Dissolution des monastères

le territoire anglais. Les évêques et abbés mitrés ne sont plus consacrés par le pape, mais nommés par le roi, qui est seul compétent pour prendre des sanctions disciplinaires et réprimer les hérésies. De 1536 à 1540, le roi fait voter la dissolution des monastères. Progressivement leurs biens sont confisqués. L’Église qui possédait un tiers des terres du Royaume d’Angleterre en perd la moitié au profit de la Couronne dont les caisses sont vides ou des proches du roi. Les moines et moniales quittent

avait des terres, et pour les cultiver, les abbayes avaient des paysans qui cultivaient la terre pour l’Eglise. S’ils ne voulaient pas se défendre tout seul, l’Eglise se faisait défendre par les seigneurs et les chevaliers. On avait une totale dissolution de l’Eglise. Mais le Réforme Grégorienne veut en revenir a la pureté ecclésiastique. Elle affirme le célibat ecclésiastique, les hommes de Dieu doivent être entièrement dévoué a Dieu, et se soustraire de la communauté, d’où la nécessité d’avoir

politique. * Liberté intellectuelle 3) L’hégémonie politique et idéologique de l’Eglise : * Structure ecclésiastique hiérarchisée → clergé séculier = vit dans le siècle, curée de base, pape, évêque ; clergé régulier = obéit à des règles, monastère ou couvent. * L’Eglise est propriétaire de domaine foncier = domination sociale * Domination idéologique → elle s’exerce aussi au niveau de la vie intellectuelle (d’AQUIN) * Contrôle religieux des consciences : la question du salut

beaucoup de gens font dons de leurs biens à l’église pour espérer aller au paradis. Ce clergé est riche globalement parce qu’en réalité il n’y a pas d’unité très forte du clergé. Il est divisé en deux : Le clergé régulier : les moins, dans les monastères, hommes ou femmes, ils sont hors du siècle. Le clergé séculier : ce qui vivent dans le siècle, les membres de la paroisse, curés, prêtres, évêques. Ces deux se disputent notamment la direction des consciences : l’éducation, l’instruction. Une

d’images qui permet d’apprendre les éléments essentiels de la religion, à une époque où savoir lire est rare. Doc. 2 : Une église romane de village, Axiat (Ariège) L’art roman se rencontre aussi bien dans les églises de village que dans les monastères ou les cathédrales. La photo permet de repérer les principales parties d’une église romane et doit être mise en relation avec le plan (doc. 3). Doc. 3 : Plan type d’une église romane Le plan est en forme de croix, le clocher se trouvant à

séculiers (qui vivent parmi les fidèles, dans le siècle, dans la « vraie vie ») * Les clercs réguliers (qui vivent retirés du monde, qui sont sensés obéir à des règles de vie drastiques, ce sont les moines, les religieux (ses) qui vivent dans les monastères) II/La Noblesse, deuxième ordre du royaume. A l’origine la noblesse est un corps qui se confond avec le métier des armes, ancien « ordre des combattants », on parle de noblesse d’épée. Elle est légitimée par le courage. On distingue également

l’Italie s’est traduite dans l’architecture des villes et des ports, mais la paysannerie slave a été maintenue en état de servage. L’empreinte de Byzance a marqué principalement la partie centrale et orientale de la péninsule, laissant de nombreux monastères orthodoxes. Avec la dominations turque, l’Islam a laissé des traces sensibles dans les mœurs, surtout en Bosnie et en Macédoine, dans l’architecture et l’économie minière. Les pays balkaniques sont restés pratiquement à l’écart de la révolution

l'échelle, l'architecture, l'arbre). 25 On n'oubliera pas le double sens des symboles : le serpent désigne le mal, mais il peut désigner le Christ. Le pont relie les rives mais danger de l'emprunter. La pluie est descente de la Grâce mais aussi dissolution des formes (déluge). Les récits eux-mêmes s'offrent à une exégèse symbolique : Cantique des Cantiques : le mariage sacré, la hiérogamie entre le Verbe divin et l'âme aimante. (Même idée dans le mythe hindoue de Krishna et des bergères). Le passage

entre les pouvoirs et les droits des citoyens vis-à-vis de l’État. Le régime est une monarchie. Le roi joue un rôle central au sein du système politique (doc.  1). Il anime la vie politique par ses nominations et ses décisions (par exemple, la dissolution de la Chambre des députés). Par son existence même, la Charte de 1814 donne un cadre à l’exercice du pouvoir royal : le texte constitutionnel limite l’ac- tion du souverain. Il y a séparation des pouvoirs : la monarchie n’est donc pas absolue

séculiers (qui vivent parmi les fidèles, dans le siècle, dans la « vraie vie ») Les clercs réguliers (qui vivent retirés du monde, qui sont sensés obéir à des règles de vie drastiques, ce sont les moines, les religieux (ses) qui vivent dans les monastères) II/La Noblesse, deuxième ordre du royaume. A l’origine la noblesse est un corps qui se confond avec le métier des armes, ancien « ordre des combattants », on parle de noblesse d’épée. Elle est légitimée par le courage. On distingue également la