Dialogue Monologue Et Tirade

les dialogues (par exemple pour exprimer la souffrance du corps, il y a de nombreuses indications pour montrer comment les comédiens doivent se déplacer. La parole est au second plan). Didascalie interne En italique : précise situation d'énonciation, décors, mouvement. Didascalie externe Les personnages eux même donnent des informations sans s'en rendre compte sur le mouvement ou la gestuelle des pers (informations indirectes donné par le dramaturge). (B) La parole et l'action Le monologue Personnage

seule) Monologue, tirade d’un personnage seul ou qui se croit seul (ici, la Reine). Axes: 1) La Reine face à son sort. 2) Rêverie d’amour I. La révolte d’une Reine. 1) Monologue libérateur La Reine rejette les consignes de l’étiquette, elle est délaissée par sa suite : agassement marqué par des interrogations et des exclamations ironiques (1er vers). La Reine devait prier la vierge et se met à rêver “s’enfonçant dans sa rêverie”. La Reine imagine un dialogue avec son chevalier

Dorine, décidée à faire changer Orgon d’avis. S’engage alors un dialogue éminemment comique. Dans un premier temps le rythme est vif et rapide et Dorine fait semblant de ne pas croire Orgon "Que vous-même, Monsieur, je ne vous en crois point" (Vers 464), "Vous nous contez une plaisante histoire" (Vers 466) puis peu à peu on s'avance vers une seconde partie où elle se montre plus posée, plus raisonable jusqu'à la tirade (long monologue) (Vers 495 à 517) dans laquelle Dorine tente de persuader Orgon

Un caractère commun à toutes les grandes scènes classiques est la tirade: le dialogue est rarement coupé et se présente plutôt par grandes masses. Dans certaines scènes on trouve des éléments qui obéissent à des règles spéciales: le récit, le monologue et l'aparté. récit: il évoque par des mots une action qui n'est pas représentée sur la scène: "Ce qu'on ne doit point voir, qu'un récit nous l'expose" (Boileau) monologue: il peut servir à faire connaître au spectateur un élément de l'action

spectateur puisse les discerner, ils vont parler parfois du passé pour divulguer les informations nécessaires au public, l’air de rien… Par l’entremise des personnages, c’est aussi l’auteur qui parle aux spectateurs : LES FORMES DE DISCOURS Le dialogue : deux personnages ou plus échangent des répliques. La réplique : prise de parole d’un personnage Les stichomythies : succession de répliques très courtes (les personnages répondent au tac au tac). Il s’agit souvent d’un duel verbal. HARPAGON:

première à se retrouver en tête a tête avec Louis, elle évoque son sentiment d’abandon et adresse des reproches à Louis sur son départ et autour des lettres elliptiques. On s’attend à un dialogue mais en réalité Louis reste muet et Suzanne se fait les questions et les réponses. C’est une tirade et non un monologue car Louis est présent.Problématique :En quoi, L’évocation des « lettres elliptiques » permet-elle à Suzanne de dresser en creux le portrait de son frère Louis ?M1-Les petits mots 1-7M2-Louis

la raison d’Etat. Le dialogue et le monologue - Langage proche de l'oral qui se distingue par l'emploi du style direct. Fonction : faîre connaître au spectateur les pensées et sentiments d'un personnage - Double énonciation : le fait que le personnage et l'auteur dramatique sont énonciateurs en même temps + Double destination : à un autre personnage et au public Production d'effets comiques, tragiques ... - Formes du dialogue : * La réplique : base du dialogue, de longueur variable *

Dialogue Les répliques = paroles prononcées par les personnages Leur volume de répartition indiquent l’importance du personnage (ex : Hélicon dans Caligula) Il existe 3 types -> La tirade : longue, adressée à un ou plusieurs personnages La répartie : réplique brève et cinglante (=qui fouettent) La stichomythie : succession de répliques brèves (d’1 vers ou hémistiche) La double énonciation Un personnage

particulière au théâtre. On parle de double énonciation dans la mesure où les personnages dialoguent entre eux, mais leur discours provient de l'auteur qui s'adresse au public. L'auteur communique avec son public de deux manières : avec les dialogues des personnages, et les didascalies qui indiquent, en italiques, le nom des personnages, précisent les décors, les intonations des acteurs, les costumes, etc. Il y a donc un perpétuel échange entre la salle et la scène. Dans une comédie lors

d’ailleurs par Lagarce. Le Théâtre de l’Absurde (M.Esslein) ou anti-théâtre ds les années 50/60 marque l’apogée de ce mouvement. Tous les codes habituels de la représentation théâtrale y sont déconstruits (actions, personnage, dialogue). Et c’est le langage qui en fait les frais, échouant à produire du sens, à communiquer. Il devient vide, vain et grotesque. La difficulté voire l’impossibilité de communiquer fait que l’H doit se résoudre à ne pouvoir échanger que des banalités