De Gaulle Discours Alger Le 18 Juin 1943

1 à 15 (leçon 4) INTITULE : INTRODUCTION A L’EPOQUE CONTEMPORAINE INTITULE de l’EC : Histoire contemporaine : la France de 1918 à 1992 COURS DE Monsieur GUISLIN Jean-Marc Histoire contemporaine : la France de 1918 à 1992 Université Charles-De-Gaulle – Lille 3 Année universitaire 2011-2012 SEAD / UFR des Sciences historiques, artistiques et politiques L1 S1 UE2, Tronc commun, « Introduction à l’époque contemporaine ». Leçon 3 : Economie et société (1919-1939) Monsieur Jean Vavasseur-Desperriers

cours de la Première Guerre mondiale[->15], Pétain est généralement présenté comme le « vainqueur de la bataille de Verdun[->16] » et, avec Georges Clemenceau[->17], comme l'artisan du redressement du moral des troupes après les mutineries de 1917[->18]. Il est nommé commandant en chef des forces françaises et le reste jusqu'à la fin de la guerre, bien qu'en 1918, la direction de l'ensemble des armées alliées lui échappe au profit de son rival Ferdinand Foch[->19]. Pétain est faitmaréchal de France[->20]

dislocation des monarchies puis des empires. La Seconde Guerre mondiale parachève cette construction identitaire. Le général De Gaulle, dans son appel du 18 juin affirme que la guerre n’est pas terminée ni perdue grâce à l’appui des alliés de la France et surtout grâce à ses colonies… A Brazzaville en février 1944, il s’est prononcé dans un célèbre discours pour l’émancipation des peuples colonisés, pour leur autodétermination. Ses propos semblent vérifiés par les faits puisque le débarquement

En 1872, Thiers s'est prononcé pour les républicains, ce que l'assemblée monarchiste essaie de lui faire payer en lui limitant ses pouvoirs et limiter l'accès à l'assemblée. Il peut éventuellement faire des discours à l'assemblée mais il ne peut y avoir une discussion à la suite du discours. Tout est fait pour limiter les contacts antres parlementaires et Thiers. Le 19 mai 1873, Thiers appelle l'assemblée nationale à faire une constitution républicaine. Le 24 mai, il est mit en minorité, il démissionne

régime le plus autoritaire et le plus répressif que la France ait connu au XXe siècle. Si la grande majorité des Français firent d’abord confiance au maréchal Pétain pour faire face à la grave crise d’identité nationale provoquée par la déroute de mai-juin 1940, ils se détachèrent progressivement du régime de « l’État français » qui s’était installé bon gré mal gré dans la ville de Vichy. À la fois parce qu’il devenait un régime de plus en plus policier et parce qu’il se faisait le complice de l’occupant

l’Union. Les conflits dans les Balkans montrent que le continent européen n’est pas à l’abri du retour de la guerre ; ils soulignent la difficulté de l’Union à mettre en œuvre une politique extérieure commune. III. La France de 1945 à nos jours (18 heures) 1. Bilan et mémoires de la Seconde Guerre mondiale Après avoir étudié les conséquences du conflit dans l’immédiat après-guerre – sans se limiter aux pertes humaines et aux destructions matérielles –, on présente l’émergence de différentes

Les hésitations de 1943 3. Le bilan V. La politique de la main-d’œuvre VI. La Milice et la lutte contre la Résistance VII. Le gouvernement de S igmaringen VIII. L’épuration du régime CHAPITRE VI - LES FRANÇAIS S OUS VICHY I. L’État et l’opinion publique II. Un spectre de réactions III. Un espace national et colonial éclaté IV. L’évolution de l’opinion V. Forces sociales et soutiens du régime CONCLUS ION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION Le régime de Vichy est né de la défaite de juin 1940 devant l’Allemagne

provocation. Toute la gauche refuse donc la confiance au gouvernement de Broglie. La réponse du Président ne se fait pas attendre : avec l’avis conforme du Sénat (donné le 16 juin par 149 voix contre 130) comme l’exige l’une des trois lois constitutionnelles de 1875, Mac Mahon prononce la dissolution de la Chambre des députés le 22 juin 1877. Cette décision dont la régularité constitutionnelle est incontestable, se révèle une piteuse mesure stratégique. Les républicains voient dans son utilisation la

de théâtre le 5 septembre 1929 il est invité à Genève pour faire le discours inaugurale pour l'assemblée générale de la SDN. Il veut créer dans l'opinion publique une émotion favorable à propos de la réunification de l'Europe (rapprochement des peuples) Lors de son discours il indique qu'il souhaite l'établissement en Europe d'une sorte de lien fédéral. Il souhaite la création des États Unis d'Europe. Accueil glaciale du discours à Londres, les Pays Bas se montres favorable, ainsi que la Roumanie

Al-Hâkim eut à s'opposer aux qarmates régnant à Bahreïn. Son plus farouche opposant était le calife abbasside de Bagdad alQâdir bi-Amr Allah qui voulait arrêter la propagation de l'ismaélisme 16 Sultan du Maroc – Ali Zaher (1021 – 1035) Il est né le 20 juin 1005. Son père était le calife fatimide Al-Hakim bi-Amr Allah disparu en 1021. Sa mère serait Amina une petite-fille du calife fatimide Al-Muizz li-Dîn Allah. Il a succédé à son père après sa disparition, son occultation pour les druzes, en 1021.