Dix de cœur

avec mon frère, rien qu’en le regardant j’en avais presque des frissons mais je l’aimais quand même, après tout nous sommes frère et sœur. Dix ans plus tard je commençais mes études en zoologie. J’ai toujours voulu en savoir plus sur les animaux, leurs comportements, leurs façons d’êtres… J’étais surtout très intéressé par les loups. Mon frère venait d’avoir dix ans et je lui avais offert un chien; C’était un labrador noir aux yeux jaunes perçants, on l’appela Henri. Je venais de finir mes études

Jeunesse qui n’a rien a espérer n’est pas la jeunesse. Avec ce champ de dix-sept années qui s’ouvre devant moi, mais dix-sept années déjà explorées, connues, j’ai plus d’expérience que tous les vieillards de France et de Navarre. Je suis un pauvre vieil homme. Il n’est pour moi ni lendemain ni hasards. Mon cœur ne battra plus de l’attente des jours à venir. Je suis un vieux. Me voilà réduit à la triste condition d’un Dieu. Pendant dix-sept ans, il n’y aura pour moi que des certitudes. Je ne connaîtrai

Auteur majeur du début du dix-neuvième siècle, Châteaubriand est souvent considéré comme le précurseur du romantisme en France. Dans cet extrait de «  René » , oeuvre en prose parue en 1802 , on trouve en effet déjà les thèmes forts de ce mouvement littéraire. C’est l’évocation de la nature qui apparait tout d’abord, une nature mélancolique et violente à l’image des états d’âme du narrateur. Ce tourbillon de sentiments est décrit avec un grand lyrisme, qui parcourt tout le texte et lui donne

Auteur : Charles Pépin LES PHILOSOPHES SUR LE DIVAN : LES TROIS PATIENT DU DR ‘FREUD Extrais : Sartre & Kant Dix citations appréciées tirées du livre de Charles Pépin SARTRE : I. « Je sais aujourd’hui que toute ma philosophie ne fut qu’une tentative pour justifier mon trouble identitaire, un effort génial et pathétique pour donner une épaisseur métaphysique, universelle, à cette maladie dont jusqu’à maintenant il ne m’avait jamais semblé souffrir.» (p.21) II. «Que les

Bon mon cœur, mon trésor, ma Lilia je sais même plus comment t'appeler vu tout l'amour que j'ai pour toi. Avant que je commence tout ce que je dis et sincère et je le pense a 100% sans exagération.Lilia tu représente quelque chose pour moi que tu ne sais pas encore, je vais tout t’expliquer dans ce cas-là. Tu as toujours attiré mon esprit même quand tu étais petite je t’aimais amoureusement parlant, tu m’as toujours touché le cœur je ne sais pas pourquoi. Quand tu es revenu à l’étrier je t’observais

comptés de dix a zéro. -10,9,8,7,6,5,4,3,2,1,0 Et boum le batiment explosa,et tous le monde se mit t'a hurler de joie,après tous cela Loic courrut jusqu'au toilette criant, -ce n'est pas juste,sniff! Ses parent se posa des question et sa mère le suivit, -Alors mon lapin que se passe-t-il? -Rien,j'ai juste envie de rester seul,sniff,répondit Loic -Mais qu'est qui ta prit d'agir inssit mon p'tit loup,reprit son père. Mais loic ne repond pas,ils l'endaient juste pleurer. -Aller mon coeur ouvre

Antonio José Bolivar, âgé de soixante dix ans environ, vit à El Idilio, petit village au cœur de l'Amazonie. Il y mène une vie simple, faite de chasse, de sommeil et surtout de lecture. En effet, il lit les romans d'amour que lui apporte son ami le dentiste ambulant Loachamin, virulent opposant au gouvernement. Cette lecture lui permet d'oublier sa solitude et la réalité qui l'entoure. L'histoire commence avec la découverte, par les Shuars, d'un chercheur d'or mort. Le maire, surnommé la « Limace

musicien ambulant qui est accompagné de trois chiens Clapi, Dolce et Zerbino ainsi que d’un petit singe appelé Joli-Cœur. REMY a alors huit ans. Il rejoint la troupe et entame avec eux un grand voyage autour de la France. REMY, connait beaucoup de souffrance étant donné son jeune âge. Il dort à la belle étoile et a souvent faim mais grâce à ses nouveaux amis notamment CLAPI le chien et Joli-Cœur le singe, il arrive à surmonter toutes ces difficultés. Un jour tout en poursuivant leur tournée, la troupe

Accroche : deux propositions : |[pic] |On peut entrer dans le thème par un tableau de 1917 du peintre Otto| |Dans le Hatier p. 89 (Otto Dix balles traçantes) |Dix, engagé volontaire dans l’armée allemande pendant la première | | |guerre mondiale, qu’on peut compléter par une citation du peintre

La robe corail Elles sont dix ouvrières, dans la l’atelier de madame grospou : dix ouvrières, jolies ou moins jolies, chacune avec son envie de papoter, son bâton de rouge, des bas de soie, une robe courte et son chagrin d’amour. A part celles-là, il y a la peine Émilie dont la présence ténue et silencieuse ne se remarque même pas. On se souvient à peine de l’arrivée d’Émilie chez madame grospou, un soir, comme ca, toute seule, tout enfant. On ne savait pas d’où elle venait. Elle ne parlait pas