Cuisse de Nymphe

Skylla s'empare de six Grecs; lutter contre cette pieuvre à l'emprise multiple serait totalement vain. Quant à Charybde, son procédé d'engloutissement est encore plus direct. Chez Calypso (Capricorne) Ulysse passera des années entières, retenu par la nymphe, enserré dans ce monde de charmes. Enfin le Naufrage final (Poissons) fera de lui la proie de l'élément indifférencié, engloutisseur par excellence : l'eau marine. A l'inverse, les signes masculins sont marqués par des êtres ou des actes bien

Delacroix .................... 212 III. – L’imprévu ....................................................................... 213 IV. – Les promesses d’un visage ..............................................215 V. – Le monstre ou Le paranymphe d’une nymphe macabre. 216 VI. – Vers pour le portrait de M. Honoré Daumier ................ 219 –6– VII. – Lola de Valence .............................................................220 VIII. – Sur les débuts d’Amina Boschetti Au Théâtre de la Monnaie

........... 132 III. – L’imprévu................................................................................ 132 IV. – Les promesses d’un visage ...................................................... 134 V. – Le monstre ou Le paranymphe d’une nymphe macabre ......... 134 VI. – Vers pour le portrait de M. Honoré Daumier......................... 137 VII. – Lola de Valence...................................................................... 137 VIII. – Sur les débuts d’Amina Boschetti Au Théâtre

Delacroix .................... 212 III. – L’imprévu ....................................................................... 213 IV. – Les promesses d’un visage ..............................................215 V. – Le monstre ou Le paranymphe d’une nymphe macabre. 216 VI. – Vers pour le portrait de M. Honoré Daumier ................ 219 –6– VII. – Lola de Valence .............................................................220 VIII. – Sur les débuts d’Amina Boschetti Au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles

bel ombrage, ne dirait-on pas qu’il est là tout en fleur pour embaumer l’air ? Quoi de plus gracieux, je te prie, que cette source qui coule sous ce platane, et dont nos pieds attestent la fraîcheur ? ce lieu pourrait bien être consacré à quelques nymphes et au fleuve Achéloüs, à en juger par ces figures et ces statues[9]. [230c] Goûte un peu l’air qu’on y respire : est-il rien de si suave et de si délicieux ? Le chant des cigales a quelque chose d’animé et qui sent l’été. J’aime surtout cette herbe

fourmillement de tous les embryons ! Et tout croît, et tout monte ! - Ô Vénus, ô Déesse ! Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l'écorce des rameaux Et dans les nénufars baisaient la Nymphe blonde ! Je regrette les temps où la sève du monde, L'eau du fleuve, le sang rose des arbres verts Dans les veines de Pan mettaient un univers ! Où le sol palpitait, vert, sous ses pieds de chèvre ; Où, baisant mollement le clair syrinx, sa lèvre

fourmillement de tous les embryons ! Et tout croît, et tout monte ! - ô Vénus, à Déesse ! Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l'écorce des rameaux Et dans les nénuphar baisaient la Nymphe blonde ! Je regrette les temps où la sève du monde, L'eau du fleuve, le sang rose des arbres verts Dans les veines de Pan mettaient un univers ! Où le sol palpitait, vert, sous ses pieds de chèvre ; Où, baisant mollement le clair syrinx, sa lèvre

fourmillement de tous les embryons ! Et tout croît, et tout monte ! - Ô Vénus, ô Déesse ! Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l'écorce des rameaux Et dans les nénufars baisaient la Nymphe blonde ! Je regrette les temps où la sève du monde, L'eau du fleuve, le sang rose des arbres verts Dans les veines de Pan mettaient un univers ! Où le sol palpitait, vert, sous ses pieds de chèvre ; Où, baisant mollement le clair syrinx, sa lèvre

natures / Tout ainsi, face à face, en sorte que leurs corps / Fussent pressés d'échanger leurs substances. // D'un tel accord ils se correspondirent / Que le serpent fendit sa queue en fourche, / Tandis que le blessé serrait ses pieds ensemble. // Cuisses, jambes et pieds, d'eux-mêmes, entre soi / S'accolèrent si bien qu'en un rien leur jointure / Ne laissa plus saisir aucun signe apparent. // La queue fendue prenait ici la forme / Qui se perdait ailleurs et, tandis que son cuir / Devenait souple,

plus ancien de littérature. Dans les œuvres gréco-latines, le vers de l'épopée est l'hexamètre dactylique. Héros : être humain d'origine divine (fils ou petit-fils d'un dieu et d'une mortelle - ou l'inverse –, ou de divinités secondaires comme les nymphes). Ils sont les acteurs d'aventures diverses où les mondes respectifs des dieux et des hommes sont encore très liés. Hexamètre dactylique : c'est le vers le plus employé de la poésie gréco-latine. Venu de l'épopée, il se compose de sie pieds comportant