Discours Engagé

pour Sganarelle de se donner un air savant et érudit alors même qu’il invente ses références et trahit par là son manque de culture. Il continue à donner une patine savante à son discours en prenant un ton sentencieux, avec, par exemple, l’emploi de « qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre » et en proposant un discours très construit ayant la forme d’un raisonnement, même si celui-ci est totalement absurde. Il expose donc sa thèse, ses arguments avant d’illustrer par un exemple. Or, la thèse est

Introduction Poésie (l’art pour l’art) = harmonie, émotion, évocation intime... ; Orateur = discours pour convaincre, utilité et pragmatisme, politique. Opposition poète/ orateur ? I. Une exhortation au combat A - Dimension politique des Châtiments : circonstances historiques précises, dates, noms propres B - La voix du poète, Celui qui parle (de I,1, v.3 la voix, v.5 le banni ... v.8 Parlera dans l’ombre tout haut à Ultima verba : « Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là

question doit donc se poser : suffit-il d’avoir un bon usage du langage pour faire valoir nos idées ? On peut effectivement affirmer que savoir bien parler permet de convaincre les gens. Bien parler consiste en fait de bien former les idées d’un discours pour qu’il ait de l’effet sur le public ou sur l’interlocuteur en question. Mais il ne faut pas seulement maîtriser les mots. Il faut plus. De plus, l’usage du bon langage ne peut servir qu’à la persuasion, et non à convaincre, deux choses qui sont

timide, sage, bavard.... comment répondre à chaque personne????  Après son exposé, son discours, sa prise de parole, l’orateur propose généralement un débat. Nous appelons ce débat « un débat de type coopératif » : Comment répondre à chacun : Le savant : v  Il cherche à vous piéger pour montrer à la salle qu’il en sait au moins autant que vous. v  Attention ! Il ne connaît peut être que ce point précis, mais il risque de très bien le connaître ! v  Ne jamais blesser un « savant », il est souvent

rhétorique * références implicites à la cabale des dévots => Accentuer la portée de la démonstration II- Un éloge paradoxal : 1- éloge de l'hypocrisie : (du vice) Mise en relief : - par l'usage de tournures impersonnelles qui simule un discours moral " c'est ainsi qu'il faut profiter… " - par ton appréciatif : hyperboles " meilleurs " " merveilleux " subjonctif " qu'on puisse " 2- Exhibition du cynisme : (expressions d'opinions, de sentiments destinés à provoquer) -> Hypocrisie (profondément

I)Un discours > prise de parole , oralitéUtopique > Il y a de l'espoir, transmettre l'espoir aux gens qui écouteAppel à la fraternité: Un homme qui s'engage, c'est un engagement qui se base sur la fraternité, on est tous frère, unis. « mes amis » « à la table de la fraternité » « marché ensemble comme frère et sœur » il utilise « nous » « notre ». Il s'implique. Appel à l'unité: Récurrence du terme « ensemble » « le rêve américain ». Il appelle tous le monde, l'énumération finale « tous le

Exemple: Le mot « rouge » dénote une couleur: l'une des trois couleurs fondamentales. II- La connotation: Les sens seconds du mot: La connotation est seconde car elle s'ajoute, en plus de la dénotation, du sens au texte, à l'image, au discours... De plus, la connotation est occasionnelle car elle dépend du contexte, des niveaux de langues, de l'éducation, des références culturelles, des situations de l'émetteur et du récepteur. Donc la connotation correspond aux sens implicites qu'un mot

avec Christian. L’aveu, l’humanisation à l’acte V, la faiblesse du héros presque décapité par une bûche, signifient la véritable fin de Cyrano, la perte du nez et de l’attraction/répulsion qu’il exerce sur les autres. En dépit de ses grands discours, Cyrano sert et renforce l’ordre de son temps, vole au secours de la patrie, finit sa vie en bon chrétien. Le modèle aristocratique et héroïque du guerrier et de l’amoureux compense tant bien que mal la désillusion du monde bourgeois de cette fin

certain âge d’or opposé (l’adverbe de temps « aujourd’hui » souligne l’opposition) à la société du XIXème où il s’agit dorénavant de « vivre somptueusement ». De manière systématique, Louise Michel a recours aux procédés rhétoriques relatifs au discours public qui garantissent la transmission des idées et visent à emporter l’adhésion de ses lecteurs. Les tournures impersonnelles (« il est probable » l. 1, « il y avait » l. 2), les présentatifs (« ce n’est pas », « c’est là », « c’est Harpagon »)

forcément étonnant : même dans le discours juridique, auquel il est apparemment emprunté et renvoie, le concept d’Etat de droit est appréhendé principalement comme modèle prescriptif d’organisation sociale, sans que l’on puisse pour autant avec certitude désigner un modèle existant dont il rendrait compte, ni un modèle politique unique auquel il serait attaché 2. 2 – En première approche, on peut tenir que cette affirmation est une des évidences les mieux partagées du discours politique contemporain, pour