Déportation en droit français

pays. La Pologne est donc partagé entre l'Allemagne et l'URSS, la Pologne demande alors de l'aide aux pays Alliés. La France et l'Angleterre rentre alors en guerre avec l’Allemagne et l'URSS. De septembre a mais 1940 la drôle de guerre à lieu. Les français n'ont pas envie de faire la guerre et reste que la ligne Maginot et n'attaque pas. Les Allemand finissent alors d'envahir la Pologne, apres cela ils attaquent la France et déjoue les plans de la France et attaque part la Belgique. En hiver 1939 ils

septembre 1928 à Sighetu Marmitai en Roumanie. C’est un écrivain américain qui est issu d’une famille juive hongroise. Il parle le français, l’hébreu, le yiddish et l’anglais. Il a reçu la légion d’honneur en 1984, la médaille d’or du Congres américain et le Prix Nobel de la paix en 1986. Le livre « La nuit » dans lequel il raconte son expérience de juif et la déportation de sa famille, a été publié pour la première fois en 1955 et est resté sur la liste de meilleures ventes du New York Times. Elie

enfermés dans des ghettos où ils furent astreints au travail forcé.     En 1940, après la défaite française, les nazis envisagèrent un moment la possibilité de transférer les juifs d'Europe à Madagascar. En attendant, la politique hitlérienne de déportation des Juifs et de ghettoïsation se poursuivit en Allemagne, en Autriche, en Tchécoslovaquie et en Pologne.     Entre le printemps et l'automne 1941, les chefs nazis ont pris trois décisions très importantes pour mettre en oeuvre leur politique d'extermination

II- L’historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale Introduction : Les mémoires de la Seconde guerre mondiale sont influencées par le traumatisme qui en a résulté pour les Français avec la défaite totale de 1940, l’armistice, la collaboration, les persécutions politiques et raciales. Malgré l’épuration (jugement des collaborateurs) à la fois douteuse dans la violence des premières semaines et partielle dans les mois et années qui suivirent, la blessure est restée douloureuse pour les

régime de Vichy à la déportation des juifs par les français donc à la collaboration avec les nazis), ils ont également utiliser le mot "rafle" pour les expulsions des sans papier voir même jusqu'à la qualification de déportés. C'est impensable de comparé l'expulsion des sans-papiers aux rafles voir aux déportations des juifs vers les camps de concentrations, on peut donc en déduire que l'on banalise le sens du mot génocide. L'historien, Georges Bensoussan insiste sur le fait du droit moral des enfants

attentes, la France participe au génocide, et aux déportations de milliers de juifs de France. Résistant français, de Gaulle appelle à refuser la collaboration. Les français se soulèvent, contre ce régime allemand nazi. Au sud, le régime de Vichy tombe lors de l'été 1944 grâce aux Alliés et aux résistants. De Gaulle est appelé au pouvoir. Certains français, qui avaient soutenus Pétain quand il s'agissait de poursuivre et tuer des juifs eux mêmes français, se rendent compte que la France prends le dessus

pour la France : défaite de 1940, occupation allemande, régime de Vichy et collaboration avec l'Allemagne, participation à la politique génocidaire des nazis. C'est aussi une période où des Français ont combattu pour les valeurs de liberté et de démocratie : le général de Gaulle et tous les combattants français au côté des Alliés et dans la Résistance. La mémoire de cette époque troublée est complexe. Le travail des historiens consiste donc à mieux comprendre comment s'organisent ces mémoires, tant

(certaines villes rasées, ponts, ports, voies ferrées, champs inutilisables…) pertes humaines dues à la guerre : 600 000 morts en France, dont 60% de civils (rem : = deux fois moins que 1e GM, où morts = essentiellement des soldats) = morts en déportation + bombardements + exécutions + massacres (ex : 1944 : Oradour sur Glane, près de Limoges : 642 civils massacrés le 10 juin 1944 par la division Das Reich à Buchères près de Troyes : 67 civils massacrés le 24 août 1944 par des soldats de la 51 e

mortelle ne devient qu'une vulgaire chose, ou éventuellement peut-on admettre l'idée que la dépouille mortelle est le prolongement de la personne ; et que le sujet de droit survit ? En réalité, la dépouille mortelle est dans une situation intermédiaire, elle empreinte des droits au statut de l'objet du droit et des droits au sujet de droit. Avis du 7 novembre 1988 : le cadavre est une chose dès l'instant où la mort cérébrale est acquise ; y compris s'il y a une « certaine forme de vie » est maintenu

contexte et pour mettre un terme aux divisons de l'occupation que s'impose ce que l'historien Henry Rousso a appelé en 1987 le mythe résistancialiste: celui d'une France unanimement résistante. L'idée est qu’immédiatement après la défaite de 1940 les français ont soutenu massivement la résistance mise à part quelques collaborateurs. Une illustration de ce mythe est La Peste d'Albert Camus, paru en 1947. On le retrouve dans le cinéma populaire jusque dans les années 80. En 1983 Papy fait de la résistance