Démonstration du principe de l'harmonie

des lois objectives. La foi dans le progrès = les progrès scientifiques convainquent le philosophe que le progrès peut s’étendre à toutes les dimensions de la vie humaine. Cette foi s’accompagne d’une critique de l’autorité et de la tradition. Le principe du libre examen (= chacun est libre d’appliquer sa raison critique) joue un rôle dans le domaine religieux (opposition au dogmatisme, au fanatisme et au pouvoir de l’Eglise). L’idée que l’on peut progresser aussi dans le domaine des institutions

lois objectives. - La foi dans le progrès = les progrès scientifiques convainquent le philosophe que le progrès peut s’étendre à toutes les dimensions de la vie humaine. Cette foi s’accompagne d’une critique de l’autorité et de la tradition. Le principe du libre examen (= chacun est libre d’appliquer sa raison critique) joue un rôle dans le domaine religieux (opposition au dogmatisme, au fanatisme et au pouvoir de l’Eglise). L’idée que l’on peut progresser aussi dans le domaine des institutions

des âmes sensibles, tellement à la mode au 18ème siècle. ( histoire littéraire ) Quant à Pangloss, il est encore une fois raillé pour son optimisme irréductible, et surtout pour le vide et l’absurdité de sa réflexion qui se donne des allures de démonstration rationnelle - la répétition du verbe « trouver » en atteste - , mais qui manipule des arguments fallacieux, soit qu’ils relèvent de l’absence de jugement critique (« a priori »), soit qu’ils se réfèrent à une argumentation finaliste (« formée exprès

indépendamt de leur application particulière par pur raisonnemt, par démonstration. Ils ont ainsi inventé la démonstration. Montrer ce n’est pas démontrer. Ils font passer les maths de l’état de savoir empirique à l’état de savoir théorique cad dire un savoir qui consiste à trouver des lois par pur raisonnemt : à priori = indépendamt de l’expérience. Une démonstration se déroule à priori. On peut appeler tt et n’importe quoi démonstration. Une dém produit une vérité nécessaire, universelle et ne laisse

caractérise l’existence qui échappe à toute tentative | | |de justification et à laquelle il est impossible de donner un sens ; (Le mythe de Sisyphe d’Albert Camus) | | |La démonstration par l’absurde consiste à prouver de manière indirecte qu’une proposition est vraie en montrant que| | |sa négation conduit à une contradiction.

Par ailleurs, la gouvernance de Dieu n'est plus seulement examinée par rapport au mal moral, mais aussi par rapport à la cohérence et à l'unité du monde physique. De même que Hume avait sapé les fondements de la science moderne en s'attaquant au principe de causalité, ramené à une simple croyance fondée sur l'habitude, de même il s'attaque à la relation même de Dieu à la nature et au monde en critiquant la notion de finalité. En réalité, nous fait comprendre Hume, l'action divine sur la nature, "la

marionnette sans épaisseur : l’idée directrice est pertinente Erreurs à éviter :  Ne pas confondre une idée directrice avec les indices qui servent à l’étayer : ce que vous surlignez dans le texte n’est qu’une illustration pour soutenir la démonstration ; l’idée directrice ne peut être surlignée puisqu’il s’agit d’une interprétation. Un aspect formel du texte (champ lexical, figure de style…) ne peut constituer une idée directrice  Ne jamais séparer le fond de la forme ; ne jamais relever un

structure interne, ni contenu, ni forme. Ceci est faux. Par exemple, la géométrie est conditionnée par la nature de l’espace. E appelée en son honneur, géométrie euclidienne. Ces cinq axiomes sont des propositions évidentes qui n’exigent pas de démonstration. Quatre d’entre eux étaient absolument nécessaires. Le cinquième axiome, connu sous le nom d’axiome «des parallèles» (qui dit que par un point extérieur à une droite, il ne peut passer qu’une et une seule droite parallèle à la première), s’est

des âmes sensibles, tellement à la mode au 18ème siècle. ( histoire littéraire ) Quant à Pangloss, il est encore une fois raillé pour son optimisme irréductible, et surtout pour le vide et l’absurdité de sa réflexion qui se donne des allures de démonstration rationnelle – la répétition du verbe « trouver » en atteste - , mais qui manipule des arguments fallacieux, soit qu’ils relèvent de l’absence de jugement critique (« a priori »), soit qu’ils se réfèrent à une argumentation finaliste (« formée exprès

aiment argumenter sont formalistes pensent ce qui est français est mieux et qu’ils savent déjà Les japonais : écoutent de façon courtoise, acquièrent le contenu du discours est moins important que les manières de l’interlocuteur cherchent l’harmonie pas de critiques ou d’ordres directs seulement des allusions lisent entre les lignes sont formalistes Les allemands : écoutent de façon attentive n’interrompent pas (structure de la phrase, verbe à la fin) besoin d’informations sur le contexte