Délire paranoïde

6 mai 1966 (56 ans), célibataire, hospitalisé en psychiatrie (unité d'admission fermée) depuis le 04.05.2022 en soins libres (SL) pour décompensation de son trouble psychotique, et recrudescence d’idées délirantes. Un diagnostic de schizophrénie paranoïde a été posé en 1999 (patient alors âgé de 33 ans). Mr L. a un grand frère et une grande sœur qui est sa personne de confiance ainsi que la personne à prévenir. Elle vient régulièrement lui rendre visite. Mr L n'a jamais travaillé, et perçoit l'AAH

structures psychotiques Guy Gimenez 2022 •  Sémiologie  : symptômes, délire et hallucination, organisation du délire. •  Sémiologie  : Mécanismes à partir desquels le délire se construit : •  Psychopathologie

dans le déclenchement des mouvements volontaires. Il intervient aussi dans l’intégration de l’information sensorielle, dans les émotions. Le striatum joue un rôle dans la schizophrénie : augmentation des taux dopaminergiques dans le striatum (délires paranoïdes et hallucinations). Aire tegmentale ventrale (ATV) du tronc cérébral : l’activité glutamatergique des neurones de cette aire est fortement diminuée à cause d’un hypofonctionnement des récepteurs NMDA, récepteurs au glutamate. Hippocampe : situé

organique 4. Le délire paranoïde est (3 réponses exactes) A. à mécanisme unique B. mal organisé C. flou D. à thèmes variés E. systématisé 5. La schizophrénie débute habituellement (2 réponses exactes) A. entre 15 et 18 ans B. entre 18 et 35 ans C. plus précocement chez l’homme D. plus précocement chez la femme E. entre 35 et 50 ans Highlight 3/9 6. Quelles sont les 3 formes cliniques de schizophrénie les plus fréquentes ? (3 réponses exactes) A. paranoïde B. paranoïaque

ne pas avoir à vivre avec. 5- Diagnostic En se basant sur les critères de classification du DSM-IV-TR et sur les notions contenues dans le livre «Psychopathologie», il apparaît qu’Andrew Laeddis souffre d’une comorbidité entre la schizophrénie paranoïde et l’état de choc post-traumatique. La schizophrénie En effet, selon le DSM-IV, pour être considérée comme souffrant de la schizophrénie, une personne doit avoir deux (ou plus) des manifestations suivantes, chacune pendant une partie significative

haine primale envers une mère frustrante, et généré la fixation au stade oral (H.Segal). Munch eut une relation de plusieurs années avec une jeune fille nommée Milly Thaulow. Il fut alors sujet à des délires paranoïdes contenant des thématiques de jalousie et de persécution, ainsi que des épisodes hallucinatoires. Notons que Milly était femme et fille de militaire. Munch monta un système représentationnel dans lequel les

commence-t-elle d’une voix douce, ne vous inquiétez pas, je vous assure qu’il n’y a rien de tel dans cet établissement. Les doses de médicament que vous venez de prendre, avaient comme effet de vous stimuler la partie du cerveau où il crée ce délire paranoïde… » Jocelyn ne s’est même pas donné la peine de répondre. C’est ça le problème avec les«gens normales». Ils étaient vulnérables à tout car ils ne croyaient en rien…

Des troubles du rythme cardiaque. Ils peuvent être à l'origine d'accidents cardiaques, notamment chez des personnes fragiles et/ou qui consomment de fortes quantités de tabac.  - Des troubles psychiques, une grande instabilité d'humeur, des délires paranoïdes ou des attaques de panique.  - Une augmentation de l'activité psychique et, par conséquent, des insomnies, des pertes de mémoire et des phases d'excitation. -La cocaïne peut conduire à des actes de violence, des agressions sexuelles, des

1. Le délire : · N’est présent que dans les maladies psychotiques· Est une idée en opposition évidente avec la réalité, · Comporte la conviction inébranlable de la véracité de cette idée· Appartient aux troubles anxieux 2. Quel peuvent être les mécanismes d’un délire ? · Hallucination, · Mégalomanie· Interprétation· Persécution 3. Un état délirant aigu peut : · Être isolé, · Être le mode d’entrée dans une schizophrénie,

Troubles du langage…………………………………………………………………… P.12 7/ Troubles de l’humeur et de l’affectivité……………………………………………….. P.12 8/ Troubles psychomoteurs……………………………………………………………….. P.12 B/ Définition et évaluation diagnostique…………………………………………………. P.13 1/ Le délire érotomaniaque……………………………………………………………….. P.13 2/ La pathologie limite……………………………………………………………………. P.14 3/ Psychose et addictions…………………………………………………………………. P.15 IV) Discussion et hypothèses diagnostiques…………………………………………… P.17 Conclusion………………………………………………………………………………