Deux têtes folles

Les droits de pu.blication en langues étrangères et de représentations sont réservés au.x Éditions Gallimard et à ['Auteur. COMMENT JOUER « LES BONNES » Furtif. C'est le mot qui s'impose d'abord. Le jeu théâtral des deux actrices figurant les deux bonnes doit être furtif. Ce n'est pas que des fenêtres ouvertes ou des cloisons trop minces laisseraient les voisim entendre des mots qu'on ne prononce que dans une alcôve, ce n'est pas non plus ce qu'il y a d'inavouable dans leurs propos

-Nombre de « tripots » à la fin du 16è s : Paris : 250 Orléans : 40 Poitiers : 22 2.2.2-Le jeu « roi » du peuple ; la Soule : -fig 8. « La Soule a été lancée. Les deux armées n’en forment plus qu’une, se mêlent, s’étreignent, s’étouffent. A la surface de cet impénétrable chaos, on voit mille têtes s’agiter, comme les vagues d’une mer furieuse, et des cris inarticulés et sauvages s’en échappent…Grâce à sa vigueur ou à son adresse, l’un des champions s’est frayé un passage à travers

éloigné de la maison que de trente ou quarante minutes en auto, par une route qui durant trente miles grimpe dans la montagne. C’est un endroit étrange là-haut, Il peut faire ici dans le désert 25 ou 30°C, et en une demi-heure je peux être dans plus de deux mètres de neige au sommet de la montagne. 8. Il n’y a pas longtemps nous étions à Phoenix où il faisait environ -2°C (ils avaient chauffé la piscine et des gens y nageaient) et après quarante minutes de voiture il faisait 40° 1 La Révélation

1868-69 SÉQUENCE 3 : ÉTRANGERS Objet d’étude : le personnage de roman du XVIIe siècle à nos jours Support : Etude de l’Etranger, d’Albert Camus Problématique : deux « étrangers » du récit moderne: Meursault (l’Etranger) et Romand (l’Adversaire). Corpus : L’incipit : d’« Aujourd’hui, maman est morte » à « …prendre des tickets et faire deux heures de route. » Le meurtre : de « J’ai pensé que je n’avais qu’un demi-tour à faire » à « Et c’était comme quatre coups brefs que je frappais à la porte du malheur »

doit laisser à d’autres, plus frustes... Et puis, au matin, des problèmes précis se posent, qu’il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée. La vieille dame qui tricote, à côté de la nourrice qui a élevé les deux petites, c’est Eurydice, la femme de Créon. Elle tricotera pendant toute la tragédie jusqu’à ce que son tour vienne de se lever et de mourir. Elle est bonne, digne, aimante. Elle ne lui est d’aucun secours. Créon est seul. Seul avec son petit page

parle, et mon cœur... Je m'égare, Seigneur, ma folle ardeur malgré moi se déclare. » - Caractérisation du texte : cet extrait = dialogue entre Phèdre et Hippolyte, en présence d'Oenone, la nourrice et confidente de Phèdre. En l'espace de deux tirades, Phèdre glisse progressivement et malgré elle, de l'aveu implicite, à l'aveu direct,où s'exprime sa fureur amoureuse. Cet aveu = un sommet tragique : il précipitera la perte de l'héroïne. La machine tragique est en marche. LECTURE Problématique :

doit laisser à d'autres, plus frustes... Et puis, au matin, des problèmes précis se posent, qu'il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée. La vieille dame qui tricote, à côté de la nourrice qui a élevé les deux petites, c'est Eurydice, la femme de Créon. Elle tricotera pendant toute la tragédie jusqu'à ce que son tour vienne de se lever et de mourir. Elle est bonne, digne, aimante. Elle ne lui est d'aucun secours. Créon est seul. Seul avec son petit page

devrait être là, devant moi, en train de me regarder et de me sourire ! Il ne devait pas partir là-bas ( explique). -Ne dis pas cela (trouve autre chose, inspire toi du tragique de Phèdre de J. Racine), Calliope. La bravoure et la douceur étaient ses deux majeures qualités. Oses affirmer que tu aurais fait mieux que lui dans cette guerre atroce ! Cette bataille a ôté la vie à des millions de personnes, sois heureux de posséder encore la tienne. Ces foutus centaures (cela tourne au vulgaire Dimitri 

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Alfred de Musset GAMIANI OU DEUX NUITS D’EXCÈS (1833) Table des matières PREMIÈRE PARTIE .................................................................4 DEUXIÈME PARTIE ..............................................................44 À propos de cette édition électronique ................................... 78 –3– PREMIÈRE PARTIE Minuit sonnait, et les salons de la comtesse Gamiani resplendissaient encore de l’éclat des

n'était pas besoin, du moment qu'il arrive, de nous en dire si long. Puissions-nous retrouver l'enfant dans le cœur de l'homme ! BLAZIUS. Ma foi, l'écuelle est vide ; je ne croyais pas avoir tout bu . Adieu ; j'ai préparé , en trottant sur la route , deux ou trois phrases sans prétention , qui plairont à monseigneur . (Il sort par la porte latérale à gauche. ) 110 ON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR. SCÈNE II LE CHEUR , puis DAME PLUCHE. LE CHŒUR DES JEUNES GENS, à gauche de la porte du fond . Durement cahotée