Diocèse de Rome

chemin, Dominique rencontre un aubergiste albigeois dans le sud de la France et passe la nuit à essayer de le convertir. Au matin, l'aubergiste avait renoncé au catharisme pour le catholicisme. En revenant de Scandinavie, l'évêque de Dominique passe par Rome et demande au pape de le relever de son ministère pour se consacrer à la prédication dans le sud de la France. Le pape refuse. Toutefois en revenant en Espagne, le petit groupe croise une mission composée de légats du pape ayant pour but de convertir

(emprunts d'argent). Il existe donc des non chrétiens dans le territoire même de la chrétienté ou à l'extérieur et directement adversaires. Les fondements de la chrétienté : à l'aube du XVI°, la chrétienté est avant tout une entité latine avec Rome pour capitale. Sa seule véritable structure est l'église romaine, dépositaire du message du Christ, sans avoir de vraie unité politique. Au sein de cette chrétienté, on trouve le SERG contesté par la plupart des monarques européens, notamment le roi

mauvais moment car au même moment à Rome on condamne l’hérésie du quiétisme. Madame Guyon devient suspecte au Roi car pour lui tous ce qu’elle dit sont des rêveries. Ces textes qu’elles enseignent paraissent suspects à Bossuet qui est le directeur de l’Eglise de France. Fénelon n’abandonnera pas Mme Guyon. La disgrâce est assurée : il reçoit l’obligation de se retirer dans son diocèse. Il était en effet nommé Archevêque de Cambrais). En 1699, il reçoit de Rome une condamnation sur un de ces livres

Christianisation et cela continue sous le règne de Charlemagne. Car ce dernier marque la première année du IXème siècle. Puisque dès le 25 décembre 800, il reçoit le titre symbolique et glorieux d’Empereur d’Occident des mains du Pape, dans la ville de Rome. Le Royaume Franc, aux mains des Carolingiens, l’Empereur réforme l’Eglise, et se place en protecteur de cette dernière. Sous son Empire, Charlemagne fait des Evêques un personnage important. On peut alors se demander en quoi l’Evêque est un personnage

liberae). Les institutions municipales. Toute cité est une état autonome sur le plan juridique et administrative dans les limites de l'empire romain. Les cités par exemple n'ont pas de politique extérieure. Les institution sont calquées sur celles de Rome. La gestion de la cité est confiée aux décurions. Pour devenir décurion il faut être fortuné, l'ordo decurionium forme le sénat local, responsable devant le gouverneur de la province et l'empereur. Autour du forum, se trouvent le temple dédié au

Juifs. Persécutions au cours des premiers siècles. Edit de Milan en 313 : liberté religieuse. Christianisme devient religion officielle à la fin du IVème siècle. Europe devint alors le principal centre de diffusion du christianisme avec deux centres : Rome à partir de laquelle diffusion dans toute l’Europe occidentale, Byzance dans l’Europe orientale et centrale (Byzance, Constantinople, puis Istamboul : colonie grecque qui changea de nom sous l’Empereur Constantin qui en fit la capitale de l’Empire)

en 1453. Le sultan conserve cependant les structures de l’Eglise en les contrôlant étroitement. Il se produit dans ces régions une islamisation très inégale, forte en Bosnie et en Albanie, plus faible ailleurs. Tout le reste de l’Europe dépend de Rome, à l’exception de la Bohême, où les catholiques cohabitent avec les utraquistes (héritiers de l’hérésie hussite : ils veulent une Eglise plus pauvre et la communion sous les deux espèces) et leurs dissidents, l’Unité des Frères (qui insistent sur la

vocabulaire associé à la chute de Rome est particulièrement négatif (disparition, effondrement, chute, invasions barbares…) Lorsqu’on parle de chute, d’effondrement, d’invasion on évoque une violence mais aussi l’immédiateté, la fulgurance. Chute rapide et violente. 4 septembre 476, le 3 on était à Rome dans l’Antiquité, le 5 c’est un monde nouveau. Avant on avait la belle culture romaine classique, les romains d’un côté et de l’autre le reste : les barbares. Après la chute de Rome on a les barbares qui ont

les plus nombreux sont les prêtres, appelés curés quand ils ont la charge d’une paroisse[2]. Les évêques, qui ont autorité sur eux, dirigent les diocèses[3]. Certains évêques choisis par le pape deviennent cardinaux. Surnommés princes de l’Église, ces derniers élisent le pape, qui est lui-même le chef de toute la chrétienté. En effet, comme évêque de Rome, le pape est le successeur de Pierre, qui était le chef des apôtres. Le clergé régulier Il est constitué par les moines et les abbés. Les

l’empire romain d’Occident. Cette fin de l’antiquité est la période qui s’étend du 1er au Ve siècle. L’antiquité tardive est la période qui commence avec l’invasion romaine de la Gaule, et s’achève au 5e siècle avec l’invasion germanique et la chute de Rome. La deuxième époque est le haut Moyen Age ou époque Franc, car c’est l’époque ou la Gaule est occupée par les francs, du 5e siècle au 10e siècle. On appelle cette période « les siècles obscures » car ce serait pendant cette période que l’anarchie c’est