Diète de la République de Pologne

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à partir du 16ème siècle, il déduit ce droit de la notion de souveraineté. Donc les États généraux n'ont plus besoin d'être réunis. De pus, Jean Bodin apporte le concept de la République, ms quand il parle de république, il parle en fait de la monarchie. Pourquoi? Parce qu'il pense en latin, et quand il dit république, il pense Res Publica, la chose publique. Il va redéfinir l'État, c'est une chose publique, et le roi est un souverain garant de cette chose publique. Nous ne sommes absolument pas

idées. Un jour viendra où les boulets et les bombes seront remplacés par les votes, par le suffrage universel des peuples, par le véritable arbitrage d'un grand sénat souverain qui sera à l'Europe ce que le Parlement est à l'Angleterre, ce que la Diète est à l'Allemagne, ce que l'Assemblée législative est à la France. » Victor Hugo, Discours inaugural du congrès de la Paix, Paris, 21 août 1849. Proposition d’Aristide Briand durant l’entre deux guerres, qui échoue du fait de l’hostilité de la

constitutionnel. Cicéron traduit ce dialogue au 1er siècle avant JC « De re publica ». Cela aboutit au terme République. Progressivement, nous passons au terme d'Etat. Aux XIVème et XVème siècles, la République prend un sens actuel. Elle est différente de la monarchie. L’État est une organisation politique. La République est une forme de gouvernement d'un État. En conséquence, la République est différente de l’État. En 1515, Machiavel écrit Le Prince et emploie le mot État dans son sens moderne.

de Rome. Un homme sans identité naturel ; on l’appelle Erasmus, un perpétuel immigré. Et c’est vrai qu’il est paru comme tel chez beaucoup de contemporains. « La patrie est là où l’on se trouve bien » (Ibi bene ubi patria). b) la république des lettres d’Erasme Cette Europe d‘Erasme, est un ensemble politiquement complexe. Il y a l’Empire qui domine territorialement, comprenant les Pays Bas, l’Alsace, Loraine, Franche Comté, s’arrête en Prusse, plus bas la confédération Helvétique

froide radicalise l’opposition entre capitalisme libéral et socialisme dirigiste : - l’URSS refus d’emblée de participer au nouveau SMI et d’adhérer au GATT - l’URSS refuse le plan Marshall et le fait refuser par la Tchécoslovaquie et la Pologne - En Europe occidentale, la méfiance envers les Etats-Unis est facilement surmontée : - une adhésion commune aux valeurs de la démocratie libérale - la nécessité d’opposer un front unique face à la menace soviétique - toutes les

ex: la dénomination de Vème République laisse supposer qu'il en a eu 4 précédentes séparé par des monarchies , des empires etc...., de plus à l'intérieur de la Vème république a connu un certain nombre de révolution.). Le but est d'éviter ce qu'il s'est passé dans le passé, comme le montre l'article 16 de la constitution. Cet article n'existait pas dans les anciennes constitutions. C'est le printemps 1940 qui est à l'origine de cet article 16, car la III république n'avait aucune institution pour

énuméré par le traité constitutif. La souveraineté n’appartient pas à la confédération, en est elle-même un état. Chaque état membre conserve sa souveraineté. _ la structure de la confédération est souvent très légère, repose sur une assemblée : diète ou conférence à laquelle s’ajoute un conseil des ministres en général l’assemblée n’est pas composé de députés élus mais de représentants d’Etats nommés par les gouvernements respectif. La plupart des décisions importantes sont prises à l’unanimité

4 grandes parties-l'antiquité: jusqu'en 475 -le moyen-âge: 476 au 15e, 16e siècle -la période moderne: jusqu'en 1789 -l'époque contemporaine Partie I: Antiquité, Antiquité tardive et Haut Moyen Age 509 avant JC: apparition de la république romaine chute de l'empire Romain d'occident en 476 ,mais celui d'orient continu jusqu'en 1453. L'empire Romain a beaucoup changé de nature du IV ème siècle jusqu'au VII ème (650) -de 330 à 650 on est dans la période qu'on appelle Antiquité tardive

et en même temps c’est une histoire qui mêle la vérité historique et les légendes. Tacite 55 120 deux grands ouvrages : les annales et la Germanie. Il décrit le développement de l’empire Romain. C’est un aristocrate romain nostalgique de la République. Il a une vision assez critique de l’histoire. Dans Germanie il décrit les mœurs des barbares germains mais il montre qu’ils sont pauvres mais libre et c’est toute la différence par rapport aux romains qui ont perdus cette vertu. Ce texte a joué