Derniers remords avant l'oubli

combats. De plus nous souhaitons montrer l’humanité qui régnait dans un temps où il était totalement oublié qu’ils étaient des hommes au même titre que nous. Nous voulons donc montrer que ces poilus étaient avant tout des hommes avec la peur, la souffrance physique et mentale, l’amour, les remords… Tout d’abord, nous reviendrons sur le contexte de la guerre. Ensuite nous nous intéresserons à l’organisation de la vie quotidienne dans les tranchées puis à l’organisation hiérarchique de celles-ci. Enfin

tendresse. Plus on les veut brouiller, plus on va les unir. 140 Pressez. Demandez tout, pour ne rien obtenir. Il vient. ORESTE Hé bien, va donc disposer la cruelle À revoir un amant qui ne vient que pour elle. SCÈNE II. Pyrrhus, Oreste, Phoenix. ORESTE Avant que tous les Grecs vous parlent par ma voix, Souffrez que j'ose ici me flatter de leur choix, 145 Et qu'à vos yeux, Seigneur, je montre quelque joie De voir le fils d'Achille, et le vainqueur de Troie. Oui. Comme ses exploits, nous admirons vos coups ;

Iphigénie (1674). Euripide avait écrit deux pièces sur le sujet, Hippolyte voilé, qui a disparu, et Hippolyte porte-couronne (428 avant J.C.). 3. Le texte de l'éd. de 1697, que nous suivons dans cette édition, porte: "m'a paru plus éclatant". Nous rétablissons l'article qui figurait dans les éditions précédentes. 4. Au chapitre XIII de sa Poétique, Aristote (IVme siècle avant J.C.) explique à quelles conditions la tragédie peut susciter la pitié et la crainte (Racine dit "la compassion et la terreur")

affaiblie”)· On peut interpréter la pluralité des soleils couchants comme un rêve· Le poème se teinte d’inquiétude (“fantômes”, “sans trêve”) mais on reste rassuré par la répétition du motif initial (soleils couchants).· Crépuscule du soir mystique – avant-goût symboliste· Fleur : dahlia (allégresse, changement, reconnaissance) ; lys (noblesse, amour, chasteté) ; tulipe (gloire, amour parfait, déclaration passionnée) ; renoncule (séduction mais actifs toxique)· à travers ces fleurs, le poète veut parler

mouvement romantique. Enfin ce poème n’est pas sans rappeler le poème XV du livre I ou le livre XIII du livre IITexte 2 : «Melancholia » Victor Hugo, né en 1802 et mort en 1885, est le chef de file du romantisme au XIXème siècle. Ce dernier écrit Les Contemplations en 1856, alors qu’il est en exil. Poète militant, il s’est préoccupé tout au long de sa vie des misérables et à lutter contre toute forme d’injustice sociale. Suite à cela il écrit « Melancholia »

fait le mal. Nos cœurs sont innocents comme au jour baptismal ; Rien ne les assombrit et rien ne les déprave, Le mien étant pieux et le vôtre étant brave. Priant pour les vivants et prenant soin des morts, Nous vieillissons ici, calmes et sans remords. Et pourtant notre vie est triste ! - Au point, dit l’autre, Que vous, monsieur l’abbé, vous, plus saint qu’un apôtre, Je vous ai vu jeter, dans vos jours de souci, Un regard envieux aux plus pauvres d’ici. - Le pêcheur, dit le prêtre, heureux

Cyclopes (bâtisseurs de murs colossaux, n'ayant qu'un œil au milieu du front) et aux Hécatonchires (monstres possédant 50 têtes et 100 bras). Ouranos obligeait Gaïa à garder leurs enfants en son ventre, sinon il les jetait dans le Tartare. Le dernier des Titans (Cronos), finit par émasculer son père à l'aide d'une faucille d'airain que lui a fournie sa mère. Le sang d'Ouranos féconde alors Gaïa, laquelle enfante les erinyes, les Géants et les Méliades. Fécondée ensuite par son fils Pontos,

première période est celle de « convergence conceptuelle » du démon. Avant même la fin du Moyen Âge, le dogme chrétien avait déjà tracé, et définitivement, les traits définitoires, essentiels, du démon. Pendant la deuxième période, le dogme religieux se cristallise, de surcroît, dans des démonologies minutieuses. Le dogme ne change pas dans son essence, il devient plus nuance, seulement, en englobant des croyances populaires. Avant même le début du Romantisme, une « révolution » conceptuelle se prépare

filets, cette idée qui pourrait le choquer, semble plutôt le faire sourire. On ne s'étonnera donc pas s'il semblera tout à l'heure heureusement surpris d'apprendre qu'Hippolyte aime enfin (vers 57-65) et s'il lui conseillera de s'abandonner sans remords à son amour (vers110-126). Mais Thésée n'est pas qu'un coureur de jupons : il est aussi et d'abord un « héros », comme Théramène ne manque pas de le rappeler au passage (vers 21). Ce double aspect de la personnalité de Thésée sera évoqué de nouveau

et la plus révoltante, est consommée : il faut tout faire, en effet, pour que ces hommes échappent à la double humiliation de la misère et de la laideur. Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu’était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l’extrême misère arabe ne peut s’y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu’on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur existence.