Défaitisme

Nous ne devons pas nous écarter de la bonne voie. Le problème véritable est de savoir si nous sommes seuls ou si nous coopérons avec les autres peuples libres du monde. Je suis persuadé que le peuple américain ne cédera ni à l'impatience ni au défaitisme. Je suis sûr que notre courage et notre sagesse seront à la hauteur de la grande épreuve que nous sommes en train de subir." Extraits d'un discours radiodiffusé prononcé par Harry Truman, le 8 mai 1951 (publié dans "Le Monde", le 9 mai 1951)

trop difficile : c'est un livre pour normaliens! » Elle semblait s'imaginer que les femmes pouvaient passer le concours au rabais; c'était, partant battue d'avance, abandonner effectivement aux hommes toutes les chances de succès. Par suite de ce défaitisme, la femme s'accommode facilement d'une médiocre réussite; elle n'ose pas viser haut. Abordant son métier avec une formation superficielle, elle met très vite des bornes à ses ambitions. Souvent le fait de gagner sa vie elle-même lui semble un assez

autre mondialisation - l'altermondialisme -, mauvais remake d'une sinistre illusion. Hubert Védrine, dans son « Rapport pour le président... » (1), pointe les affluents de cette déplorable « exception française » : la « magie » de l'Etat, le défaitisme d'une langue submergée par la marée anglophone, l'antiaméricanisme rampant, un égalitarisme d'héritage catholique et marxiste, l'effondrement plus récent, lui, de la confiance dans le progrès. Et, brochant sur le tout, une mauvaise querelle contre

par la force ». 17 % seulement suivent Marcel Déat qui, dans L'Œuvre du 4 mai, avait jugé absurde de « mourir pour Dantzig ». le patriotisme traditionnel a donc conservé une grande emprise sur les esprits : voilà qui infirme l'image répandue d'un défaitisme généralisé. =>L'entrée en guerre se fait dans la résignation générale, mais le nombre des désertions reste infime. Mais, la situation diffère de celle de la première guerre: le motif de l'entrée en guerre= moins mobilisateur que celui des provinces

personnalités effacées, peu connues, surtout des hommes qui lui sont fidèles. Ceci lui permet de conserver le premier rôle : pour preuve, il prend pour lui le ministère de la guerre. Une fois président du conseil, Clemenceau lutte contre le pacifisme et le défaitisme : il fait poursuivre les socialistes et les syndicalistes qui appellent à la paix pour crime de haute trahison, et les envoie sur le front. Il faut poursuivre Malvy et Caillaux en haute cour : Malvy sera condamné à 5 ans d’exil, et Caillaux condamné

intérieur ou extérieur, brandie en permanence, est le prétexte à l'unité du parti, c'est-à-dire en fait au monolithisme idéologique. Le poids de l'appareil devient considérable sous l'influence de STALINE. La volonté de STALINE a finalement triomphé du défaitisme de TROTSKI. STALINE S'IMPOSE Vers 1927-1928, il ne reste en lice plus que STALINE et BOUKHARINE. STALINE, malgré les bons, mais relatifs résultats stoppe la NEP. La «crise des ciseaux», le chômage (environ 2 millions), l'approvisionnement alimentaire

durant l’été 1917. Article détaillé : Journées de juillet 1917. Dans les premiers mois de 1917, la guerre a moins été rejetée en elle-même que l’incapacité du tsar à la mener efficacement, ainsi que l’inhumanité ou l’incurie des officiers. Le « défaitisme révolutionnaire » prôné par Lénine est très impopulaire jusqu’au sein du parti bolchevique. Beaucoup, et pas seulement dans les élites bourgeoises, escomptent en Russie un sursaut patriotique et jacobin face à l’Allemagne du Kaiser, de même que

aucune difficulté serieuse ne peut etre relevés. Il est vrai que le parti communiste dont la strategie est prise à contre pied par le pacte germano-sovietique est et qu'une fraction de ses militants se lance parfois dans une activité proche d'un defaitisme revolutionnaire perçu comme capable d'amener plus vite la revolution. Parcontre et contrairement à toute les craintes, il ne se passe rien à l'Ouest, c'est la drole de Guerre. Aucune operation aerienne, pratiquement pas d'operations terrestres,

Allemagne et au Royaume-Uni se manifeste aussi un patriotisme sans faille[51]. De même, en Russie, une opposition à la guerre se développe dans les milieux libéraux et révolutionnaires. Les socialistes russes sont divisés entre le ralliement et le défaitisme. Le président français Raymond Poincaré appelle à l’Union Sacrée[52]. La Chambre et le Sénat français votent les crédits de guerre à l’unanimité. Il en va de même au Reichstag où les députés sociaux-démocrates votent aussi par 78 contre 14 les crédits

Bon Marché ? Retirer son pantalon et rester là debout en caleçon… ? 46 Cela n’avait pas de sens. Pas le moindre sens. « Tout de suite ? » demanda Mme Topell. Et bien qu’il sût que tout cela n’avait pas de sens, et bien qu’il eût sombré dans un défaitisme sans fond, Jonathan confirma d’un signe de tête. Mme Topell sourit : « Regardez, monsieur : tout ce que vous voyez là (et elle montra une tringle à vêtements de deux mètres de long, toute encombrée de robes, de vestes, de pantalons et de corsages)