Deficit Budgétaire

................................. 2 FONCTIONNEMENT DE LA LOLF ........................................................................................................................ 4 I. II. 1. 2. III. 1. 2. IV. LA LOLF : NOUVELLE ARCHITECTURE BUDGETAIRE ................................................................................................. 4 CHANGEMENTS APPORTES PAR LA LOLF .............................................................................................................. 5

les statistiques économiques et financières d'un Pays *PIB *Chômage *Inflation *Consommation *Production industrielle *Balance commerciale *Déficit public *Dette publique PIB Le PIB (produit intérieur brut) est le principal indicateur utilisé pour étudier l'activité économique d'un pays. Il mesure l'ensemble des richesses créées sur une année, autrement dit, la valeur totale de la production interne de biens et services par les agents résidant sur le territoire national. -Montant du

n'ont guère changé depuis les consultations de 2012 au titre de l'article IV. L'activité économique a continué de se redresser progressivement après l'effondrement de 2009, et l'inflation est restée modérée. Cependant, les marges de manoeuvre budgétaires se sont réduites, comme en témoigne la légère hausse de la dette publique et l'épuisement des dépôts de l'État. Une nouvelle accumulation d'arriérés intérieurs, à cause des subventions au carburant considérables, et la gestion médiocre des finances

Chapitre IV : Finances publiques La politique budgétaire a joué un rôle important dans la stabilisation macroéconomique, en endiguant tout effet d'éviction ces dernières années, dans un contexte d'amélioration de l'allocation des ressources notamment au profit de l'activité économique. Sur le plan structurel, le budget a été renforcé d'une part, par un réaménagement du régime fiscal visant à réduire progressivement la dépendance de l'économie envers les recettes provenant des hydrocarbures

l'agence un peu plus d'un mois et n'est donc pas justifiée». En mars, le S & P avait coupé la notation à BB-et a averti le pays face à un autre déclassement si le budget 2010 ou 2011 les résultats budgétaires en deçà des attentes. En fait, la Grèce manquée ots objectif budgétaire 2010 (un déficit budgétaire de 10,5% du PIB contre un objectif de 9,6%) et la réalisation de l'objectif de 2011 est incertaine, S & P dit. "Nous pensons que de nombreux créanciers zone euro de la Grèce ont conclu que le

d’Emplois, ainsi qu’une amélioration du solde budgétaire et du commerce extérieur. Cependant avec la crise économique actuelle les pays de l’UE sont très touchés et leurs espérances s’envolent, certains pays pensent même à sortir de la zone euro et récupérer leur monnaie nationale. Ainsi, le pacte de stabilité et de croissance signé en 1997 entre les pays de l’UE n’est pas respecté. Ce dernier exigeant un respect en matière d’endettement public, fixe un déficit public dans la limite de 3% du PIB, et une

conséquences pour les français ? Dans un contexte de ralentissement de la croissance mondiale, le gouvernement français a pris certaines décisions, afin de consolider la trajectoire de finances publiques et d’atteindre les objectifs de réduction de déficit. Dans un premier temps, j’amènerais la mesure prise par le gouvernement. Ensuite, les causes de cette mesure puis enfin les conséquences qu’elle aura dans quelques années. Le relèvement de la T.V.A (Taxe sur la Valeur Ajoutée) à taux réduit

recherche pas le profit mais d’avantage la satisfaction de l’intérêt général. De même, l’Etat peut se permettre un déficit limité mais durable et parfois ce déficit est considéré comme un remède à la crise économique, en effet la théorie de Keynes suppose des dépenses publiques, par contre, les finances privées, les finances particuliers, des entreprises ne supportent pas un déficit prolongé. Au bout d’un certain temps, les créanciers vont s’inquiéter et vont couper définitivement les crédits accordés

publiques au terme du premier trimestre 2009, indique un solde budgétaire global excédentaire de 261,9 milliards contre un déficit de 14,7 milliards prévu. Ce solde est expliqué par un niveau de recettes et dons de 698,4 milliards contre des charges exécutées à 436,5 milliards. Hors l’incidence des dons destinés à l’apurement des arriérés de la BAD (183,9 milliards), le solde global ressortirait excédentaire à 78 milliards à comparer à un déficit estimé à 43,1 milliards au premier trimestre 2008. Enfin

politique budgétaire expansionniste, avec notamment une hausse considérable des dépenses salariales, dépenses d’investissement et de compensation liée au renchérissement des matières premières au niveau international (en plus de l’effet « volume »), la sécheresse, le contexte régional et l’atonie de la croissance en Europe « 1er partenaire économique »… Cette politique accompagnée d’une décélération de la croissance a contribué au creusement du déficit budgétaire. En dépit du creusement du déficit budgétaire