Discours Du 20 Septembre 1962

La guerre d'Algérie est menée par la France de 1954 à 1962 contre les indépendantistes algériens, elle prend place dans le mouvement de décolonisation qui affecte les empires occidentaux après la Seconde Guerre mondiale, et notamment les plus grands d'entre eux, les empires français et britannique. La signification de la guerre d'Algérie Côté français Pour la France des années 1950, la perte éventuelle de l'Algérie représenterait une atteinte à son rang de grande puissance, symbolisé depuis

mars Proche-Orient Création de la Ligue arabe (six nations) 26 juin Conférence de San Francisco : Charte des Nations Unies 17 juil - 2 août Est-Ouest Conférence de Potsdam (Etats-Unis, U.R.S.S. et Royaume-Uni) 2 septembre Bloc communiste Hô Chi Minh (communiste) proclame l'indépendance de la République démocratique du Vietnam 21 octobre France Les femmes votent pour la première fois 1946 5 mars Bloc occidental Churchill dénonce le "rideau

en Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (M.T.L.D.) Le P.C.F. fait l’amalgame entre colon et fascistes lors des débats de 1946 sur la constitution. Le second collège algérien élit 11 députés du manifeste sur 13 Le statut de l’Algérie 20 sept 1947 : intégration ? assimilation ? À deux vitesses Le statut de 1947 démontre par ailleurs la maigreur des concessions que le pouvoir colonial était disposé à faire : la citoyenneté française, accordée à quelque cinquante mille Algériens (ayant

renforcé les attributions de l’institution du Président de la République, avec notamment la nomination du Premier ministre et le droit de dissolution. De plus l’élection du président de la République au suffrage universel approuvé par le référendum de 1962 a encore une fois renforcé son pouvoir, de sorte que ce référendum a conduit à une présidentialisation du régime. La présidentialisation est la transformation d’un régime politique dans lequel le pouvoir du Président de la République est renforcé ou

3 eme République ) I. L'enracinement de la culture républicaine (les décennies 1880-1890)  1) L'installation de la IIIème République (1871-1877) -La IIIe République connaît des débuts laborieux. Elle succède au second Empire, dissout le 4 septembre 1870 après la défaite de la France contre la Prusse à Sedan et la capture de l'empereur Napoléon III. Cette situation provoque une crise politique qui rend difficile la définition d'un nouveau régime politique. Des élections sont organisées en 1871

français, en 1962 par referendum ;certain que les 2 chambres s’opposeraient à cette révision , le chef de l’état chercha alors le soutien du peuple à sa personne et à sa politique. Suite à cela, le conseil constitutionnel sera saisi par le sénat, en effet son président, sur la base de l’article 61 2eme alinéa de la constitution soumet le texte, de la loi relative à l’élection du président de la république au suffrage universel direct et adoptée par le peuple par referendum du 28 octobre 1962, à l’appréciation

salut public insurrectionnel). René Coty décide de demander au Général DG de revenir. DG accepte à deux conditions : d’avoir les pleins pouvoirs ; obtenir le pouvoir constituant. Deux conditions acceptées. Le 1er juin 1958, le Général DG fait un discours d’investiture devant l’assemblée nationale dans lequel il demande à être investi par l’assemblée nationale, à former un gouvernement, et il soumet en même temps l’idée de trois lois pour changer de régime politique. Les trois textes constitutionnels

Léopold Sédar Senghor  Pour les articles homonymes, voir Senghor. Léopold Sédar Senghor | Léopold Sédar Senghor, en 1987. | Fonctions | 1er président de la République du Sénégal | 7 septembre 1960 – 31 décembre 1980 (20 ans, 3 mois et 24 jours) | Élection | 5 septembre 1960 | Premier ministre | Mamadou Dia Abdou Diouf | Prédécesseur | Poste créé | Successeur | Abdou Diouf | Député français de Sénégal-Mauritanie | 21 octobre  1945 – 5 décembre 1958 | Législature | Assemblée

28 septembre 1958 et approuve cette constitution. Une subtilité entre l'auteur intellectuelle (le gouvernement) et l'auteur juridique (le peuple), car c'est à lui qu'on attribue cette constitution. Ici l'auteur véritable n'est pas celui qui l'a pensé mais celui qui l'a voté. D'où une immense marge d'interprétation et de manœuvre de cette constitution. En effet il n'est pas possible de connaitre l'intention de l'auteur juridique (trop nombreux...). D'ailleurs De Gaulle ne livre qu'un discours le

sont la Russie, l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie et la France, (en France, on compte 1,4 millions de morts dont 350 000 disparus, 15 000 « gueules cassées », 630 000 veuves et 1 million d'orphelins). Les morts sont principalement des hommes jeunes (20 à 40 ans), ce qui pose d'importants problèmes démographiques, vieillisement de la popuilation et baisse de la natalité. La violence infligée aux combattants se répercute sur les civils. Dans la période d'après-guerre, cela engendre deux conséquences