Dispute Entre Sganarelle Et Martine

destinées au public, présent dans la salle l'exposition : ouverture de la pièce, l'exposition livre les éléments indispensables à la compréhension de l'histoire : temps et lieu de l'action, identité et condition sociale des personnages, relation entre eux et mise en place du conflit qui va les opposer le nœud : partie centrale de la pièce, on y précise les obstacles que les personnages ont à surmonter pour atteindre leur objectif le dénouement : il présente l'aboutissement de l'action, résout

généreux mais emboutisseur- ils échouent ensemble vers un tripot où, en pleine préhistoire, l'on joue des boules et sirote du jus de bière. Les mets qu'on y sert, fine fleur de notre hôtellerie, sont dégueux et merdiques, et de peu l'on évite une dispute. S'ensuit une nuit folle qui voit surgir les touristes ingénus, un pseudo flic pervers qui prétend ignorer qui il est, une séductrice veuve et portée sur le gros rouge, et de tout jeunes promis qui les rejoignent (le proprio d'une conduite intérieure

Thème de l’année : « la littérature et le vice : entre dénonciation et fascination » Période I : « Le pouvoir de la plume : écrire pour éveiller l’esprit critique et aiguiser le bon sens des lecteurs » Corpus de textes de la séquence 1 : «Des ténèbres de l’obscurantisme aux lumières de la raison » Le corpus de textes : ➢ Montesquieu, « De l’esclavage des nègres » tiré de L’esprit des lois [essai]  + prolongement : de l’esclavage racial à l’esclavage social (injustice et inégalité) : l’île

introduit Le Soulier de satin de Claudel en demandant à la salle d'adopter cette attitude effacée : «Écoutez bien, ne toussez pas ». Dans le texte D, cette attitude passive est également soulignée et Anouilh insiste sur la distance qui s'installe entre la vie « tranquille » des spectateurs qui ne vont pas « mourir ce soir» et le destin tragique de la « petite » Antigone. Loin de la scène et des enjeux de la pièce, le spectateur est présenté comme un simple destinataire désigné par « vous » dans la

Hancisse, Chrysale Isabelle Gardien, Bélise Jean-Baptiste Malartre, Vadius Bruno Raffaelli, Ariste Clotilde de Bayser, Philaminte Pierre Louis-Calixte, Trissotin Adrien Gamba-Gontard, Clitandre Georgia Scalliet, Henriette Hélène Surgère, Martine et Boutaïna El-Fekkak, Armande Juliette Bayen, Julien Elmano Sancho, L’Épine, le Notaire Décor, Michel Millecamps Costumes, Renata Siqueira Bueno Lumières, Philippe Ulysse Maquillages, Priscila S. Bueno Assistante à la mise en scène, Eurydice

de Molière mise en scène Marc Paquien avec Anne Caillère, François De Brauer, Eric Frey, Jany Gastaldi, Nathalie Kousnetzoff, Matthieu Marie Daniel Martin, Pierre-Henri Puente Alix Riemer, Agathe Rouillier scénographie : Gérard Didier lumières : Dominique Bruguière son : Anita Praz costumes : Claire Risterucci maquillages et coiffures : Cécile Kretschmar collaboration artistique : Daisy Amias. 24 janvier >>> 19 février mardi, mercredi, vendredi, samedi 20 h 30, Jeudi 19 h 30 dimanche

• Scène I • Scène II • Scène III • Scène IV • Scène V • Scène VI • Scène VII • Scène VIII • Scène IX • Scène X • Scène XI • Scène XII • Scène XIII Oeuvres complètes I 7 Oeuvres complètes . 1 • Scène XIV • Scène XV • Scène XVI • Scène XVII • Sganarelle • Personnages • Scène I • Scène II • Scène III • Scène IV • Scène V • Scène VI • Scène VII • Scène VIII • Scène IX • Scène X • Scène XI • Scène XII • Scène XIII • Scène XIV • Scène XV • Scène XVI • Scène XVII • Scène XVIII • Scène XIX • Scène XX

Personnages • Scène I • Scène II • Scène III • Scène IV • Scène V • Scène VI • Scène VII • Scène VIII • Scène IX • Scène X • Scène XI • Scène XII • Scène XIII Oeuvres complètes I 7 Oeuvres complètes . 1 • Scène XIV • Scène XV • Scène XVI • Scène XVII • Sganarelle • Personnages • Scène I • Scène II • Scène III • Scène IV • Scène V • Scène VI • Scène VII • Scène VIII • Scène IX • Scène X • Scène XI • Scène XII • Scène XIII • Scène XIV • Scène XV • Scène XVI • Scène XVII • Scène XVIII • Scène XIX • Scène XX

registres, et dans la continuité du programme de la classe de Seconde, en insistant toutefois sur la question de la représentation théâtrale. Elle doit ainsi mener les élèves à « s’interroger sur les liens entre oral et écrit, verbal et visuel, et les concordances ou éventuelles discordances entre les deux sortes de langage, ainsi que sur les problèmes d’interprétation » (Accompagnement des programmes, 2001). Alors que le programme de Seconde privilégie l’étude des genres et des registres classiques

loqui (→ loquace, éloquent) et fari (lequel est lui-même issu d’une importante racine indo-européenne signifiant à la fois « éclairer » et « parler ». → enfant, « non parlant »). Mot : « chacun des sons ou groupe de sons correspondant à un sens, entre lesquels se distribue le langage » (Robert). Du bas latin muttum, « son émis », dérivé de muttire, « produire le son mu » (onomatopée), d’où « souffler mot, grommeler ». D’où aussi mutus, « bruit de voix sans signification » → muet, mutique. Les premières