De La Nécessité D Un Pouvoir Coercitif

Introduction science politique : I] Qu’est-ce que la science po ? Définition : Deux définitions insuffisantes car trop subjectivistes : science po = science de l’Etat ; science po = science du pouvoir. 1) La science po n’est pas seulement la science de l’Etat Pourrait venir de polis en grec, cité, politique renvoie étymologiquement tout ce qui touche le gouvernement, l'état en tant qu'agent permettant la décision, l'élaboration et la mise en œuvre de politiques. Politique serait donc la science

Relations de pouvoir au sein d'une organisation |[pic] | |Haut du formulaire Appréciation des utilisateurs:[pic][pic][pic][pic][pic] / 33 Faible[pic][pic][pic][pic][pic]Meilleur [pic][pic][pic][pic][pic][pic][pic] Bas du formulaire |Les relations de pouvoir renvoient à un champ d’étude très vaste. Je tenterai d’exposer les principaux mécanismes régissant les | |relations de pouvoir en me référant à la notion de légitimité en lien avec le sujet de mon mémoire qui est le suivant : « La

véritable initiateur de la sociologie de la mémoire (1877-1945). Dans son livre « les cadres sociaux de la mémoire » Halbwachs s’évertuent à montrer en quoi les cadres sociaux guident nos mémoires et s’imposent dessus directement, par son aspect coercitif. Halbwachs conteste donc l’approche qui voudrait découvrir le fonctionnement de la mémoire uniquement à partir de la psychologie individuelle. Son analyse des fondements sociaux de la mémoire se déploie sur trois plans : celui de la famille, celui

capitalisme dont le libéralisme doit désormais être ordonné. -La grande entreprise se distingue par la masse de ses capitaux, par l’importance de son chiffre d’affaire, par l’ampleur des effectifs qu’elle emploi. -Elle s’affirme comme un centre de pouvoir qui influence de manière décisive l’investissement, la production, la vie sociale, les échanges et par fois aussi la décision politique par les pressions qu’elle est en mesure d’exercer sur les Parlements ou les gouvernements (Le rôle des lobbies

individuels ou collectifs, légitimes ou non. C’est donc au caractère coercitif de cette notion qu’il est important de se focaliser afin d’en extraire le sens. Il met en garde contre le « raisonnement (...) qui consiste à ne qualifier comme violences que les comportements jugés illégitimes, réservant aux autres l’emploi d’un lexique euphémisant : coercition, contrainte, force, etc. » et conclut que « si indiscutable que soit la nécessité sociale de cette approche éthique de la violence, ce n’est pas le

versez votre or ! » propagande. L'État mobilise 22 milliards en fond national. La balance devient déficitaire, et, au fur et à mesure que le temps passe, ce n'est plus aux Anglais mais aux Américains qu'on emprunte. 1917: 300M. 1918: 700M. Même nécessité dans la Duplice. Recours aux neutres. Hollande, Danemark, Suède, USA. USA sont les premiers fournisseurs de l'Allemagne jusqu'en 1915. En 1916, France et UK deviennent les plus gros clients des US. Les pavillons neutres ne sont pas attaqués jusqu'à

dessus d’elle. Ainsi, les lois ordinaires s’imposent a tous les citoyens par le seul fait qu’elles sont conformes a la constitution. II- Les caractères de la règle de droit La règle de droit a un caractère obligatoire, général, permanent et coercitif. Le caractère obligatoire de la règle de droit La règle de droit est obligatoire pour tous ceux a qui elle s’applique, faute de quoi il ne s’agirait plus d’une règle mais d’un simple conseil de conduite. Toute règle de droit contient nécessairement

sur la nécessité d’un Code. Voltaire n’en parle pas, Montesquieu y est plutôt hostile : « Faire une coutume générale de touts les coutumes particulières serait une chose inconsidérée » (Esprit des lois, livre XXVIII, ch. 37). A cela s’ajoutent de nombreuses résistances politiques. L’Eglise craint la sécularisation d’un certain nombre d’institutions, comme l’état civil, alors sous son autorité. Les parlementaires sont opposés à une unification du droit qui porterait atteinte à leur pouvoir d’appréciation

L'autoritarisme est le caractère autoritaire, arbitraire d'un régime ou d'un pouvoir politique qui veutimposer à la société et aux citoyens son idéologie et la toute-puissance de l'Etat. Les rapports entre les gouvernants et les citoyens sont basés sur la force et non sur une légitimitédémocratique. Le pouvoir, au main d'un souverain, d'un parti, d'une junte militaire... n'est pas partagé et il n'existe pas de contrôle du pouvoir exécutif. Les élections, s'il y en a, ne sont qu'une apparence dedémocratie et

préoccupation au sortir de la grande guerre, elle ne fait pas obstacle à une forte volonté de créer une Europe puissance depuis longtemps pensée et progressivement appliquée. Au lendemain de la guerre la plus sanglante du XXème siècle, la première nécessité pour les dirigeants Européens, au premier rang desquels Aristide Briand, ministre des affaires étrangères en 1919, est de faire taire les affrontements internes. Aristide Briand qui représente la France au traité de Versailles est un acteur clé qui