Discours Les Femmes Battues

chose pareille ? Puis ensuite, pour les femmes, elles imagineront être à la place de la femme vue sur cette affiche. Et la peur engendrera une prise de conscience, bien évidemment. Se plaindre d’un quotidien fatiguant n’est rien face à ce qu’endure une femme battue. Puis, pour les hommes, ce sera pareil également. Ils prendront la place de celui qui a battu. Et le résultat sera le même. Alors choqué par l’état de cette femme, ils imagineront leurs propres femmes dans un tel état et ainsi, la campagne

Déroulement : Le roman raconte «la simple vie de Gervaise», depuis son arrivée à Paris, dans la force de la jeunesse, jusqu'à sa mort, lamentable dix-neuf années plus tard. Son existence est rythmée par une série de grandes scènes : la bataille des femmes dans le lavoir, la fête chez Gervaise, la chute de Coupeau tombant d'un toit, la visite au Louvre, la forge de Goujet, la scène de delirium tremens de Coupeau à l'hôpital, la déchéance finale de Gervaise se prostituant dans la rue. Zola dégage nettement

I/ Les Femmes pendant la Première Guerre mondiale 1) Les femmes avant la Première Guerre Mondiale Au début du XXème siècle, les femmes sont considérées comme le « sexe faible », inférieures aux hommes, et ne pouvant pas, par conséquent, effectuer les mêmes tâches que ces derniers. Elles sont reléguées pour beaucoup au rang de ménagères, s’occupant de leurs enfants, de leur maison et surtout de leur mari. Elles ne sont reconnues qu’en tant que « reproductrice». Elles

Déroulement : Le roman raconte «la simple vie de Gervaise», depuis son arrivée à Paris, dans la force de la jeunesse, jusqu'à sa mort, lamentable dix-neuf années plus tard. Son existence est rythmée par une série de grandes scènes : la bataille des femmes dans le lavoir, la fête chez Gervaise, la chute de Coupeau tombant d'un toit, la visite au Louvre, la forge de Goujet, la scène de delirium tremens de Coupeau à l'hôpital, la déchéance finale de Gervaise se prostituant dans la rue. Zola dégage nettement

fondamentaux du processus révolutionnaire plus précisément, il en déplore les effets insuffisants, ou le décalage qui s’est opéré  entre liberté et égalité. Avait­il raison de voir en ces valeurs républicaines qu’une simple chimère ? En quoi pouvons nous dire que  ce  discours  reste  encore  valable  pour  la  suite  des  évènements  d’après  1793,  et  peut  être  même  encore  valable  pour  nos  société  contemporaines ? D’accord mais évitez le couplet sur la situation contemporaine, surtout en début d’introduction 

ROBERT.— Ah! j'y consens de tout mon cœur. MARTINE.— De quoi vous mêlez-vous? M. ROBERT.— J'ai tort. MARTINE.— Est-ce là votre affaire? M. ROBERT.— Vous avez raison. MARTINE.— Voyez un peu cet impertinent, qui veut empêcher les maris de battre leurs femmes. M. ROBERT.— Je me rétracte. 6 Me dérober quelque chose: Cf. La Comédie de proverbes d'Adien de Montluc, comte de Cramail, II, 6: «Si tu m'importunes davantage, tu me déroberas un soufflet.» 7 VAR. MARTINE, criant. (1734). 8 Qu'est-ce ci: qu'est-ce

triple couvée » (v 10)  II/ L’imagination de Perrette et ses conséquences (v 12 à 29)              Le rêve de Perrette grandit dans ce second mouvement. Pour montrer les excès de son imagination, La Fontaine utilise le  discours direct  afin de nous donner accès à l’improbable monologue du personnage. La présence de l’ adjectif  : « facile » : « Il m’est, disait-elle, facile » au vers 12 traduit l’empressement de Perrette qui se projette

cule du silence qui est une des plus grandes puissances de la société arabes » Les femmes ne parlent pas en présence de l’homme. La communication orale est limitée aux bavardages entre femmes et, le plus souvent, sous forme de chuchotements. Le recueil choisi nous semble pertinent dans le cadre d’une analyse centré sur le silence féminin en Algérie car Assia Djebar y présente un trajet d’écoute sur la vie des femmes algériennes de 1958 à 1978. Cette période historique a été fondamentale pour l’histoire

vice-championne d'Italie (le scudetto gagné par l'AS Rome) et remporte la Coupe d'Italie 1983 contre Vérone (0-2 ; 3-0, avec deux buts de Platini en match retour). En Coupe d'Europe des Clubs Champions (C1), La Juve vole de succès en succès, mais est battue en finale par le Hambourg SV 1-0. Platini a fortement contribué à cette épopée européenne. Il marque un but à l'aller et au retour contre Hvidovre Copenhague et un autre en demi-finale contre les Polonais du Widzew Łódź. Mais c'est en quart de finale

Rome à cause de son alliance avec les Carthaginois qui sont avec les romains les ennemis jurés de Rome. Tous ces faits d’armes sont énumérés par Scipion lui-même dans son discours que Tite Live ne reprend pas ce qui n’est pas dans ses habitudes lors du premier jour du procès. Mais qu’importe car le discours de Scipion ne manque en rien de vérité selon lui : « il parla avec tant de noblesse de ses exploits, qu'au dire général, jamais panégyrique ne fut plus éloquent ni plus vrai » ligne