Déforestation

(capitalisme, consommation de masse, systèmes « énergivores ») suivant celui des pays anciennement industrialisés produit actuellement menaces sérieuses sur l’écosystème mondial ( dégagement de gaz à effet de serre, réchauffement climatique, déforestation à outrance, désertification etc.) .On peut se demander si la mondialisation actuelle a de l’avenir .Ne faut-il pas trouver une autre sorte de mondialisation , axée plutôt sur un développement durable ?

brésiliens du jardin botanique de Rio de Janeiro étudient la biodiversité de la forêt Atlantique (Mata Atlântica) avant qu’il ne soit trop tard : après deux siècles d’exploitation, seulement un dixième de la superficie de la forêt demeure intacte… Déforestation massive, plantation de canne à sucre et de café, la frénésie humaine à eu raison de cette perle de biodiversité. Mata Atlântica couvrait 16% du territoire brésilien. Après deux siècles d'exploitation seulement un dixième de sa superficie

de destructions irréversibles car toute production et toute consommation est destruction de richesses :  L’épuisement des richesses naturelles. La fin du pétrole est annoncée pour le XXIe siècle. Le poisson est en train de disparaître. La déforestation progresse toujours. La terre et de l’eau s’épuisent (salinisation des terres, insuffisance des réserves en eau…) ce qui peut engendrer de nouveaux conflits pour leur partage. Une partie de ce capital naturel n'est pas reproductible. Ainsi, la

responsable de la tragédie, le maire, les chercheurs d’or, tous ceux qui souillait la virginité de son Amazonie (…) » Ce passage dénonce le mépris qu’à Bolivar envers ceux qui ruinent les richesses de sa patrie, avec la colonisation forcée et la déforestation de la forêt amazonienne. Lorsque Luis dit qu’ils souillent la virginité de l’Amazonie, il veut enfaite dire qu’ils exploitent des ressources qui n’avait pas été exploité et qui ne devrait pas l’être. C’est aussi avec se même point de vue qu’il

rôle extrêmement important dans cette problématique. L’écologie fait partie de l’actualité. Elle met l’accent sur le mal-être de la Terre et du fait que les hommes la mettent en danger (chasse et pêche intensive, fruits et légumes traités, OGM, déforestation…). Mais l’Homme n’est pas que mauvais envers la nature. Il existe effectivement des associations comme Green Peace et la WWF qui veillent à la protection de l’environnement. Selon Chateaubriand, l’Homme serait néfaste à l’environnement

durable serait un homme, entre 18 et 34 ans, ayant un enfant de moins de 18 ans et fréquentant l’hôtellerie très économique. Conclusion : Depuis plusieurs dizaines d’années, nous sommes confrontés aux problèmes de l’environnement : pollution, déforestation, dégradation de l’éco système. Chaque jour, notre planète souffre de nos avancées technologiques, et de nos furieuses envies de contrôler les évènements les plus naturels. Les grandes entreprises en sont conscientes, et on le désire de réparer

des glaciers fera monter le niveau des mers et des îles seront noyées. De plus, Des hommes et des femmes appelés réfugiés pourraient migrer d’ici à 2050 sous l’effet des inondations, de la dégradation des sols, des catastrophes naturelles, de la déforestation... Ce changement climatique perturbe aussi les saisons, l'hiver devient plus chaud, et l'été perd sa chaleur. Ce phénomène provoquera encore, des montées des eaux donc des remontées au niveau de la nappe phréatique. Les gaz à effet de serre (GES)

et écosystèmes naturels : Le potentiel en eau est très inégalement reparti et demeurent très limités par rapport aux besoins, ce qui entraine leur surexploitation de manière irrationnelle et brise ainsi l’équilibre naturel. 1 La déforestation, qui contribue au réchauffement climatique, appauvrit la biodiversité et accroît le risque de catastrophes naturelles telles que les inondations. Ce déboisement rapide des forets par l’activité humaine entraine également la dégradation des sols

moins nocives et polluantes dans l'environnement, selon des proportions différentes en fonction de leur activité. La consommation intense des ressources naturelles par certaines industries provoque des dégâts environnementaux considérables : déforestation, extinction d'espèces animales ou végétales, épuisement des ressources... De graves pollutions de l'environnement, ainsi que le réchauffement climatique, sont à déplorer en partie à cause des rejets des entreprises : rejet de substances nocives

industrielles n’ont cessé de se multiplier : Tchernobyl, Seveso, Bhopal, Exxon Valdez pour ne citer que les plus graves. Sans oublier les dégâts écologiques inquiétants : pollution de l’air et de l’eau, disparitions des espèces animales et végétales, déforestation massive, désertification.... D’où ces questions fondamentales : Comment concilier progrès économique et social sans mettre en péril l’équilibre naturel de la planète ? Comment répartir les richesses entre les pays riches et ceux moins développés