Denoncer La Misère

Hugo devient républicain. Les émeutes de Paris en 1932 sont illustrées avec Jean Valjean et les Trois Glorieuses en avec Gavroche. LA 1 : Livre V, Chapitre X → Fantine Comment Victor Hugo s’y prend-t-il pour montrer la misère de Fantine ? I. La peinture de la misère A. Une situation due à la dureté des conditions La description de Fantine commence avec la mise en emphase de l'argent « c'est de l'argent », « 10 francs », « 40 francs », « dette », « ruinée », « créancié » car elle vient

qui vit seule et dans la misère, qui se fait maltraiter par le « peuple ». Le second texte, est un extrait de Les Misérables où le sujet principal est la mère de « la petite cosette », Fantine, qui vit elle aussi dans la misère et essaie de gagner de l'argent pour pouvoir s'occuper de sa fille. Le 3ème texte, suite du second texte, expose le problème de « l'esclavage » pour la femme en Europe, la prostitution. La visée commune à ces trois textes est de dénoncer la misère et la différence entre

Hugo s’exil de 1857 à 1870. Pendant cet exil, il publie trois romans et quatre recueils de poésies. Il publie « Après une lecture de Dante », extrait de Les voix intérieures. Dans ce poème, Hugo évoque le travail dur et pénible des enfants et dénonce le travail de ceux-ci. La dénonciation du travail des enfants fera l’objet de cette courte analyse. Il sera montré que l’exploitation des enfants permet cette dénonciation appuyé par la souffrance de ceux-ci et la négligence des hommes face à cette

textes qui proviennent tous les trois du même auteur? Tout d’abord, ce corpus dénonce la situation et la misère de la femme dans la société, et sa prostitution au XIXe siècle. Pour exprimer cela, Hugo a utilisé un registre pathétique, d’où un champs lexical de la misère et de la souffrance dans Les Contemplations « Pas d’argent ; pas de pain » (v 7), « cœur qui se déchire » (v11), « la misère » (v 32), « deuils et pleurs éternels! » (v 41).. Et une référence à la prostitution par un

est trop lucide. L'esclave analyse et excuse fort bien la décision des parents-vendeurs. Ils sont victimes : de leur misère, de leur confiance et de leur excessive considération pour les blancs. On est face à une dénonciation trop lucide de l'exploitation des peuples simples, victimes de leur misère et de leur crédulité. Son esprit critique lui vient du narrateur : il sait dénoncer l'hypocrisie du discours religieux sur l'égalité « nous sommes tous enfants d'Adam » et retourner l'argument. Termes

la guerre. 2) La mise en scène du corps en morceau suggère un malaise social notamment la pauvreté, la misère, la mendicité, le rejet de la société (marginaux). Traduit une désorganisation, une anarchie ; tout est disloqué → éclatement social, chao. La guerre laisse un pays chaotique qui n’a plus de sens 3) Le contenu varié des vitrines à l’arrière-plan crée un contraste entre pauvreté, misère et abondante mais aussi entre les culs-de-jatte et les prothèses. Les femmes et les vêtements fleuris de

la police. On constate maintenant que les femmes sont maltraitées et n’ont pas les mêmes droits que les hommes. Pire encore il n’existe aucun respect vis à vis d’elle. Et Amaya est juste le symbole, femme symbolique dans un système que l’auteur dénonce. Le chef lui aussi représente son contre part: il représente tout l’abus de pouvoir après une révolution. Ici nous sentons, nous les lecteurs la critique, l’amertûme de l’auteur. De nouveau il n’accuse pas les humiliations de Amaya, des femmes, en

significative : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale. Albert Camus, élevé par sa mère mais surtout par une grand-mère autoritaire, et par un oncle boucher, lecteur de Gide, « apprend la misère » dans le quartier populaire de Belcourt, à Alger où ils ont émigrés : « La misère m'empêcha de croire que tout est bien sous le soleil et dans l'histoire ; le soleil m'apprit que l'histoire n'est pas tout. » Sa mère, Catherine Sintès, d'origine espagnole, fait des ménages pour nourrir ses

chez cosette ou les Thénardier réclament 15 francs a la mère biologique par mois pour qu’il continuer à s’occuper, ou plutôt maltraiter, cosette. Le narrateur précise également que la situation empiras, « d’année en année, l’enfant grandit, et sa misère aussi. » Si l’on en revient aux problèmes de maltraitance qui relie ces trois extraits on peut constater que la violence est essentiellement physique, en effet, Cosette dès l’âge de cinq ans devient une véritable servante chez les Thénardier, « elle

ironique et humaniste par ce qu’il dénonce, et rendit son auteur très célèbre. Swift propose que les pauvres du pays vendent leurs enfants âgés d’un an à ceux qui auront les moyens de s’offrir ce « mets délicieux, nutritif et sain». Cette proposition s’appuie sur un constat féroce de la misère du pays, dans une langue qui parodie le discours politique pour mieux souligner l’ironie de son argumentaire. Modeste proposition… s’ouvre sur un constat, celui de la misère humaine que l’on peut voir sur des