Discours De Vautrin

pensionnaires…………………………77 b) La dimension sociale ………………………………………….…74  Les nobles et la haute bourgeoisie - Eugène de Rastignac……………...………………74 - Victorine Taillefer………………………………...75  Les classes moyennes 6 - Mme Couture………………………………..……76 - Vautrin…………………………………………….76 - Mme Vauquer……….……………………………76  Le peuple…………………………………………………………77 - Poiret et Mlle Michonneau……………………….78 - Jean Joachim Goriot………………………………79 - Sylvie et Christophe………………………………79 c) La pension Vauquer et le monde extérieur………………

Xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx Formule de politesse Signature ESSAI DANS LE CADRE D’UN FORUM SUR INTERNET À ce niveau, on vous demande de savoir relier une série d’éléments courts, simples et distincts en un discours qui s’enchaîne. Il est souhaitable de connaître quelques mots connecteurs qui permettent d’exprimer l’opinion, d’énumérer, ou d’opposer. Les exercices de composition qui sont proposés ci-dessous vous permettront ensuite de construire des développements

Oui, mais tien en parlant d'ascension social, Rastignac dans Père Goriot de Balzac n'est-il pas un personnage ambitieux? Ne veut-il pas «venir a bout» de Paris ? Mais celui-ci reste honnête jusque la fin du roman même avec le discours de Vautrin qui développe une vision satirique de la société et qui affirme que pour espérer une ascension social il fallait être malhonnête et écraser les autres pour y arrivé! Cela dit Rastignac reste ambitieux, et lance un défi a Paris, en disant

côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner. Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et désargentée de Charente venu faire son droit

lingère qui songe plus à ses intérêts qu’à la vertu de sa pensionnaire, Marivaux s’empare avec audace des tours de phrases, des locutions du peuple pour les lui prêter avec art. Même si on a reproché à Marivaux, bien avant Zola, de rapporter des discours vulgaires, la scène de la dispute entre le cocher et celle-ci qui ne veut pas le payer au retour de Marianne de chez Valville est un dialogue plein de vivacité rempli d’images neuves et hardies. De même, les réflexions naïves et innocentes de Madame

nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin ». Mais la critique de notre société ou d’un élément de celle-ci se retrouve aussi cachée à travers le texte. Par exemple, Voltaire critique la politique, ou plutôt les politiciens à l’aide du discours du « bon musulman » : « ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement et […] ils le méritent ». Cette phrase est explicite mais pourtant se visée critique n’est pas directe puisqu’elle est fondue dans un récit. Montesquieu

d’agonisant, Horace Bianchon, le grand médecin de la comédie humaine. Il avait ressenti si intensément les histoires qu’il forgerait que la réalité se confondait à sa fiction. Il est inhumé au cimetière du Père – La chaise où Victor Hugo prononça un discours en forme d’oraison funèbre. En 1855, Madame de Balzac publie Les Paysans (écrit en 1844 et inachevé). En 1856, Charles Rabou publie Les Député d’Arcis (écrit en 1847 et inachevé). En 1876, sont publiées ses œuvres complètes en vingt-quatre volumes

sont le présent et passé composé pour les dialogues et lorsque c’est le narrateur qui parle c’est au passé simple/imparfait. Le narrateur parle au début et un petit bout pendant le passage entre les dialogues. L’auteur utilise en grande partie du discours direct. Durant ce passage et aussi durant tout le livre, le narrateur ne participe pas à l’action directement, il est là pour préciser des choses mais n’est pas dans l’action. C’est Balzac qui raconte l’histoire. On peut dire que c’est un narrateur

cette classe sociale le milieu où né un homme le suit jusqu'à la fin de ses jours, et qu'aucun travail ou encore effort ne peu changer cela. De plus, Julien Sorel paie à la fin de l'ouvrage le prix d'avoir entrepris ses ambitions en prononçant un discours où il dénonce la société qui est remplie de préjugés, et d'idées fondées, mais aussi pour avoir essayer et s'être laisser penser qu'il pouvait devenir quelqu'un. Durant l'écriture du roman, ainsi que sa parution le pouvoir est détenu par Charles

ancienne que nous avons lu, nous pouvons aussi évoquer « le père Goriot » de Balzac, il y dénonce les apparences d’une société basée sur l’argent et le privilège à la naissance, à travers les vies de trois personnages qui sont Rastignac, Goriot et Vautrin. Il nous y décrit l’histoire des mœurs. Le père Goriot est le personnage qui s’affaiblit et est la risée des habitants tandis que Rastignac lui se dirige vers l’aristocratie et représente un personnage arriviste. Balzac nous montre donc une atmosphère