Diazépam

les deux dans les tissus gras plutôt que de se redistribuer dans l'eau du corps (comme l'alcool), s'éliminent très lentement. Il faut souvent au corps des semaines pour éliminer complètement les benzodiazépines à action prolongée, comme le Valium® (diazépam), et un mois ou plus pour se défaire du cannabis. Étant donné que les utilisateurs des deux sexes ont une physiologie différente, certaines drogues atteignent souvent des taux plus élevés dans le corps des femmes que des hommes, et il leur faut plus

par 24 heures, enfant et nourrisson au-delà de 1 an : ¼ à ½ ampoule en injection intraveineuse très lente. C’est le plus utilisé car on peut renouveler les injections, et il n’y a pas trop de risques de dépression respiratoire. • VALIUM® (Diazépam) : état de mal 2 mg/min en perfusion rapide jusqu’à 20 mg puis perfusion lente avec 100 mg dans 50 ml de solution glucosée à raison de 40 ml/heure. ATTENTION le Valium® est très difficile à utiliser car il est TRES dépresseur respiratoire. Capital

au glucose – Conséquences: • ê Volume de distribution et é des concentrations plasmatiques des molécules hydrophiles • é Volume de distribution et ê des concentrations plasmatiques des molécules hydrophobes avec risque d ’accumulation: – Ex: diazepam (Valium®) – 1/2 vie d ’élimination sujet jeune: 36 heures environ – 1/2 d ’élimination sujet âgé: jusqu’à 99 heures... ê Tolérance au glucose….même chez les patients indemnes d ’obésité ou de diabète..sucré: è Insulino-resistance Système Nerveux:

effets secondaires et efficacité du traitement (Cf VI ) Administration de Theralene 5mg en cas d’insomnie. Surveillance des effets secondaires et de l’efficacité du traitement ( Cf VI) Proposer une tisane à Mr A en début de soirée.Administration de Diazepam (Valium®) 10 mg en cas d’anxiété Réassurer Mr A lorsqu’il en a besoinSurveiller les effets secondaires et l’efficacité du traitement ( Cf VI)Réévaluation quotidienne du risque suicidaire par les infirmiers et tous les 15j par le psychiatreAdministration

approfondie. -en milieu psychiatrique en cas de risque suicidaire, de répétition des crises et s’il existe une pathologie associée. -fait appelle à un anxiolytique de la famille des benzodiazépines, d’une forme orale à absorption rapide : Diazépam 10mg Lysanxia 40mg Alprazolam 0,5mg (xanax) Tenesta 2,5mg Il faut noter que la voie intra musculaire est souvent utilisée pour des raisons essentiellement psychologiques. 4-2-Traitement d’entretien -Il s’appui sur une évaluation

répartition de matériel- pour réaliser nos objectifs- rend parfois notre tâche difficile, et nous empêche à respecter les fiches techniques. Nous n’avons pas l’occasion de réaliser certains objectifs tel que : la préparation l’administration de diazépam ou médiazolan en intra- rectale. Suggestions : Mettre un matériel suffisant au porté des stagiaires. Réserver la dernière heure et après l’achevé de nôtres tâches pour les cours données par les médecins de service. Conclusion : Le stage que

immédiate. Ainsi, moins de 30 médicaments sont actuellement connus pour être certainement tératogènes chez l’homme aux doses thérapeutiques, et peu d’entre eux sont d’usage courant. D’autres médicaments précédemment considérés tératogènes tels que le diazépam, les contraceptifs oraux, les spermicides, les salicylés et la dioxylamine associée à la pyridoxine (Bendectint) ont par la suite été reconnus comme sûrs grâce à des études plus approfondies et à la méta-analyse. Dans les années 1970, un procès

d’une autre crise. Ce sujet m’interesse particulièrement parce que moi-même, on m’a préscrit un médicament appelé ‘ritalin’ (méthylphénidate), utilisé pour le traitement du TDA/H (trouble déficit de l'attention/ hyperactivité) et aussi je prend ‘diazepam’ (de la famille des benzodiazépines) pour l’anxiété. De la même façon ces medicaments créent une forte dépendance et ils sont facilement abusé s’ils ne sont pas utilisé comme préscrit. En consequence ils peuvent aussi être trouvé sur le marché noir

d’utilisation : Par la bouche à intervalle régulier (faibles doses si patient vierge de morphine, doses habituelles multiplier par deux, le plus svt ttes les 3 heures), IV ou SC, par inhalation à l’aide de l’Optineb Les sédatifs Les benzodiazépines : diazépam (Valium®), lorazépam (Témesta®), flunitrazépam (Narcozep®), midazolam (Hypnovel®) La buspirone (Buspar®) 20mg/j Les phénothiazines : lévopromazine (Nozinan®), chlorpromazine (Largactil®) Les butyrophénones : Halopéridol (Haldol®) Les antidépresseurs

< 2 g et > 100 mmHg et < 0,10 s Clemessy JL, et al. Crit Care Med 1996, 24 : 1189-95 Intoxication grave : Remplissage Adrénaline 0,25 g/kg/min à augmenter par paliers de 0,25 g/kg/min pour PAS ≥ 100 mHg Intubation et ventilation mécanique Diazépam 2mg/kg en 30 min puis 2-4 mg/kg/24h Riou B. N Engl J Med 1988 Suspicion d’intoxication par β-bloquant Place des antidotes (1) Glucagon pour les bêta-bloquants: (FC < 60 /min et/ou PAS < 100 mmHg) Atropine 0.5 mg IV bolus (si FC < 60