Cyprès

Industrielle. Coté Histoire, le peintre connaitra l'union de son pays natale avec le Luxembourg, mais aussi la France sous la Troisième République. Il arrive en France en 1886, afin de rejoindre son jeune frère Théo. (« Les champs de blé vert avec cyprès », 1889 Huile sur toile, 500 x 398 cm, exposé au Narodni Galerie, à Prague.) ( http://www4.ac-lille.fr/~clgflandres/histgeo/1/1H01COURS_%201850-1939.pdf ) III) Evolution de la création de l’artiste à travers différentes œuvres d’art. C’est

carquois ou encore la torche et le croissant de lune qui orne sont front. Son char était tiré par quatre cerfs aux bois d'orée. Le chien, la biche, le cerf, la chèvre, le taureau, ou encore la tortue était souvent représenté à ses cotée. L'arbre le cyprès lui était consacré. Sanctuaire Le plus grand temple grec lui est dédié. Le Panthéon, ou l'Artémision ou encore plus connue sous le nom du temple d'Artémis une des sept merveilles du monde. Découvert

jamais le tour, qu'on ne parviendra pas à épuiser le labyrinthe de ses allées, ni les prières et les promenades qu'elles suggèrent. Cette chapelle qu'il faut gagner par paliers, cet azur allégé au-delà des cheminées, ces peupliers fervents, comme des cyprès bien tempérés, c'est un coin céleste soudain dans une banlieue de faits divers et, dans la symphonie qu'on laisse derrière soi, c'est aussi un point d'orgue, de grandes orgues. ... Parti d'un bon pas, je ne tardai point à m'égarer... Je perdis le

arbres de Mésopotamie ainsi que ceux des montagnes de Médie. On y planta sur la première terrasse de huit mètres de haut des grands arbres: platanes, palmiers dattiers, pins et cèdres, sur la deuxième de treize mètres, on plaçait les genévriers, les cyprès et quantité d'arbres fruitiers. Et encore plus haut, sur les deux dernières terrasses, moins vastes, fleurissaient les anémones et les tulipes, les lis et les iris...sans oublier les roses si chères à la belle Sémiramis. Les jardins dominaient la

impression de déformation et de mouvement. Les maisons cernées de noir comme du vitrail et le clocher permettent surtout en réalité à Van Gogh de mettre en lumière et en valeur le ciel étoilée et sa puissance cosmique. Le dernier élément du tableau est le cyprès. Incontournable, il nous paraît épais, torturé et oscillant comme une flamme. Il fait aussi l’effet d’un pont entre les deux parties du tableau, la terre et le ciel. Mis au premier plan, cet arbre des cimetières évoque la mort et semble être une délivrance

jouissance ajoute au désir de la force.  Désir, vieil arbre à qui le plaisir sert d'engrais,  Cependant que grossit et durcit ton écorce,  Tes branches veulent voir le soleil de plus près ! Grandiras-tu toujours, grand arbre plus vivace  Que le cyprès ? - Pourtant nous avons, avec soin,  Cueilli quelques croquis pour votre album vorace,  Frères qui trouvez beau tout ce qui vient de loin ! Nous avons salué des idoles à trompe ;  Des trônes constellés de joyaux lumineux ;  Des palais ouvragés

chevelu, langue de bœuf, lépiote à crête, mycène à pied laineux, pleurote, vesse de loup, amanite tue-mouches, russule, malanolengue vulgaire, chanterelle : drôle d'omelette au champipi au champignon ! Si six scies scient six cyprès, six cent sic scies scient six cent six cyprès . Si tu m'eusses cru. Tu te fusses tu. Te fusses-tu tu, Tu m'eusses plus cru ! Nous partîmes six pour Sceaux, nous arrivâmes à Sceaux six, nous demandâmes qu'on nous serve là six saucisses sans choux et sans sauce. Déchu

adjectifs ordinaux que l’auteur nous montre lorsqu’il se trouve en face de ce paysage, il est comme un enfant qui s’étonne encore des nouveautés: « Ce sont les premières maisons, […] les premières vignes, […].Ce sont les premiers linges […].Et le premier cyprès, le premier olivier » (p. 37). - la répétition de certains adjectifs et substantifs pour décrire tout ce qui ce trouve autour de lui: « […] où les pigeons cherchent un abri, lenteur et paresse […]  du cri des poules jusqu’à ce soir sans égal, doucereux

cueillir blessure dont je veux mourir Et puis voici l’engin avec quoi pêcheur JE Capture l’immense monstre de ton œil Qu’un art étrange abîme au sein des nuits profondes . ✽ Nîmes, le 29 décembre 1914 Mon Lou la nuit descend tu es à moi je t’aime Les cyprès ont noirci, le ciel a fait de même Les trompettes chantaient ta beauté mon bonheur De t’aimer pour toujours ton cœur près de mon cœur Je suis revenu doucement à la caserne Les écuries sentaient bon la luzerne Les croupes des chevaux évoquaient ta

chant des moissonneuses Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau langoureux et toujours irrité Et le bruit éternel d'un fleuve large et sombre Mais tandis que mourants roulaient vers l'estuaire Tous les regards tous les