. Le parti majoritaire pouvait ne plus être jugé sur son bilan ! Au Parti socialiste, Ségolène Royal a aussi joué sur sa marginalité. Elle n’était pas au départ la favorite de l’appareil, « plusieurs

gaz naturel liquéfié avec la société pétrolière malaisienne Petronas. Le groupe français a investi plus de deux milliards de dollars dans ce projet opérationnel depuis 2002. Total serait intervenu directement auprès de Jacques Chirac et Dominique de Villepin pour éviter des sanctions internationales contre l'Iran dans le dossier de l'enrichissement d'uranium (Le Monde du 23 septembre 2006). Le parquet de Paris a ouvert en décembre 2006, une information judiciaire pour « abus de biens sociaux

est le chef des armées en France ? A) Le Président de la République B) Le ministre de la Défense C) Le Premier ministre D) Un général nommé en Conseil des ministres 88. Qui est ou a été Secrétaire général de l’UMP ? A) Christine Boutin B) Dominique de Villepin C) Jean-François Copé D) Nicolas Sarkozy 89. Qui était opposé à J. Chirac au deuxième tour de la présidentielle de 1995 ? A) Laurent Fabius B) Lionel Jospin C) Jean-Marie Le Pen D) Edouard Balladur 90. Quel est le nombre de communes en France

mots-clés de la géographie, Madeleine Michaux Histoire du Moyen Âge, Madeleine Michaux Histoire de la Renaissance, Marie-Anne Michaux Citations philosophiques expliquées, Florence Perrin et Alexis Rosenbaum L’Europe, Tania Régin Histoire du XXe siècle, Dominique Sarciaux Citations de culture générale expliquées, Hélène Sorez et Jean-François Guédon QCM Histoire de l’art, David Thomisse Comprendre le protestantisme, Geoffroy de Turckheim Petite histoire de la Chine, Xavier Walter Jean-Paul Roig Citations

française. Non seulement parce qu’il s’y intéresse, mais parce que les principaux acteurs se servent parfois de lui pour faire passer des messages. Il me raconte comment Omar Bongo est intervenu dans le différend entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, avant 2007, et a pris l’initiative de les inviter à se rendre tous deux à Libreville. « Sarko a accepté, DDV a refusé. À partir de ce moment, mon père a régulièrement conseillé Sarko, qui l’a beaucoup 44/264 écouté. En 2007, avant

intérieure française. Non seulement parce qu’il s’y intéresse, mais parce que les principaux acteurs se servent parfois de lui pour faire passer des messages. Il me raconte comment Omar Bongo est intervenu dans le différend entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, avant 2007, et a pris l’initiative de les inviter à se rendre tous deux à Libreville. « Sarko a accepté, DDV a refusé. À partir de ce moment, mon père a régulièrement conseillé Sarko, qui l’a beaucoup 44/264 écouté. En 2007, avant même

nouveau Gouvernement, en faisant du 1er ministre un exécutant de ses volontés politiques. En 2005, l’échec du référendum sur la Constitution européenne a conduit le Président à changer de 1er ministre et de Gouvernement. Il a ainsi nommé Dominique de VILLEPIN : 1er ministre. 6. La période sarkoziste : un interventionniste exacerbé Le nouveau Président élu en 2007 fait preuve d’un activisme hors du commun, au point d’accaparer la politique gouvernementale. Il est en première ligne sur tous