Doit On Accepter Toutes Les Opinions

tolérant ? Introduction : - définition des concepts clefs La tolérance est souvent définie par la majorité des sujets comme étant la marque d'une ouverture d'esprit qui sait accepter les différences alors que le scepticisme consiste dans le fait de douter. La tolérance signifie l'acceptation des individus et de leurs opinions. "Faut-il" renvoie à l'idée de nécessité (est-il nécessaire de douter pour pouvoir être tolérant) ainsi qu'à l'idée de devoir moral (est-ce un devoir ou une obligation de douter

telle que je la conçois doit être considérée comme une qualité existentielle, une vertu au sens de la force morale et du courage ; - terriblement difficile car la tolérance, si l’on veut l’appliquer au quotidien, nécessite à la fois connaissance, expérience, humanisme, humilité et travail sur soi. En effet pour essayer de tolérer l’autre, faut-il déjà se tolérer soi, s’accepter pour s’améliorer, pour grandir et aller vers la lumière. Ce concept si il doit donc être travaillé et

INTRODUCTION Le Criton est une œuvre dans laquelle Platon aborde une problématique éthique : que doit-on faire ? Quel est le critère de la moralité ? Que doit-on examiner pour juger de la moralité d’une action ? Le Criton retranscrit un dialogue entre le personnage du même nom et Socrate. Le premier rend visite au philosophe à quelques heures de sa mise à mort, lui proposant de s’évader. C’est dans ces circonstances que Socrate va exposer et démontrer par les faits ce qu’est une action morale, selon

diverses opinions et cela grâce au principe de tolérance. Etre tolérant c’est ne pas réprimer certains abus qui pourrait être condamnés, c’est supporter chez autrui ce qu’on n’approuve pas, c’est admettre des manières de penser et d’agir différentes des nôtres sans pour autant les partager. La tolérance endosse donc de nombreuses significations. Mais quelque soit son sens la tolérance semble, de nos jours, être devenue une vertu essentielle pour vivre paisiblement en communauté. Mais peut-on tout tolérer

présentement, il s’agit d’un monde démocratique et occidental où il est facile de croire que nous sommes libres de penser librement. Cependant, sommes-nous réellement libres de penser ? Pour répondre à cette question, nous allons analyser les différentes opinions de ces fameux philosophes ; Spinoza et Voltaire. Nous allons définir deux concepts universels pour être apte à mieux appréhender la liberté de penser. Être libre signifie ne pas être la propriété de quelqu’un, contrairement à un esclave. Penser signifie

dans un premier temps voir qu’on ne peut pas toujours avoir raison et qu’il faut accepter de se tromper. Puis nous verrons dans un second temps que la quête du savoir permet de mieux raisonner sans s’obstiner toute suite à avoir raison et pour finir nous verrons l’apport de la raison sur notre existence. Ce qui nous permettra au final de répondre à la problématique globale. Pour commencer, l’Homme doit accepter de se tromper, il ne peut pas toujours avoir raison, même si on sait que celle-ci

L'introduction est le préalable indispensable de toute dissertation. Elle doit : – amener le sujet ; – l'analyser ; – le problématiser. Elle peut en outre : – annoncer le plan ou du moins les lignes directrices de la réflexion à venir ; – énoncer les enjeux du sujet. Ainsi l'introduction ne saurait être élaborée qu'après un important travail de réflexion (fait au brouillon). C'est pourquoi l'on recommande même parfois de rédiger l'introduction en dernier, après le développement lui-même.

faut-il respecter toutes les opinions ? Toutes les opinions sont-elles acceptables ? Peut-on exprimer librement nos idées sans aucune limite ? Les opinions personnelles peuvent elles être dangereuses ? Pour répondre à ces questions, nous verrons en quoi, matériellement toutes les opinions peuvent être respectées. Puis dans un deuxième temps nous évaluerons dans quelles mesures il convient de les respecter au sens moral. Pour finir, nous verrons ce qu’un respect total des opinions peut entrainer.

des opinions est normale La thèse relativiste : « Chacun est la mesure de toute chose » PROTAGORAS . (la subj de chacun est la norme de la vérité) . → Il n'y a pas de vérité dans les sensations (douleur, goût ..) : ce sont des notions relatives . Relativisme = tout est relatif à la personne qui énonce le jugement . On confond l'être & le paraître . → Savoir est empirique (vient de sensation) (pour ceux en faveur de la théorie) , & même subjectif . → Paradoxe : tout le monde

mener au fanatisme. En revanche devons nous tout tolérer, y compris ce qui nous parait intolérable? Comment concilier le devoir de tolérance et l'idée qu'il faut réagir face à certaines opinions et ne pas les tolérer? Et où fixer la limite entre ce qui est tolérable et ce qui ne l'est pas? La tolérance peut sembler comme une vertue essentielle pour vivre en communauté. En effet elle est un principe moral important qui consiste à accepter et à respecter des idées, des sentiments,