Département de Fatick

générale de la LONASE 1. Historique 2. Nature juridique 3. Rôle et mission 4. Organisation de la LONASE Section 2 : Présentation de la fonction financière l. Le département de la comptabilité a. Le service des opérations comptables b. Le service du contrôle des valeurs inactives et du pré archivage 2. Le département des finances a. Le service de la trésorerie et de la fiscalité b. Le service des caisses Chapitre II : Diagnostic de l’existant Section 1 : Diagnostic de l’organisation

sous son nom propre et sous l’enseigne « Entreprise Sénégalaise de travaux publics et de maintenance de génie civile ». C’est à ce titre qu’il a bénéficié de marchés de réfection et d’entretien des centres de santé de PALMARIN, DIOURBEL, KAOLACK et FATICK pour FCFA 200 000 000 (soit FCFA 50 000 000 pour chaque centre de santé. Observations sur les prix facturés Nous n’avons pas pu obtenir le cahier des prescriptions techniques ou cahier des charges des marchés ci-dessus attribués à Moussa DIAKHATE

Université de Lyon Institut d'Études Politiques de Lyon La coopération décentralisée francomarocaine dans la gestion de la ressource en eau : le cas de la coopération entre le Département de l'Hérault (CG34) et la Région Souss Massa Drâa Diplôme de l'IEP de Lyon 4ème année 2009 - 2010 CHOUKOUR Marc - Olivier Sous la direction de : Filali Osman Soutenu le : 7 septembre 2010 Membre du jury :Serge Miquel Table des matières Introduction . . 4 5 6 Première partie : Quel cadre d'analyse pour

sa mission, a reçu un appui institutionnel comprenant plusieurs formes : une technique et une matérielle. Parmi les réalisations les plus manifestes, on peut citer des actions de formation au bénéfice des élus locaux des régions de Ziguinchor et de Fatick : en tout 18 semaines de formation ont été organisées, regroupant plus de 200 élus locaux dans la période du 14 juin au 21 juillet 1999. Le PADDEL a également financé l’édition, la publication et la diffusion de plusieurs guides d’information portant

un contrat dans lequel, il lui est demandé de procéder à sa mise à jour pour le compte du Ministère de la Santé. Dans ce cadre, des activités ont été menées en partenariat avec la Division de la Santé de la Reproduction (DSR) et avec dif férents départements ministériels notamment la Direction de la Population et de la Planification du Développement Humaines (DPPDH) du Ministère de l’Economie et des Finances (MEF) et l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), du Ministère de

d’exécution dénommé le Programme Décennal pour l’Education et la Formation, le PDEF. Celui ci dispose d’une composante s’occupant exclusivement de l’éducation intégatrice. Le budget du ministère de l’Education est celui le plus important de tous les départements ministériels. Les stratégies développées pour répondre à l’objectif de l’éducation pour tous ont engrangé des résultats significatifs. Le taux de scolarisation brut qui était de 65,6% dans la période 98/99 est aujourd’hui de 75%. La politique de

dépôts sur masse monétaire de près de 76% considéré également comme le plus élevé de la zone UMOA ; * élargissement par les banques commerciales de leur clientèle par l’ouverture des guichets PME et des réflexions visant à la constitution des départements ou filiales de microfinance. * Sur le plan social En 1993, le pays était plongé dans une crise sociale très profonde liée à un contexte économique mondial « déprimé » et à l’essoufflement de certains secteurs d’activités comme la pêche

institué une répartition géographique des tribunaux en érigeant un tribunal pour chaque région (tribunal régional) et un tribunal pour chaque département (tribunal départemental). Les attributions conférées à ces juridictions dépendent entre autre, de l’importance du litige et de la matière elle-même, ce qui leur confère une importance inégale. Certains départements ont en effet une activité économique et sociale plus développée que d’autres et les tribunaux départementaux qui se situent dans leur ressort

collectivités locales en bannissant la notion de tutelle et en s’engageant davantage dans une voie d’accompagnement administratif des collectivités locales. Ce cadrage institutionnel a créé trois niveaux de déconcentration, à savoir : l’arrondissement, le département et la région. Ainsi, la nouvelle dialectique entre les collectivités locales détentrices d’un pouvoir renforcé et des charges diverses et les représentants de l’Etat chargés du contrôle de légalité et budgétaire se traduit par la production de

les régions de l’échantillon se répartissent comme suit selon l’importance de la pauvreté : (i) Kaolack, Kolda et Tambacounda sont à très forte incidence de pauvreté (plus de 60%), à côté de celles de Sédhiou, Kédougou, Kaffrine, Ziguinchor, et Fatick ; (ii) Diourbel est à forte incidence de pauvreté (entre 40% et 60%), à côté de Matam, et Thiès ; et (iii) Saint Louis est incidence de pauvreté moyennement forte (moins de 40%) à côté de Dakar et de Louga. 46. Si l’on considère la prévalence de