Cuirassé

Un des premiers actes d’un empereur parvenu au pouvoir est de faire dresser son portrait dans toutes les parties du monde pour qu’elles soient disposées dans les temples et forum. La statue représente l’Imperator cuirassé sous le manteau militaire appelé paludamentum. Sur la cuirasse, on retrouve le signe du sphinx, qui est l’emblème d'Alexandre le Grand. Le sphinx servait de cachet à Auguste avant qu’il prenne clairement l’effigie d’Alexandre le Grand. La stature est bien celle d’un homme et non

gouvernements lituaniens et soviétiques signent un traité d’assistance mutuelle en octobre. o 6 : Les dernières forces polonaises déposent les armes. o 14 : Le sous-marin U-47, commandé par le lieutenant de vaisseau Gunther Prien, coule le cuirassé britannique HMS Royal Oak en rade de Scapa Flow. 24 officiers et 809 marins britanniques périssent dans le naufrage. o 28 : Les SS demandent au gouvernement allemand de faire porter l'étoile jaune aux Juifs. Novembre 1939 [modifier]

rhinocéros, symbole d’un monde en voie de disparition. C’est la fin de la Belle Epoque, et ce qui en reste est un rhinocéros. Le narrateur et le rhinocéros sont les seuls survivants du naufrage. L’action du film se passe en 1914: bel avenir pour l’animal cuirassé. Plus récemment, dans Jumangi de Steven Spielberg, un rhinocéros fait irruption dans la maison du protagoniste en perçant une bibliothèque: le monde sauvage opposé au monde de la culture? 7. Valorisations divergentes Comme tout symbole, le

qu'en cas d'extrême nécessité, et de s'en défaire dès que le danger semble tant soit peu écarté. Il en résulte bien des inconvénients: quand tout le monde crie et court prendre ses armes, au moment du combat, il en est qui en sont encore à lacer leur cuirasse, quand leurs compagnons sont déjà en déroute. Nos pères donnaient à porter leur casque, leur lance, leurs gantelets, mais ne quittaient pas le reste de leur équipement tant que durait leur service. Nos troupes sont maintenant troublées et désorganisées

maintenir sa suprématie sur les mers, le «Two powers standard» : la Navy et ses Dreadnoughts (cuirassés) doivent peser autant ou plus que les flottes des deux puissances suivantes ! Aussi longtemps qu'est maintenu cet objectif, Londres se désintéresse des affaires du Continent. C'est encore le cas en 1913 : les Britanniques conservent la suprématie avec 63 bateaux de ligne en mer et 15 en chantier, ainsi que 42 cuirassés et même 70 sous-marins; l'Allemagne n'en dispose respectivement que de 33, 8, 13 et 23

des réalisateurs reconnus ont été également appelés à servir la cause nationale. Charlie Chaplin [The Bond – 1918], Roberto Rossellini [Le Navire blanc, Un pilote revient – 1942, L’Homme à la croix – 1943] , Sergei Eisenstein [Grève – 1924, Le Cuirassé Potemkine – 1925] , Franck Capra [Série Pourquoi nous combattons – 1942 à 1945], Alfred Hitchcock [Lifeboat – 1944], et bien sûr Leni Riefenstahl [La victoire de la foi – 1933, Le triomphe de la volonté, Jour de victoire : Nos forces armées – 1935

compte, depuis le milieu des années 2000, de nouveau parmi les cinématographies européennes les plus prolifiques. La phrase de Lénine, « le cinéma est pour nous, de tous les arts, le plus important », a fait le tour du monde. Le film d'Eisenstein, le Cuirassé Potemkine (réalisé en 1925) et qui met en images la Révolution russe de 1905, figure toujours au premier rang du panthéon des historiens du cinéma. Le cinéma soviétique a donné lieu à diverses interprétations qui se sont focalisées soit sur « le

formel et visionnaire à représenter le bouleversement que fut la Révolution d’Octobre et plus largement l’histoire de la Russie. Il a utilisé les modes de perception du spectateur comme un champ d’expériences inédites dans des chefs d’œuvre comme Le Cuirassé Potemkine (1925), Octobre (1927), Alexandre Nevsky (1937) ou Ivan le Terrible (1945). Ciné-Mix par Jeff Mills CREATION POUR LE FILM DE SERGUEÏ M. EISENSTEIN OCTOBRE (OCTJABRE) Mercredi 15 décembre à 21h En ouverture de la rétrospective Sergueï

professeur de maths se changeaient en affreuses griffes pointues et qu’il grandissait. Terrifiée, j’observais d’immenses ailes qui lui poussaient dans le dos jaillissant entre ses omoplates tandis qu’il grandissait d’au moins trente centimètres et qu’une cuirasse noire et des écailles apparaissaient sur sa peau devenue chitineuse. Lorsque des cornes lui poussèrent sur le haut du crane et que ses yeux virèrent au rouge vif, je me frottai les yeux persuadée de faire un mauvais rêve. Heureusement je revins vite

bourgeoise. Proche des Bolcheviks, il s’engage dans l’Armée rouge en 1918 ; c’est là qu’il découvre le théâtre, avant de se consacrer au cinéma dès 1924. En 1925, le comité pour la commémoration de la révolution de 1905 lui confie la réalisation du Cuirassé Potemkine. En 1927, dans Octobre, Eisenstein légitime la révolution bolchevique. À partir de 1929, bien que parfois en désaccord avec Staline, il réalise à sa demande Alexandre Newsky (1938) et Ivan le Terrible (1945). Le père d'Eisenstein, Mikhaïl