Dali Le Sommeil

du rêve et son rapport à la réalité, appuyée sur les théories de Freud. Les artistes qui ont contribué à ce mouvement sont entre autres Louis Aragon, Robert Desnos, Paul Éluard, René Magritte, Philippe Soupault, Marcel Duchamp, Man Ray et Salvador Dalí. Le surréalisme André Breton, dans Manifestes du surréalisme, définit le surréalisme par un "Automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la

    Les  rapports  ville/campagne     Les  auteurs  de  littérature  policière  sont  alors  adaptés   Dashiell  Hammet,  Raymond  Chandler  (le  faucon  maltais,  Le  Grand  Sommeil)     Un  style  quasi  documentaire  :  la  description  du  "milieu"     Un  genre  sans  cesse  renouvelé     Influence  extra  américaine   Le  Troisième  homme  Carol

monômesEt j'écoute gémir la forêt sans oiseaux Il était une fois en Bohême un poèteQui sanglotait d'amour puis chantait au soleilIl était autrefois la comtesse AlouetteQui sut si bien mentir qu'il en perdit la tête En perdit sa chanson en perdit le sommeil Un jour elle lui dit Je t'aime ô mon poèteMais il ne la crut pas et sourit tristementPuis s'en fut en chantant Tire-lire Alouette Et se cachait au fond d'un petit bois charmant Un soir en gazouillant son joli tire-lireLa comtesse Alouette arriva

bons au fond Aux refus à la nuit aux injures aux coups III Visages bons à tout Voici le vide qui vous fixe Votre mort va servir d'exemple IV La mort coeur renversé V Ils vous ont fait payer le pain Le ciel la terre l'eau le sommeil Et la misère De votre vie VI Ils disaient désirer la bonne intelligence Ils rationnaient les forts jugeaient les fous Faisaient l'aumône partageaient un sou en deux Ils saluaient les cadavres Ils s'accablaient de politesses VII Ils

autrui. Le rêve Le rêve consiste en la transformation des pulsions réelles inacceptables par la société ou inaccessible pour l'individu. Le rêve est le moyen qui permet de fuir le réel par le passage à l'imaginaire. Le rêve comprend aussi bien le sommeil paradoxal, que les rêves éveillés et les fantasmes. Le rêve est une activité nécessaire pour l'homme. Une personne privée de rêve déraille totalement. Le rêve utilise deux procédés symboliques : le déplacement et l'inversion. Par déplacement, plutôt

ailleurs, tout chez la jeune fille est reflet du songe. Comme décrit plus haut, lors de l’adaptation de Disney en 1951, Alice sera vêtue d’une robe bleue, couleur du rêve et de l’évasion … La notion de rêve se voit renforcée par le fait que le sommeil d’Alice, n’est que suggéré par Lewis Carroll. En effet, elle est bien trop lucide dans ses aventures pour être manipulée par son inconscient. Elle correspond donc à l’archétype de la Rêveuse Eveillée. Alice est donc le mythe de l’enfant qui

palette de formes et de couleurs à utiliser, auxquelles il ajoute souvent le blanc et le noir. 2 tableaux représentent l’utilisation des possibilités d’interprétations dans la constitution d’une œuvre : — Cygnes se reflétant en éléphants de Salvador Dali (1937) : dans l’exposition, on ne le trouve que dans ce tableaumais le reflet est aussi unmoyen de passer de la 3D à la 2D et peut donc amener de l’interprétation. Le reflet étant en même temps des cygnes (à l’envers) et des éléphants, l’enfant doit

Lescure, Apollinaire • Évaluation Merian, Apollinaire Séquence b Parlez-moi d’amour… surréaliste ? 30-36 1. Breton, Miró 2. Éluard, Aragon, Ernst 3. Péret, Desnos, Hugnet, Chirico, Sage 4. Desnos, Dalí • Évaluation Éluard, Man Ray ActIvItéS et rechercheS hIStOIre deS ArtS 37-38 39-40 Dalí, La Persistance de la mémoire Interrogation 3 Séquence A Le lecteur d’œuvres de fiction fuit-il la réalité ? 41-47 Lire de la fiction : est-ce fuir ? 1. Fred Boucher, Chririco, Schuiten et

ANTHOLOGIE POÉTIQUE : LE VOYAGE Apparition de ma cousine Carolinetta, Salvador Dali, 1934 1 SOMMAIRE -Préface...................................................................................................................... 3 -Heureux qui comme Ulysse, Joachim du Bellay, 1558............................................. 7 -Le voyage, Jean-Pierre Claris de Florian, 1799........................................................ 9 -Saltimbanques, Guillaume Apollinaire, 1913

où mes yeux fatigués glissèrent sur la dernière ligne. Je m’al- longeai dans la pénombre bleutée du petit jour, le livre sur la poitrine, et j’écoutai les rumeurs de la ville endormie couler goutte à goutte sur les toits tachetés de pourpre. Le sommeil et l’épuisement frappaient à ma porte, mais je refusai de me rendre. Je ne voulais pas perdre la magie du récit ni dire tout de suite adieu à ses personnages.   Un jour, j’ai entendu un habitué de la librairie de mon père dire que rien ne marque