Deficit Budgétaire

haut responsable européen qui s'exprimait sous le sceau de l'anonymat. Les mesures de rigueur budgétaire Tour d'horizon des plans anti-déficit annoncés par François Fillon le 24 août puis le 7 novembre. [pic] En moins de trois mois, le gouvernement a annoncé deux vastes programmes de rigueur budgétaire.  L’objectif est de permettre à la France de respecter ses engagements de réduction des déficits publics malgré le ralentissement économique. Et envoyer des signaux de bonne gestion à l'Europe

économique Présentez l'évolution des finances de l'État en France (3 points) • le déficit public : • - évolution il se creuse (passe de 1,5% du PIB en 2001 à 3,6% du PIB en 2004), mais il est contenu (passe de 4,2% du PIB en 2003 à 3,6% du PIB en 2004) • la dette publique : • - évolution : elle est en constante augmentation (passe de 56,2% du PIB en 2001 à 64,7% du P113 en 2004) • La charge budgétaire de la dette de l'État - évolution : elle augmente et elle est très lourde (environ 14%

trop élevés ce qui rend presque impossible la gestion des finances du secteur public. Les auteurs ont absolument raison de rappeler que des contraintes budgétaires très strictes ont été imposées à tous les niveaux d’administration et que la politique budgétaire s’inscrit maintenant dans un cadre plus satisfaisant. Il n’en demeure pas moins que le déficit du secteur public reste dans une fourchette de 2 % à 3 % par an, conséquence de l’augmentation constante des obligations au titre du service de la dette

symbole de la souveraineté des Etats, rôle de réparation/lien social dans les sociétés à monnaie primitive (/0,5) !2) La politique budgétaire de rigueur en période de récession est-elle efficace pour lutter contre le déficit public ? (3 points) - Rappeler de façon explicite ce qu’est une politique budgétaire de rigueur, le déficit public et la récession (/1) - Effet pervers dû au stabilisateur automatique (à expliquer et pas seulement évoquer) (/1) - Effet pervers dû à

contraintes de liquidité On parle dans ce cas d’une contrainte imposé par les états à eux-mêmes elle fait suite au pacte de stabilité de 1997. Le déficit budgétaire ne doit pas excéder 3% du PIB et la dette 60%. On arrive ainsi à déduire la croissance nécessaire à ces contraintes puisque la charge de la dette, qui est une composante importante du déficit, est remboursée par l’état dont le revenu est fonction du PIB. Or pour tenir les engagements de convergence les états devraient afficher une

dépendent directement. Il y a également eu un creusement massif des déficits budgétaires, qui a été provoqué par l’explosion des dettes des Etats. La dette peut très vite devenir incontrôlable, s’il y a un dérapage du taux d’intérêt. Pour essayer de se sortir de cette dette, les Etats essayent de trouver des solutions, comme par exemple augmenter les impôts, et en réduisant les dépenses mais cela ne suffit pas à combler le déficit. Mais, il n’y a pas que la dette publique, l’économie réelle a elle

cateurs budgétaire initialement finances indicateurs budgétaires initialement arrêtés par liquides. constitue un facteur de vulnérabilité •La maîtrise des dépenses de la compensation de finances. risque important pour le respect en indi- dans la limite desL’objectifautorisés par lele recours aux que cette situation est des d’indexation prix des étant d’éviter et un Il s’avère de finances. Il s’avère que cette situation partielle des crédits combustibles de l’année, et rallonges budgétaires au cours

28/12/2012 Le choc de la Révolution a généré la détérioration des fondamentaux de l’économie tunisienne : une flambée des prix à la consommation ramenant le taux d’inflation, au mois de juin 2013, à 6,4 % en glissement annuel, un creusement du déficit de la balance courante (4,2 % du PIB pour le premier semestre de 2013) et un tarissement du stock des réserves de change (104 jours d’importations au début du mois d’aout 2013). Du coup, des pressions baissières se sont abattues sur la monnaie tunisienne

LA GRECE Depuis le 9 Septembre 2009, le gouvernement Grec a annoncé les réels chiffres relatifs à l’état de son économie. Le déficit public s’élève à 12,7% du PIB, révisé depuis le 22 avril à 13,6%. L’endettement quant à lui s’élève à 115% du PIB. La Grèce est désormais loin des critères fixés par le traité de Maastricht qui imposent un déficit public en dessous des 3% du PIB ainsi qu’une dette publique inférieure à 60% du PIB. La crise économique en Grèce affole les marchés internationaux mais

du PIB) en 2010, déficit budgétaire qui dépasse les 13 % du PIB1. Cette crise, qui a contribué aux perturbations financières de 2007 à 2011, a été aggravée par le manque de transparence dont a fait preuve le pays, lors de son entrée dans la zone euro, dans la présentation de sa dette notamment par la levée de fonds hors bilan et par le biais d'instruments financiers mis au point par la banque d'investissement Goldman Sachs2, ainsi que par une sous estimation récurrente des déficits publics 3 . Ce qui