Dais

du sujet opérateur qui a aidé le sujet d’état (l’empereur) à réaliser son désir et entrer en conjonction avec l’objet de valeur désiré. Sixième séquence : l’échec du PN « Tandis que l'empereur cheminait fièrement à la procession sous son dais magnifique, tous les hommes, dans la rue et aux fenêtres, s'écriaient: « Quel superbe costume! Comme la queue en est gracieuse? Comme la coupe en est parfaite! » Nul ne voulait laisser voir qu'il ne voyait rien; il aurait été déclaré niais ou incapable

beauté : l’île Maurice est désignée par une périphrase montrant que ses paysages associent, mais de manière très agréable, parfum, chaleur et lumière (v. 1 Au pays parfumé que le soleil caresse). Les arbres y offrent un abri somptueux (v. 2 sous un dais ici synonyme de voûte d’arbres tout empourprés : on pourrait penser à des flamboyants, mais le texte original et la variante de 1845 disaient plus précisément tamarins ambrés, arbres aimés de Baud., cf. les verts tamariniers de Parfum exotique, v.

vanité, l’amour du faste. Lorsque Marc Antoine convoque les souverains de tous les royaumes pour organiser une grande expédition contre les Parthes, elle arrive à Tarse (en Cilicie) dans un navire à la poupe dorée et aux voiles pourpres, assise sous un dais d’or entouré par un équipage déguisé en Nymphe et en Néréides. Elle l’invite ensuite à bord pour un banquet. C’est ainsi que commence leur histoire d’amour qui durera 10 ans. De cette histoire, naissent trois enfants : les faux-jumeaux Cléopâtre-Sélène

rouges ; la sueur en coulait à larges gouttes ; Hussonnet fit cette remarque : - « Les héros ne sentent pas bon ! » - « Ah ! vous êtes agaçant », reprit Frédéric. Et poussés malgré eux, ils entrèrent dans un appartement où s’étendait, au plafond, un dais de velours rouge. Sur le trône, en dessous, était assis un prolétaire à barbe noire, la chemise entr’ouverte, l’air hilare et stupide comme un magot1. D’autres gravissaient l’estrade pour s’asseoir à sa place. - « Quel mythe ! » dit Hussonnet. « Voilà

en coulait à larges gouttes ; Hussonnet fit cette remarque : « Les héros ne sentent pas bon ! » « Ah ! vous êtes agaçant », reprit Frédéric. 5 10 15 Et poussés malgré eux, ils entrèrent dans un appartement où s’étendait, au plafond, un dais de velours rouge. Sur le trône, en dessous, était assis un prolétaire à barbe noire, la chemise entr’ouverte, l’air hilare et stupide comme un magot1. D’autres gravissaient l’estrade pour s’asseoir à sa place. « Quel mythe ! » dit Hussonnet. « Voilà

couverts du maître : gobelet, tranchoir, cuiller, serviette et salière. On peut aussi y mettre des aliments : épices et fruits confits ou encore les "viandes" laissées aux pauvres. Lors des festins d'apparat, la table d'honneur est isolée sous un dais. Le ballet des serviteurs est mené par le maître d'hôtel. Au buffet près du prince veillent des officiers de bouche, prêts à répondre à ses moindres désirs. Des musiciens accompagnent le repas et sonnent les changements de service. Pendant le repas

A une dame créole Au pays parfumé que le soleil caresse, J'ai connu, sous un dais d'arbres tout empourprés Et de palmiers d'où pleut sur les yeux la paresse, Une dame créole aux charmes ignorés. Son teint est pâle et chaud ; la brune enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne

étant abusivement dénommées « stars ». Pour l’astronome, elle qualifie l’astre vivant. Nous ne pouvons pas ignorer non plus l’étoile polaire située au zénith et formant l’axe de rotation de la voute céleste figurée dans le temple maçonnique par le dais. Pour le chrétien, elle rappelle l’étoile du berger, celle qui guida les rois mages vers le divin enfant. Pourtant, curieusement, c’est peut-être en sorcellerie que l’utilisation du pentagramme est la plus intéressante pour nous autres maçons. Propos

« Le théâtre représente une chambre à coucher superbe, un grand lit en alcôve, une estrade au devant. » Acte 3 : « Le théâtre représente une salle du château, appelée salle du trône et servant de salle d’audience, ayant sur le côté une impériale en dais et, dessous, le portrait du roi. Acte 4 : « Le théâtre présente une galerie ornée de candélabres, de lustres allumés, de fleurs, de guirlandes, en un mot préparée pour donner une fête. » Acte 5 : « Le théâtre représente une salle de marronniers,

la sueur en coulait à larges gouttes ; Hussonnet fit cette remarque : - « Les héros ne sentent pas bon ! » - « Ah ! vous êtes agaçant », reprit Frédéric. Et poussés malgré eux, ils entrèrent dans un appartement où s’étendait, au plafond, un 15 dais de velours rouge. Sur le trône, en dessous, était assis un prolétaire à barbe noire, la chemise entr’ouverte, l’air hilare et stupide comme un magot1. D’autres gravissaient l’estrade pour s’asseoir à sa place. - « Quel mythe ! » dit Hussonnet. «