Diderot Salon De 1763

commerciale». Il s'agit principalement d'un retour phantasme et imaginatif à l'antiquité gréco-romaine. En architecture, ce renouvellement par l'inspiration de modèles architecturaux antiques a pris très facilement en France. En sculpture également, Diderot admire Falconet et sa sculpture "passionnée", tandis que Houdon retrouve la dynamique de la Renaissance française. La culture est d’abord la culture classique : celle de la Renaissance, et en particuliers l’architecture de Palladio dont l’influence

siècle, avec Fontenelle et Bayle, dont on dit qu’ils sont les pères fondateurs du XVII° siècle ; elles s’achèvent avant la révolution, avec Sade et les Anti-Lumières. Quatre grands noms ont marqué ce siècle : Mon-tesquieu, Voltaire, Rousseau et Diderot (voir plus loin dans le cours les chapitres qui leur sont consacrés). On appelle le XVIII° siècle le « siècle des Lu-mières », car après la mort de Louis XIV, en 1715, il y a une explosion en France d’une croyance dans le pro-grès, qui sera le fruit

vieille noblesse. A l’intérieur du pays, des nouveaux riches s’épanouissent : financiers, collecteurs d’impôts. Tout ceci entraîne des déséquilibres, des jalousies et des contestations. De plus, la royauté subit des revers militaires et démocratiques (1763 : traité de Paris). La banqueroute du financier Law ébranle la confiance en l’état pendant la Régence. Sous Louis XVI, la crise financière est loin d’être résolue. Les techniques agricoles ne profitent qu’à de riches privilégiés et les impôts font

région. En 1743, il s’installe à Paris pour y trouver la fortune. Entre temps, il a inventé un nouveau système de notation des notes de musique. Il obtient surtout un succès d'estime. Néanmoins, cela lui ouvre les portes des salons parisiens et il devient ainsi ami de Diderot pour lequel il écrira dans l'Encyclopédie des articles sur la musique. En 1750, à la suite de son Discours sur les sciences et les arts (dit Premier Discours), il se voit primé par l'Académie de Dijon. En 1755, son Discours

monarchie absolue mais en réduisant les pouvoirs du souverain. Ce nouveau régime politique inspire certains monarques, comme Frédéric II de Prusse ou encore Catherine II de Russie, qui seront conseillés par certains philosophes comme Voltaire ou Diderot pensant que ce nouveau régime est l’avènement de la raison. Ainsi les évènements, les idéaux et l’influences de l’Angleterre vont être un aboutissement politique à la fin du siècle et engendreront la Révolution française. Frédéric II de Prusse

le combattre ne lui en appartiennent pas moins parce que nous les tournons contre lui. Le XVIIIe siècle est avant tout le siècle des révolutions où toute son évolution le conduit, et l'esprit qui le caractérise, pour reprendre les mots du grand Diderot, est l'esprit de liberté qui souffle partout. Révolution sociale et économique : Le dix-huitième siècle est un siècle de transformations économiques avec les débuts de l'industrie et la révolution agricole. Une révolution démographique l'accompagne

en 1722. Il poursuit de brillantes études au collège jésuite de Clermont. En 1712, comme le veut la tradition familiale, il entame des études de droit bien que celles-ci ne l’intéressent pas. Il se met à fréquenter la bonne société et les salons littéraires puis les mondains épicuriens. Il se lance alors dans la poésie satirique mais après avoir critiqué Philippe d’Orléans, il se retrouve embastillé en 1717. C’est en 1918, toujours à la Bastille qu’il prend le pseudonyme de Voltaire

(1749-1768) 1.3.1 Bonjour et au revoir à Berlin (1749-1753) 1.3.2 Sexagénaire, et recherche d'un gîte à la frontière de la France (1753-1755) 1.3.3 Tremblement de terre et lancement d'un livre : Candide (1755-1759) 1.3.4 Le Vignoble de la vérité (1759-1763) 1.3.5 Lutte contre l'injustice : Calas, Sirven et La Barre (1761-1765) 1.3.6 D comme Dictionnaire (portatif…), D comme Danger (1764-1768) 1.4 Derniers feux (1768-1778): du jardin au cimetière 1.4.1 Le déiste toujours en lutte (1768-1769) 1.4.2 Dans

maturité avérée (1749-1768) 1.3.1 Bonjour et au revoir à Berlin (1749-1753) 1.3.2 Sexagénaire, et recherche d'un gîte en Suisse (1753-1755) 1.3.3 Tremblement de terre et lancement d'un livre : Candide (1755-1759) 1.3.4 Le Vignoble de la vérité 1759-1763) 1.3.5 Lutte contre l'injustice : Calas et Rousseau (1761-1765) 1.3.6 D comme Dictionnaire (portatif…), D comme Danger (1764-1768) 1.4 Derniers feux (1768-1778): du jardin au cimetière 1.4.1 Le déiste toujours en lutte (1768-1769) 1.4.2 Dans

(1749-1768) 1.3.1 Bonjour et au revoir à Berlin (1749-1753) 1.3.2 Sexagénaire, et recherche d'un gîte à la frontière de la France (1753-1755) 1.3.3 Tremblement de terre et lancement d'un livre : Candide (1755-1759) 1.3.4 Le Vignoble de la vérité (1759-1763) 1.3.5 Lutte contre l'injustice : Calas, Sirven et La Barre (1761-1765) 1.3.6 D comme Dictionnaire (portatif…), D comme Danger (1764-1768) 1.4 Derniers feux (1768-1778): du jardin au cimetière 1.4.1 Le déiste toujours en lutte (1768-1769) 1.4