Dom Juan Burlesque

rire est problématique et énigmatique. En général on rit pour quelque chose, or la il n'y a pas de sens à son rire = cela installe le mal aise dans la salle. Ce rire fait en même temps basculer cette première scène dans le burlesque. D'emblée on nous impose un registre le burlesque : on nous fait rire sur des choses dramatiques. « On rit de l'humain qui semble cesser momentanément d'être humain pour devenir pure mécanique, automate enfermé dans la répétition ou la caricature. Le comique, c'est du

Espagne (Calderon, Lope de Véga) mais aussi en France (Corneille, Rotrou), en Hollande (Vondel) et en Angleterre (John Ford). Le genre romanesque se distribue en "roman précieux" à la française dans le sillage de l'Astrée, ou en roman picaresque ou burlesque (Sorel, Scarron) ; l'essai philosophique, théologique, politique, scientifique connaît un essor lié au développement de la méthode et de la science (Descartes, Galilée, Francis Bacon, Hobbes, Grotius, Pascal) ; la poésie lyrique a pour représentants

de pair avec la liberté de pensée. Il fréquenta les libertins érudits qui, notamment dans le domaine philosophique, vont à l’encontre des idées communément admises. C’était un écrivain polygraphe, volontiers satirique pratiquant le grave comme le burlesque. Loin de se chercher un genre qui lui amènerait la gloire, il écrit toujours avec cette volonté de faire violence aux conventions, de faire voler en éclats le discours traditionnel, et d’affirmer sa libre pensée. La Mort d’Agrippine, tragédie

s’accompagne d’une grande souplesse de sujets et de genres : la plupart du temps consacré au lyrisme et l’expression amoureuse (Ronsard, Louise Labbé) il peut aussi être satirique (c’est le cas de « Tu t’abuses, Belleau » de Du Bellay), réaliste, burlesque... Il est dans certains cas mis au service de l’expression du sentiment religieux (Jean de La Ceppède) comme au service de l’amour le plus profane (« Quand vous serez bien vieille »). Il peut enfin être le lieu d’une réflexion sur l’inspiration

guerre à l’autel. Il eut les sentiments d’un parfait idolâtre ; Chacun dans ses désirs eut sa part au cartel. Le dieu qu’il adora ne fut qu’un dieu de plâtre, Et la foi s’opposait à son être immortel. - Pour l’écrivain Charles Jaulnay (L’Enfer burlesque, 1677) : […] Il semblait pourtant, à le voir, Qu’il était homme de pouvoir, Car, malgré sa mine bouffonne, On voyait près de sa personne Un grand nombre de courtisans, Fort bien faits, et très complaisants, Vêtus d’un beau drap d’Angleterre

directeur de troupe.Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, Dom Juan suscite également des remous. Malgré son succès, la pièce est retirée.Molière continue cependant de bénéficier de la faveur du roi. Viennent les pièces Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), L’Avare (1668), Les

théâtre de Marivaux : « Les Fausses Suivantes » (1724), « Le Jeu de l’amour et du hasard » (1730) et dans « l’Epreuve » (1740). -On retrouve également le thèmes de l’opposition maître/valet dans les œuvres de Molière «Fourberies de Scapin » (1671), « Dom Juan » (1665), Marivaux «l’Île des esclaves » (1725) ou bien encore dans Beaumarchais «Mariage de Figaro » (1784). - On retrouve également l’idée de vengeance d’un noble sur un personnage important dans « Jacques Le Fataliste » de Diderot.   -On peut

déambulation. Concept F.Récanzone. Zone et Cie Abou kir et Abou Sir – Création jeune public. La clef de sol. Cinemudo - spectacle burlesque et cinématographique. La Distillerie. Mes C. Chave Prométhée - d’après H. Müller et L. Gaudé. Mes C. Chave. Cie Les Gens d’en Face Chaud dehors - spectacle de rue. Ville d’Aubagne Christophe Colomb - spectacle Jeune public. Cie Art’Euro Dom Juan de Molière. MesL.Berne ANTIGONE de Sophocle L’Ogrelet de Suzanne Lebeau. Création jeune public. Cie l’a(i)r de dire. La

| Labé | Louise | 1524-1566 | Le Débat de Folie et d'Amour | Humanisme | XVII SIECLE NOM | PRENOM | DATE | OEUVRES | MOUVEMENT | Poquelin | Jean-Baptiste (Molière) | 1622-1673 | Dom Juan ; Tartuffe ; Le Misanthrope ; Le Malade Imaginaire ; L'Avare | Classicisme | Corneille | Pierre | 1606-1684 | L'Illusion comique ; Horace ; Cinna ; Polyeucte | Baroque et Classicisme | Racine | Jean | 1639-1699

de candidats prête peu d’attention au sens précis des mots, se montre insensible aux registres de langue et semble tout ignorer de la sémantique historique. Enfin, il déplore que des catégories élémentaires de l’analyse littéraire – l’ironie, le burlesque, le pathétique, le sublime, l’élégiaque, etc. – soient mal dominées et donnent lieu à des confusions fâcheuses, quand elles ne sont pas tout bonnement ignorées. L’explication de texte, pour être parfaitement achevée, doit se terminer par une vraie