Discours Dominique De Villepin

Désireux de restaurer la puissance française après 1945 et de moderniser le fonctionnement de l’Etat (Sécurité sociale, vote des femmes 1944), De Gaulle démissionne en janvier 1946 face au projet constitutionnel de l’Assemblée élue en 1945. Dans le discours de Bayeux du 16 juin 1946, il réclame un pouvoir fort de l’exécutif (confié au président de la République) pour permettre la stabilité des institutions. Les parlementaires, inquiets, s’éloignent clairement de DG, y compris le principal parti de droite

erreurs vont être les bifurcations qui vont entraîner les protagonistes vers un précipice. C’est la première phase des événements pendant laquelle les faits restent cantonnés à un secteur proche de Clichy-sous-Bois. Après l’intervention de Dominique de Villepin auprès des familles de Ziyed et Bouna, les violences urbaines ne semblent pas s’arrêter. Le dernier moment-clé sera celui où les émeutes débordent leur territoire initial sans que personne ne l’ait anticipé, la contamination s’étend géographiquement

cette problématique, nous allons traiter le discours officiel russe d’une part et les intérêts sous-jacents russes d’autre part dans le conflit syrien en tenant compte bien sur que l’explication n’est pas justification. Ainsi, notre plan sera articlé de la manière suivante : I- Discours officiel de la diplomatie russe A- Principe de non ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat B- Exemple libyen II- Realpolitik derrière le discours politique A- Ambition au statut de puissance

rejet en France. En effet, en 2005, le référendum sur la Constitution européenne est rejeté par un « non » français. En outre, il y a un retour à l’antiaméricanisme gaulliste. En effet, en 2003, Dominique de Villepin s’oppose à l’intervention américaine en Irak et critique cette politique lors d’un discours à l’Organisation des Nations Unis. La France n’entre donc pas dans le conflit américano-irakien dégradant l’image de la France sur la scène internationale. La situation stagne jusqu’à l’arrivée

celle La Vème république et d’un exécutif fort ,celle qui consacre en somme , la puissance du président . Fin de ce déséquilibre dont aura souffert toutes nos république précédentes et place en fin à la gouvernance solide et pérenne . Dans son discours de Bayeux le 16 juin 1946 , de Gaule manifesté le souhait de restaurait la puissance de l’Etat , de sorte à prévenir tout risque de dérive parlementaire , comme les à ton connu successivement sous l’empire de la IIIème et la IVème république .

besoin de la confiance de l’Assemblée nationale pour gouverner, le Parlement n’a aucun droit de regard sur la nomination de ce dernier. Il n’est ainsi pas rare de voir le Président choisir un de ses proches (Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et Dominique de Villepin sous la Présidence de Jacques Chirac, ou encore Édith Cresson et Pierre Bérégovoy sous la présidence Mitterrand), qui pourra exécuter des politiques dont il aura préalablement déterminé les contours, ou encore une personnalité politique capable

pays exportent quelques tonnages, ils sont minimes par rapport à ce que gagne la Côte d’Ivoire, avec son cacao. RFI : On a en mémoire votre discours à Katiola, il y a deux ans où vous estimiez à l’époque en dizaines de milliards le manque à gagner pour la Côte d’Ivoire à cause de ce trafic. On a un peu le sentiment aujourd’hui en 2010 que votre discours a changé. Nous ce qu’on veut savoir, c’est quelle est la bonne version. Est-ce que c’est celui de 2008 ou de 2010? LG : Prenez les deux. RFI

études supérieures. L’expérience, ensuite, avant de devenir président d’une région, d’un conseil général, de la république, Sénateur ou encore Premier Ministre, on passe par plusieurs fonctions successives. Il s’agit de gravir les échelons. Dominique de Villepin, ancien Premier Ministre, ne s’est, par exemple, jamais présenté à une élection mais a été deux fois ministres avant de devenir le chef du Gouvernement. Comme dans tout métier, il y a rétribution. En effet quand on regarde le curriculum vitae

1958, dans le contexte de la guerre d’Algérie, le général de gaulle, appelé au pouvoir, chargea une commission de juristes de rédiger une nouvelle proposition de constitution pour la France, dans laquelle, conformément à son souhait exprimé dans le discours de Bayeux en 19465, un pouvoir exécutif procéderait essentiellement d’un chef de l’Etat fort, qui ne serait plus, comme sous la IIIe et la IVe République, chargé de « l’inauguration des chrysanthèmes ». Comment les textes constitutionnels mais aussi

l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités » Michel Debré (qui contribua à la rédaction de la Constitution de la Ve République) définira le président de la République comme « la clé de voûte » du régime. Dans son discours prononcé à Bayeux le 16 juin 1946, le général de gaulle se prononce pour un renforcement des prérogatives du chef de l’État. Ainsi, depuis la révision constitutionnelle de 1962, sous De gaulle, le président de la république est élu au suffrage universel