Diagnostic Strategique Credit Mutuel

déterminée. b- Consommations : il permet d'acheter les biens et services en commun à moindre coût (absence de frais de distribution et de profit, etc.) c- Agricole : achats, vente et utilisation des matériels agricoles en ensemble. d- Les mutuelles d’assurances et les banques coopératives. Option : Droit Section Français Semestre : 1 Année Universitaire : 2012/2013 Matière : Economie et Organisation des entreprises Module : Introduction aux Sc. Eco. et de Gestion Economie et Organisations

par l’arrivée et l’implantation de banques privées, nationales ou étrangères. Si ce thème a suscité notre intérêt, c’est que nous pensons que dans une économie moderne, les institutions bancaires jouent un rôle déterminant en occupant un champ stratégique dans toute action de développement. De ce fait, Il est nécessaire d’avoir un système bancaire crédible et concurrentiel, qui puisse financer et garantir la réalisation des nombreux investissements lancés, et par la même, la réussite d’une économie

décident d’endurcir d’avantage leurs conditions d’octroi de crédit en exigeant plus de garanties et en augmentant les primes de risques spécifiques.  Pour ce qui est de l’acquéreur, les pressions financières sont moins pénibles grâce à l’offre « Fogarim ».  Néanmoins, les sources de financement ne sont pas assez diversifiées et les banques doivent faire preuve d’un peu plus de volontarisme et concevoir des offres plus adaptées. Ce diagnostic nous mène vers la déduction suivante : Le redressement du

Fondation ALKARAMA de micro-crédit Agence de koulouch Sous le thème : Canevas d’évaluation et de suivie de projet. Effectué par: Rahmani Hind Sous la direction de Mr : REGHIOUI ANOUAR Année universitaire : 2011/2012 SOMMAIRE : Remerciement ……………………………………………………………………………03 Introduction……………………………………………………………………………….04 Chapitre 1 : L’association AL-KARAM pour le micro-crédit Section 1 : Présentation

Abdellatif MAAZOUZ, sans oublier M. Rachid MRABET Directeur de cet honorable établissement dont nous faisons désormais partie. L’architecture générale de ce travail, ainsi que la démarche ont largement bénéficie des séminaires de management stratégique et de démarche systémique ainsi qu’au séminaire de ressources humaines et de communication. Nous ne pouvons enfin clore cette page de remerciements sans nous adresser à nos familles respectives et nos proches, pour leur soutien sans faille

VII RESUME DU MEMOIRE VIII INTRODUCTION 1 PREMIERE PARTIE : CADRE DE REFERENCE 4 CHAPITRE 1 : REVUE CRITIQUE DE LA LITTERATURE 5 CHAPITRE 2 : PROBLEMATIQUE 12 CHAPITRE 3 : CLARIFICATION CONCEPTUELLE 15 3.1 Coopérative agricole : 15 3.2 Diagnostic : 16 3.3 Facteurs de production : 16 3.4 Production : 17 3.5 Rendement : 18 3.6 Productivité : 18 3.7 Evaluation de l’efficacité : 18 CHAPITRE 4 : CADRE OPERATOIRE 20 4.1 Objectifs de recherche 20 4.2 Hypothèses de recherche 20

plus « flou ». >Buts = inventions qui sous-tendent l’action. >Objectifs = résultats précis que l’E se propose d’atteindre à une date donnée. >> Buts en G qualitatifs // Objectifs plutôt quantifiés. Chandler met l’accent sur le fait que la décision stratégique a une finalité. En effet, elle vise à mettre en place des actions permettant à réaliser les objectifs de l’E, de manière à assurer sa pérénnité, et de créer de la valeur (pour les actionnaires et les autres parties prenantes : stakeholders). + la

régulation de l’offre et l’accès aux droits. Cette segmentation du système est aussi observable aux niveaux ci dessous: • Au niveau tactique : CCAS, CLIC, APA, Caisses de retraite locales ; • Au niveau stratégique : Mairie, Conseil général, caisse de retraite nationale et régionale, mutuelles, assurances privées ; • Au niveau du financement : Impôts locaux, aide sociale, Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA), cotisations. Ce découpage a été mis en place dans un premier temps

parfois à surmonter. Le secteur bancaire a été détruit par les deux guerres mondiales ainsi que par les crises de 1929 et de 1973 qui n’ont pas été favorables à son expansion. Ce n’est qu’à partir de la fin des années 1970 avec le développement du crédit, et surtout dans les années 1980 que la finance connaît son plus grand essor. Avec le début de la libéralisation des échanges, de la modernisation progressive des marchés de capitaux et l’atténuation de l’emprise des Etats sur les banques, ces dernières

distingue : - les entreprises individuelles, - les entreprises sociétaires (EURL, SARL, SA, SCA, SNC sont les principales formes de sociétés commerciales) qui peuvent se constituer en « groupes », - le « tiers secteur » regroupant coopératives, mutuelles et certaines associations. IV PME et grandes entreprises 1) Les entreprises sont d’autant plus fragiles qu’elles sont de petite taille. Elles sont moins capitalistiques que les plus grandes, souvent moins rentables et plus endettées. Elles ont peu