Cyrano De Bergerac Dernière Scène

Texte A - Marivaux : Les Fausses confidences (1737), acte II, scène 13. [Araminte met à l'épreuve son jeune intendant, Dorante, dont elle sait qu'il est amoureux d'elle et qui, suivant les conseils de son valet Dubois, ne lui a pas avoué son amour.] ARAMINTE. — [...] toute réflexion faite, je suis déterminée à épouser le Comte. DORANTE, d'un ton ému. — Déterminée, Madame ! ARAMINTE. — Oui, tout à fait résolue. Le Comte croira que vous y avez contribué je le lui dirai même, et je vous garantis que

sous entendue : vision d'objet de sang, attitude, gestes, phrases, ( roméo et juliette dans le tombeau ), parfois un personnage meurt hors de la scène la mort présente : violence sur scène, vision d'horreur les règles de bienséance : ( racine évoque la mort de ses héros dans les tirade : phèdre ) dans cyrano de bergerac nul mort n'est mise en scène Depuis le XVII siècle, la tragédie est définis par de nombreuses règles et principesfondamentaux, l'un de c'est principe est de ne pas représenter

| |caractéristiques des |Racine (III,8) |(L'Avare de Molière à |- les verbes |(synthèses) |registre auquel il |-Dictée sur les P.P. | |différents registres | |la C.F. 2009, Cyrano à|transitifs (direct, | |appartient. | | |(tragédie et |- Le Cid de P. |la CF en 2006, les |indirect) et | | |

étonner, mérite l’étrille ». Suivant ce principe, Savinien de Cyrano de Bergerac, en contant les États et Empires de la Lune (1657) et les États et Empires du Soleil (1662), fait montre de facétie, de frivolité et d’une grande inventivité, par exemple en faisant du nez un cadran solaire. Par ailleurs, le principe d’irréalité, de l’apparence et de la théâtralité, émaille une grande part de la production littéraire baroque. Cyrano de Bergerac instille un subtil jeu entre la fiction et la réalité, dans

sous entendue : vision d'objet de sang, attitude, gestes, phrases, ( roméo et juliette dans le tombeau ), parfois un personnage meurt hors de la scène la mort présente : violence sur scène, vision d'horreur les règles de bienséance : ( racine évoque la mort de ses héros dans les tirade : phèdre ) dans cyrano de bergerac nul mort n'est mise en scène Depuis le XVII siècle, la tragédie est définis par de nombreuses règles et principesfondamentaux, l'un de c'est principe est de ne pas représenter

d’une scène sensuelle «  se pâme » qui rime avec « femme » + évocation des parti du corps «  sein » « main » « lèvres » Le poète a perdu son cœur = registre pathétique B. L’épique Changement de registres entre quatrain (pathétique) et tercets (épique) Scène de violence entre l’homme et la femme : « cœur assiégé » : comparaison entre la femme et ennemi guerrière Verbes d’action, énumération, // de construction  mouvements, cohue,action,orgie Hyperbole du nombre «  cohue » : passage d’une scène amoureuse

imaginer sa propre mise en scène et comparer avec les choix retenus lors de la représentation,· Pour retrouver ses souvenirs lors d'une relecture ultérieure... Molière vivait de ces représentation, pas de ces textes (livres) il les jouées devant la cour du rois La gestuelle peut faire partie du texte par les didascalies, mais pour sa plus grande part, elle appartient à la représent C'est l'intrigue, les propos des personnages qui créent les émotions, mais ces dernières sont actualisées, amplifiées

Carole ROUY présente : [pic] COMEDIE SATIRIQUE Pour 10 acteurs au minimum (5 H/5 F) et plus Le METTEUR EN SCENE, tyrannique ROLES CLASSIQUES : Monsieur JOURDAIN, bourgeois Le MAITRE DE PHILOSOPHIE, prétentieux MAGDELON, précieuse ridicule CYRANO DE BERGERAC, romantique DON JUAN, hypocrite CHARLOTTE, finaude ROXANE, amoureuse PHEDRE, jalouse HARPAGON, avare ROLES CONTEMPORAINS : Le BEBE, savant La MERE, prétentieuse et cupide MINOU, homosexuel effarouché BEBERT, homosexuel

représentation de la mort au théâtre doit-elle nécessairement avoir une dimension pathétique ? Depuis le XVII siècle, ce sont les principes fondamentaux et les règles qui définissent la tragédie. L'un de ces principes fondamentaux est de ne pas mettre en scène : la mort parce-qu'elle peut choquer le spectateur. Pourtant la mort est fondamentale 7dans la tragédie vu qu'elle lui donne tout son sens. Il est donc intéressant de se questionner à savoir si la mort ne peut pas être représentée au théâtre, peut-être

28 décembre 1897, lors de la représentation de Cyrano de Bergerac, comédie héroïque en cinq actes. Sans s'aveugler sur les faiblesses de la pièce, il faut s'incliner devant l'habileté de la construction, l'imagination et la fantaisie de l'intrigue, le pittoresque des tableaux, la verve d'un esprit pétillant, l'ambiance faite à la fois de panache et d'émotion, le lyrisme des tirades. Cette œuvre n'a pas pris une ride depuis sa création. Le héros, Cyrano, spadassin au cœur tendre et enlaidi par un nez