Dame de cœur

tournez toujours, Tournez, tournez au son des hautbois. Le gros soldat, la plus grosse bonne Sont sur vos dos comme dans leur chambre, Car en ce jour au bois de la Cambre Les maîtres sont tous deux en personne. Tournez, tournez, chevaux de leur coeur, Tandis qu’autour de tous vos tournois Clignote l’oeil du filou sournois, Tournez au son du piston vainqueur. C’est ravissant comme ça vous soûle D’aller ainsi dans ce cirque bête : Bien dans le ventre et mal dans la tête, Du mal en masse et

Elles ont repéré une dame en bleu avec un sac à main en cuir noir qui attend l’autobus. La ronde des vélomoteurs se referme, ici, sur la grande rue de la Liberté. […] La dame en tailleur bleu est seule, au bord du trottoir comme si elle dormait. Les vélomoteurs roulent tout près du trottoir, dans le ruisseau. […] Presque sans ralentir, le premier vélomoteur est monté sur le trottoir, il s’approche de la dame en bleu. Quand cela se passe, et juste avant de tomber, la dame regarde Martine qui roule

 BAUDELAIRE, À UNE DAME CREOLE Introduction : Le sonnet est une forme poétique brève de quatorze vers disposés en deux quatrains et de deux tercets importée d'Italie au XVIème siècle et devenu depuis un type de poème traditionnel de la littérature française. C'est une forme qu'affectionne particulièrement Baudelaire : on compte 71 sonnets sur les 123 poèmes de la seconde édition des Fleurs du Mal parue en 1861. « A une dame créole » poème tiré de la première édition du recueil, qui date du 1857

les parois vertes d’humidité et de salpêtre. Indifférente à l’eau glacée qui gouttait sur elle, aux chauves-souris ou aux rats qui la frôlaient, aux sifflements lugubres du vent, aux ténèbres. Elle n’avait nul besoin de lumière. Elle connaissait par cœur chaque roc, chaque faille, chaque passage, chaque méandre de la falaise et du château. Tantôt silencieuse, tantôt gémissant de douleur ou grondant de colère, elle observait la vie des habitants par des soupiraux ou d’invisibles meurtrières, écoutant

Le tour des chambres est fait pour demander aux patients s'ils ont besoin de quelque chose ensuite vers 16h l'équipe procéde aux changes des protections pour ce qui en ont, La distributions des diners se fait vers 18h45, Ma situation concerne une dame de 87 ans, Elle est plutot mince avec des cheveux mi longs grisonnant et ne voit pas tres bien, Elle est veuve, sans enfants venant d'une maison de retraite admise pour un syndrome de glissement avec refus de s'alimenter , COMMENT LUI APPORTER DU

lumière''. Or, avant le siècle des Lumières, dans les dernières années du moyen-âge, un poète au nom de François Villon a su trouver l'audace de se moquer de ce genre de poésie où trop souvent se retrouve un chevalier au cœur pur voulant séduire une femme qui elle sait se faire désirer; le modèle courtois. Avec le poème ''La ballade de la Grosse Margot'', Villon fait une subversion de celui-ci. Dans ce texte, ce propos sera argumenté à l'aide de trois axes : l'image de

l’amour unique, parfait et souvent malheureux. En Effet, la fidélité a une Dame, l’art de bien parler et chanter et la politesse reviennent à la mode. II. Le Fin’amor : ses principales caractéristiques : L’amour courtois présente un certains nombres de caractéristiques fixées par la tradition littéraire : -La soumission à l’objet aimé : le chevalier se soumet entièrement à la fois à l’amour et à l’élue de son cœur envers qui il s’engage, établissant une relation qui s’énonce souvent comme

Triomphe ou Notre-Dame de Paris, qui avaient une dimension métaphorique. Ses préfaces filent la métaphore et invitent le lecteur à entrer dans l'œuvre comme dans un édifice. Il est difficile de parler de sa fascination avec architecture, puisque on n'a pas lu beaucoup de ses œuvres, et parler d'architecture à propos de Hugo nécessite de se référer à l'ensemble de son œuvre. Dans ce mémoire de séminaire, nous allons essayer de donner un commentaire sur un chapitre de Notre Dame de Paris, un des

dans le mariage qui n'a, à l'époque, qu'un but, celui de la procréation? Est-ce par hasard que les troubadours dans leurs poèmes accentuaient non seulement l'aspect d'égalité dans la liaison de deux êtres, mais aussi l'aspect de la supériorité de la dame, et que les cathares prêchaient l'égalité de tous les êtres humains, et en même temps, donnaient à la femme, une supériorité, qu'elle n'a jamais eu? Aussi une des doctrines du catharisme est-elle -selon l'inspiration gnostique-, que la Trinité n'est

directement dans une scène sans autre préambule. Nous prenons l’action en cours d’une manière très théâtrale en plein dialogue avec une question qui s’avère être un ordre. Ce début in medias res est confirmé par l’utilisation des articles définis (« la dame », « l’enfant »,…) qui semble indiquer un avant comme au théâtre. Le narrateur est en focalisation externe, se limitant aux informations apportées par les gestes et les dialogues des personnages. Ainsi, le nom de l’héroïne (d’abord « une femme ») est