Culture sourde

proches de celles qu’exposent Montaigne dans ses essais. Principalement sur l’instruction des enfants, en effet il prône une instruction par la pratique, la remise en question, la réflexion ; et vise véritablement à former « l’individu ». Enfin la culture est primordiale dans une éducation humaniste, car plus on a de connaissances plus on peut raisonner sainement. Michel de Montaigne est un penseur humaniste et un homme politique français. « Quand on me contrarie, on éveille mon attention, non pas

traitements qu’il a subis pendant son séjour dans l’institution pour les sourds-muets. Pour mettre à l’épreuve la notion de valeur de Victor, le docteur Itard lui fait réaliser un exercice facile où il le punit à la fin même si Victor a bien fait l’exercice. Le résultat de cette épreuve est satisfaisant pour le docteur Itard. Victor démontre une rébellion face à cette injustice. À ce moment-là, Victor démontre l’acquisition de la culture, il est capable de marcher en deux pas ou de communiquer, mais aussi

du même ou bien de l’autre. Par ce moyen une corrélation se dégage : la surévaluation de la parenté de sang est à la sous-évaluation de celle-ci comme l’effort pour échapper à l’autochtonie elle a la possibilité d’y réussir. » Lévi Strauss : la culture grecque utilise le modèle végétal pour penser la génération humaine. D’autre part il est manifeste qu’il faut un père et une mère pour faire un enfant. Modèle sexuel. Le mythe d’Œdipe compris comme une structure logique et non pas comme récit, rassemble

dans certaines entreprises.  Moderniser les entreprises et les administrations a un temps été synonyme d’un dépassement des organisations pyramidales de l’ère industrielle. On allait enfin tourner le dos aux fonctionnements stratifiés, clivés, sourds aux attentes des salariés. Depuis les années 1990, pourtant, le mot « modernisation » est souvent associé avec changement à marche forcée, impulsé par des gestionnaires peu attentifs aux identités professionnelles et aux tissus sociaux des organisations

l’ambiguïté d’une révolte Camus est né en 1913 est Algérie. Il n’a jamais connu son père, qui travaillait comme ouvrier dans un domaine viticole et qui est mort pendant la Grande Guerre, dans la Marne. La mère de Camus, d’origine espagnole, est à demi-sourde et quasi analphabète. Pour élever ses deux enfants (Albert a un frère), elle s’installe dans un quartier pauvre d’Alger et fait des ménages. Le peu d’argent qu’elle gagne, elle le remet à sa propre mère, qui est le pilier de la famille et qui éduque

« ma vieille porte de bois » et à la fin de la tirade « qu’il s’en éloigne par son regard d’Erudie et par la comparaison des incrustations ». Le registre du pluriel, cela définie ce que l’on ne possède pas, absence d’appropriation personnelle. La culture apporte des souvenirs mais collectifs, Oreste lui cherche un passé personnel. Seule la conquête personnelle de la liberté semble pouvoir lui accorder sa « majorité », c’est-à-dire une autonomie. Or Oreste est présenté comme une sorte d’éternel enfant

portion de l’humanité, à un savoir général englobant toutes les cultures. Cette articulation entre particulier et universel peut aussi être définie comme une articulation entre le local et le global. Comme le dit C. Geertz, il s’agit de produire «une interprétation de la façon dont un peuple vit, qui ne soit ni emprisonnée dans [son] horizon mental, une ethnographie de la sorcellerie écrite par un sorcier, ni systématiquement sourde aux tonalités distinctes de [son] existence, une ethnographie de

preuve. Culture : « réseau, transmis historiquement, de significations incarnées dans des symboles, système d’idées héritées et exprimées sous forme symbolique, au moyen desquelles les hommes communiquent, perpétuent et étendent leurs savoirs concernant les attitudes envers la vie ». Autre définition : ensemble de la production, de la diffusion et de la consommation des produits de l’esprit créateur humain dans le domaine des arts et des connaissances (définition de GEERTZ). Culture d’entreprise

nazisme-là, on l’a supporté avant de le subir, on l’a absous, on a fermé l’œil là-dessus, on l’a légitimé, parce que, jusque là, il ne s’était appliqué qu’à des peuples non européens ; que ce nazisme-là, on l’a cultivé, on en est responsable, et qu’il sourd, qu’il perce, qu’il goutte, avant de l’engloutir dans ses eaux rougies de toutes les fissures de la civilisation occidentale et chrétienne. Oui, il vaudrait la peine d’étudier, cliniquement, dans le détail, les démarches d’Hitler et de l’hitlérisme

deux termes sont totalement opposés ! Pour le dadaiste il n’est pas génant donc d’être fou, au contraire c’est presque une qualité CAR pour le combat de la norme, on doit mettre en œuvre tous les moyens possibles pour combattre l’ordre établi, la culture et l’esthétisme. L’expression même ne passe pas par les canons de l’art universel malgrè les tentatives précédentes cités ici comme l’expressionisme et le fauvisme, qui furent des échecs. Cela s’explique car il s’accrochait à des concept, à l’esthétique