De La Cour La Bruyère Les Caractères

SEQ. La Bruyère SEANCE 3 : La structure et les thèmes majeurs des livres V à X des Caractères  : Livre V « De la société et de la conversation » :La parole, la prétention, la vanité : 1 à 5 sur le manque de discrétion, de bon goût dans la prise de parole, 6 sur la préciosité, 7 « Acis » sur le langage compliqué et pédant, 8, 9 « Arrias », 11, 12 « Théodecte », 13 « Troïle ».La parole et dire ce que l’on pense ou parler au

Fables : « Le monde est vieux, dit-on, je le crois ; cependant il le faut encor amuser comme un enfant » illustre bien cette idée. Je peux vous donner pour exemple certaines fables de La fontaine dont : Les Obsèques De La Lionne, ou il critique la cour de manière indirecte pour éviter la censure principalement. 2-L’argumentation directe est-elle efficace selon vous ? OUI. Les idées sont énoncées de façon simple et compréhensible. Elles sont écrite noir sur blanc, il n’y a pas d’ambiguité dans

1) Identifier le genre de chaque textes. « Les Obsèques de la lionne », de La Fontaine, est une fable. L'extrait du texte « De la cour », tiré des Caractères de La Bruyère est un article tiré d'un rassemblement de plusieurs articles dans une oeuvre. L'extrait des Lettres Persannes de Montesquieu est une lettre. L'extrait de Yvonne princesse de Bourgogne est une pièce de théâtre de Gombrowicz. 2) Dans les textes de ce corpus, quelles sont les critiques formulées envers les courtisans? (quatre

personnage, à l'occasion hôte de son roi, et il vivait en un temps où le fanatisme était plus courant que la tolérance. C'est pourquoi, sans doute, il a défendu la tolérance avec tant de conviction. La Bruyère, Les Caractères 1. Un être suffisant 2. Dans une société policée 3. L’habilité du portraitiste La Bruyère nous donne son idée des convenances à respecter dans une société polissée. Il présente les règles de savoir vivre, de bonnes manières et dresse un portrait du type même du causeur pervertit par

on accourut à Saint-Cloud de toutes parts ; on trouve tout consterné, excepté le coeur de cette princesse. Partout on entend des cris ; partout on voit la douleur et le désespoir, et l'image de 1 la mort. Le roi, la reine, Monsieur, toute la cour, tout le peuple, tout est abattu, tout est désespéré ; et il me semble que je vois l'accomplissement de cette parole du prophète : le roi pleurera, le prince sera désolé, et les mains tomberont au peuple de douleur et d’étonnement. Mais et les princes

parfaite unité. Les grands auteurs de l’époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s’inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s’inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce qui concerne les mœurs, le plus beau et le meilleur est enlevé ; l’on ne fait que glaner après les Anciens et les habiles d’entre les modernes ». Cependant cette imitation considérée comme une loi

La Fontaine, « Fables » a.) Corpus d’examen b.) Éléments de biographie c.) Caractères, La Bruyère d.) Morale et art de vivre e.) Épicure – extraits f.) La gaieté g.) Thème de la mort h.) Théophile Gautier, Mademoiselle de Maupin, Préface (1880) Généralités Contexte historique Le Classicisme, 17ème siècle, une période d’ordre et d’autorité. C’est l’époque de Louis XIV, l’autorité des seigneurs féodaux diminue de plus en plus. Ce roi marque l’apogée de la monarchie absolue de droit divin : le

Classicisme : - Principes : créer des modèles en fondant chaque genre littéraire (théâtre, poésie, essai philosophique) sur des règles de construction claires et rigoureuses - Thèmes essentiels : La peinture des caractères et des désirs, des sentiments humains (// La Bruyère, Les Caractères) La confrontation de l’individu avec les contraintes sociales, politiques et morales  tragédie (amour vs devoir, lois) // Racine, Phèdre La figure de l’honnête homme, idéal équilibré (courtois, honnête, intelligent

est présenté comme un homme accessible contrairement à l’image habituelle que nous avons du monarque au XVIIIème siècle. La subordonnée relative vient accentuer la description méliorative du roi. Ex. Lignes 15 à 17 « Candide demanda à voir la cour de justice [...] et on lui dit que non. » E.T. négation I. Ce pays n’étant confronté ni à la misère ni aux violences, contrairement à la société du XVIIIème siècle il n’y a pas de système judiciaire. A priori, cela voudrait dire que dans un pays

d'un titre étrangère à son palais. Ses propos nostalgiques, Acte III scène 1, témoignent de son « mal du pays » : « Que ne suis-je encor, moi qui crains tous ces grands/ Dans ma bonne Allemagne, avec mes bons parents ! » Elle s'accommode mal de cette cour qui lui inspire de la crainte. Cette angoisse se cristallise tout particulièrement sur Don Salluste : « Ce marquis est pour moi comme le mauvais ange » « Cet homme redoutable » (acte II, sc. 1). Elle souffre de l'étiquette qui règne dans ce palais