De Gaulle Orateur

les chefs militaires qui étaient déjà en contact avec le Général de Gaulle. Mais l’arrivée de Pflimlin ne suffit pas à mettre fin à la révolte algéroise qui aspirait à son indépendance totale, le gouvernement Pflimlin était lui-même divisé et ne peut plus compter ni sur l’armée, ni sur la police noyautées par l’extrême droit. A cette époque, la France était au bord de la Guerre civile. Désordre donc et le recours au Général de Gaulle, apparait à beaucoup comme « un moindre mal ». Celui-ci profitant

l’histoire. Officiellement, la 3me République est considérée comme suspendue pendant ces années là et ne prendra fin officiellement que le 21 octobre 1945. Chapitre 2 : La 4me République Rappels historiques : Le 18 juin 1940, le Général De Gaulle a lancé un appel depuis Londres à la poursuite des hostilités et il prend la tête des forces françaises libres. Un embryon de gouvernement est alors constitué à Londres en 1941 et il prendra le nom de Comité français de libération nationale en 1943

illégal mais légitime . Dès le 18 juin 1940 De gaulle va dégner toute légitimité au régime de Vichy en dépit de la distance et de moyens dérisoires il va parvenir à incarner la France libre . Par la suite de Gaulle va doter d'institutions la France entre 1940 et 1941 d'abord vois le jour le conseil de défense de l'empire puis le commité national français présidé par De Gaulle . C'est après le succès du département anglo-américain en afrique que de Gaulle en 1944 va créer l'assemblée consultative provisoire

1939 : déclaration de guerre de l'Allemagne contre la France. Malgré des moyens militaires pour répondre cette attaque, le pouvoir est donné au gouvernement de Vichy. À peine formé, celui-ci demande l'armistice, le 17 juin 1940. L'appel du général de Gaulle le 18 juin fut peu écouté, mais la France libre se forme et se renforce à Londres. Deux régimes coexistent : - le régime de Vichy : la seule dictature militaire fasciste que la France ait connue ; l'article unique de la loi du 10 juin 1940 “donne

remplacer le clivage droite-gauche par la distinction ordremouvement. On retrouve cette opposition exagérée dans la distinction entre le conservatisme (de droite) et le progrès (de gauche), ou encore la sécurité (droite) contre la liberté (gauche). De Gaulle s’amusait à relativiser ce clivage en disant que « la France, comme la ménagère, veut le progrès mais pas la pagaille ».La gauche et la droite s’opposent souvent sur le passé (diviseur commun) afin d’exagérer leurs différences et de structurer

contraceptifs. Aucun projet spécifique d'extermination comparable à la Solution finales n'a été élaboré en vue de faire disparaître les homosexuels à l'instar des Juifs, des Tsiganes et autres ethnies considérées comme inférieures. Cependant, les orateurs nazis s'en prenaient couramment à eux, en des termes fort peu équivoques quant à la nécessité de leur élimination, ce qui ne pouvait pas être sans effet sur le traitement qui leur fut réservé dans les camps de concentration, au seul motif qu'ils

de la cour du Valois rois ; il a également manqué d'une reine, ce qui avait traditionnellement été le point de réunion pour des auteurs et des poèts. Le goût littéraire de Henri a semblé en grande partie limité au roman chevaleresque Amadis de la Gaulle. La culture littéraire a été ainsi décentralisée dans la première moitié du siècle et des salons formés autour de beaucoup de femmes de classe noble et aristocratique, comme Marie de Medici et Marguerite de Valois. Par 1620s, les rassemblements les

sur les anciens. Planton s'appuir sur une maïeutique (art d'accoucher des pensées) comme par exemple «Dialogues» (427-356 av JC). L'antiquité est une source de référence pour les orateurs: - Demosthène (284-322 av JC)- Cicéron (106-43 av JC) Pour les historiens: - Jules César dans «Commentaires sur la guerre des Gaules» qui sera ensuite appuyé par Montaigne, Rousseau... Pour les critiques et les lecteurs: - Molière dans «L'avare» (1668) ou dans «Amphitryon» (1668) Jean Anouilh qui a écrit

République Plusieurs facteurs expliquent la chute de la 4ème République : la poursuite de la guerre en Algérie, la faiblesse des institutions, le rôle des partis politiques et la détermination du Général de Gaulle. La transition est d’abord politique avec le retour au pouvoir de De Gaulle, puis juridique avec la préparation des nouvelles institutions. La transition politique L’opinion publique, ainsi que la classe politique étaient divisées par le développement du conflit algérien marqué par

hommes politiques ont principalement inspiré le système politique de la France : De Gaulle et Debré (député à l’île de la réunion). Ces deux hommes politiques ont fait l’expérience des républiques précédentes. Ils ont connu la 3ème et 4ème république, notamment l’instabilité ministérielle : changement de gouvernement tous les six mois. Il y avait une instabilité chronique. C’est le Parlement qui dominait. De gaulle fut président du conseil sous la 4ème république. Face aux défauts qu’ils ont pu constater