Déduction et induction

qu’on part d’un principe pour en déduire les conséquences ou qu’en sens inverse, on part des conséquences observées pour remonter au principe dont elles peuvent dépendre, on procède dans le premier cas par déduction dans le second cas par induction. Pour schématiser quelque peu, la déduction, c’est partir du général pour arriver au particulier l’induction, c’est partir du particulier pour arriver au général. La méthode déductive caractérise surtout la logique mathématique. C’est-à-dire

et c’est cette méthode qui paraît retenue par la jurisprudence et parfois par certains auteurs en doctrine. II. Les procédés de l’interprétation Deux procédés fréquemment utilisés : A. Le raisonnement par analogie B. Le raisonnement par déduction. A. Le raisonnement par analogie Il nous faut définir le terme même d’analogie. L’analogie consiste à rapprocher une solution rendue dans une situation donnée et la solution qui doit être apportée à une situation nouvelle voisine. Le raisonnement

travaux préparatoires ou à la tradition juridique, pour « éclairer le sens immédiat des textes »69(*) ; et d'autre part une technique rationnelle, s'appuyant sur plusieurs types de raisonnement - par analogie, a fortiori, a contrario, et par induction suivi de déductions - pour déterminer la portée de la règle à interpréter. C'est vers la fin du XIXème siècle que le contexte socio-économique imposa le recours à « des techniques contextuelles de plus en plus distantes du sens littéral de la loi et de la

des matières non prévues mais semblables. Quand il s’agit d’un texte d’exception à un principe général on peut utiliser l’argument à contrario alors que pour un texte plus général, on peut raisonner par analogie. Raisonnement par induction et déduction : A partir d’un certain nombre de textes de loi, on peut induire un principe général dont on va déduire ensuite la règle pour le cas non prévu par la loi. L’école exégétique reste proche des textes existants, cette méthode peut être considérer

degré de juridiction pourra changer la solution . C'est un droit très empirique , il repose sur des cas concrets . Un droit par induction , la règle se dégage du cas concret et le cas concret fait remonter vers une règle générale tandis que dans le premier système on pose une règle de droit formulée dans sa généralité et on l'applique a un cas particulier = déduction . Nuance : dans notre système la jurisprudence acquiert une place prépondérante . La place de la loi dans le système de common

post-condition n’est pas entièrement satisfaisante. Elle comporte deux lacunes : elle n’est pas directement déductible du texte et le sens de la variable trouve n’est pas bien défini, même si le programme est juste. Regardons maintenant le processus de déduction. Reprenons le programme avec sa pré-condition, mais sans post-condition pour le moment : PRECOND n>O; DEBUT VAR i: entier, trouvé: bool; i:=O; trouvé:=FAUX; TANTQUE kn ET NON trouvé FAIRE i:=i+l ; trouvé := objet=t[i] FAIT FIN 26 27 DONNEES

un syllogisme, une déduction en raccourci. →A côté de cela, on a l’induction ou exemplification qui part du particulier : on s’appuie sur des signes, des indices et on en tire une conclusion sans tout spécifier au départ. ✌ « le feu est vert, on peut passer » repose sur la prémisse « chaque fois que le feu est vert, on peut passer » ✌ Mais la prémisse tronquée n’est pas tjs si juste : « mon ami m’a prêté de l’argent, donc je lui suis reconnaissant » est une induction qui repose sur l’affirmation

raison humaine : il faut compléter les textes sacrés, l'homme va devoir développer son intelligence et va essayer de découvrir les règles les lois qui régissent l'univers. *processus de découverte du Droit : Par induction alors que dans la conception moderne on procède par déduction. L'homme doit collectionner les faits et remonter vers des principes généraux à partir de la réalité. Ex : l'esclavage est une institution qui existe depuis toujours : c'est donc une institution de droit naturel. A

à néant les efforts des vendeurs et du marketing. Les détaillants courroucés sont moins enclins à pousser les nouveaux produits du fabricant. Ils tardent eux aussi à payer leurs factures, et ne règlent souvent que ce qu'ils pensent devoir, après déduction de la valeur de leurs retours. Chez le fabricant, cela met en émoi le service de la comptabilité clients, car le montant du chèque reçu du client ne correspond pas à la facture. Finalement, le fabricant baisse les bras, incapable de reconstituer

éthique = agir ! Remonter au concept pour comprendre l’universel donc bien vivre = finalité éthique. Comment s’appelle ce type de raisonnement ? La méthode de SOCRATE est un effort de définition, par la forme de raisonnement qu’on appelle induction : partir des aspects les plus divers de la réalité concrète, les dépouiller progressivement de tout ce qui est accessoire pour arriver à l’essentiel = le concept, l’idée générale. Faites le lien entre les notions d’humanisme et de responsabilité