Cyanose

petit mal » L’épilepsie Différents types Epilepsie généralisée :  « le grand mal » ou crise tonico-clonique : - 3 phases : . Perte de connaissance (phase tonique) brutale et chute - . Phase clonique : contraction de tout le corps, malade en apnée, cyanosé, secousses musculaires rythmiques, troubles végétatifs comme tachycardie, hypersalivation … - . Phase résolutive : relâchement musculaire et des sphincters (miction), sommeil, somnolence, reprise de conscience progressive sans souvenirs de la crise

patient soit faite avant l’arrivée du kiné (s’arranger avec lui). Bien la sécher, notamment les plis inguinaux et sous les seins. Le patient souffre toujours de dyspnée, mais continue à se mouvoir comme avant. Il ne présente pas de signes de cyanose. Il n’a pas de dyspnée quand il porte ses lunettes d’oxygène. Le patient n’est pas encore capable de faire sa toilette seul. A poursuivre Incapacité partielle à réaliser ses auto soins relié à ses tremblements et son hypertonie. Aider

(finesse, sécheresse, desquamation), la coloration globale (rose, érythrosique, pâle, cyanosée, ictérique), la coloration des extrémités (roses, ongles cyanosés, extrémités cyanosées dans leur ensemble). L'acrocyanose des extrémités est physiologique durant les 24 premières heures ; elle est majorée par l'hypothermie, et alors associée à une cyanose péribuccale. Une érythrose est habituelle. La peau est recouverte de vernix caseosa, produit blanc graisseux qui prédomine dans les plis. Des pétéchies

voies aériennes - traumatisme thoracique - déformation rachidienne importante - atteinte neurologique centrale ou périphérique - origine infectieuse - inhalation de gaz suffocant - apport de sang insuffisant | - trouble du rythme respiratoire - cyanose - tachycardie avec hypertension artérielle - trouble de conscience | - suppléer la fonction respiratoire défaillante et traiter la causes (antibiotiques) - oxygénothérapie - assistance ventilatoire partielle ou complète à l'aide de respirateurs

CFDC –IFSI-IFAS TEN 17/03/2020 (V1) PED- UE 4.3 S2 – GESTES ET SOINS D’URGENCECompétence 4 :« Mettre en œuvre des actions à viser diagnostic et thérapeutique»UE 4.3.S2 Soins d’UrgenceIdentification de l’urgencePublic  : Etudiants en soins infirmiers de 1ère année semestre 2 Objectifs globaux :· Identifier la situation d’urgence rencontrée· Transmettre aux services de secours d’urgences adaptées, les informations nécessaires

Ventilation superficielle, dyspnée (1)  ○ Ventilation profonde, toux efficace (2)  Variation de la PA systolique  ○ > 50 % (0)  ○ Entre 20 et 50 % (1)  ○ < 20 % (2)  Conscience  ○ Aréactif (0)  ○ Réactif à la demande (1)  ○ Réveillé (2)  Coloration  ○ Cyanosé (0)  ○ Pâle (1)  ○ Normale (2)  SpO2  ○ < 90 %  (0)  ○ > 90 % sous O2 (1)  ○ > 92 % en air ambiant (2)     ● ● ● ● ● ● ● Score de Bromage modifié (bloc moteur de la péridurale)  1 : bloc moteur complet  2 : bloc moteur presque complet (bouge les pieds) 

groupement chimique (radical) liés de façon covalente à un même atome de carbone. Les différents acides aminés diffèrent par leur radical. Les protéines de tous les êtres vivants sont formées à partir des mêmes 20 acides aminés. Acrocyanose : cyanose des extrémités. Acroérythrose : coloration rouge des extrémités. Acromégalie : hypertrophie des extrémités souvent en rapport avec une tumeur hypophysaire. Acropathie : affection d'une extrémité. Addition : type de mutation dans laquelle

l’hémodynamique. Les surveillances particulières en lien avec un cathéter artériel : • Surveiller l’intégrité du cathéter et des connexions. • Purger régulièrement le système. • Surveiller les signes d’ischémie distale : fourmillement, cyanose des extrémités, pulsations. • Surveiller les signes d’infection local (rougeur, écoulement, gonflement) et généraux (hyperthermie, sueur, frissons). - Définition d’un gaz du sang  Les gaz du sang artériels, couramment utilisés en médecine

Non-coopération du patient, Critères d'arrêt Absolus : - Angor sévère - Chute de la pression artérielle de plus de 20 mmHg, - Pression artérielle systolique supérieure à 260 mmHg, - Signes de bas débit cardiaque, baisse de la température cutanée, cyanose ou pâleur excessive, - Troubles neurologiques (lipothymie, céphalée, confusion, malaise), - Troubles du rythme sévères (tachycardie ventriculaire, fibrillation ventriculaire), - Trouble de la conduction (bloc auriculoventriculaire de haut degré

permettant d’assurer les échanges gazeux Valeur : 15 cycles/ minutes LA SURVEILLANCE RESPIRATOIRE Évaluation clinique Amplitude Balancement Tirages Signes cliniques de la décompensation Mise en jeu des muscles accessoires Agitation Coloration : cyanoses des extrémités, marbrures, … Transpiration polypnée LA SURVEILLANCE RESPIRATOIRE Mesure de la saturation sanguine périphérique en oxygène Reflet de l’efficacité des échanges gazeux Valeur : 95-98 % Mesure par saturomètre de pouls aux extrémités