Critique De La Théorie Keynésienne

conclusions et avancées, ainsi que les prolongements effectués ou à envisager. Slide 3 : La question de la monnaie La littérature actuelle utilise souvent la théorie des Nouveaux Keynésiens. Pourtant, le rôle de la monnaie sur l’économie n’y est généralement pas approfondi. Il existe certes de nombreux articles abordant cette problématique, avec cette théorie, mais la plupart concluent que la monnaie n’a pas, ou très peu, de rôle dans les dynamiques économiques. Slide 4 : Monétarisme (Friedman, Brunner, Meltzer

est basée sur la problématique de l’équilibre général, problème au fondement de la théorie néoclassique. La théorie néoclassique est une théorie micro-économique adoptant sur le plan de la méthode le principe de l’individualisme méthodologique. Le courant néoclassique est un courant dont le pouvoir explicatif est relativement important, il n’avait pas de courant « concurrent » jusqu'à la révolution Keynésienne. En s’appuyant sur l’analyse des cause de la crise de 1929, l’économiste anglais

suivre, susceptibles de les mener à la prospérité économique. Alors, quelles sont concrètement leurs idées ? Nous suivrons tout d’abord le cheminement de la pensée Marxiste puis nous aborderons les théories Keynésiennes. Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, Karl Marx, dresse une critique virulente du capitalisme,  notamment dans son œuvre Le Capital, publiée en 1867. Il prône l’avènement du mon ouvrier (le prolétariat) et la chute des capitalistes (le patronat) en vue d’une société communiste

facteurs de production. W et ∏ sont les éléments constitutifs du revenu. C et I sont les éléments de dépense. !!La production crée de la richesse qui apporte des revenus qui sont fait pour être dépensé. Circuit 2 : Circuit monétaire (flux) ou keynésien Dès qu’il y a une anticipation en économie, on retrouve la monnaie. La monnaie est crée par la banque par l’ouverture de crédits. La consommation finale est la consommation des ménages. La Banque est une institution créatrice de la monnaie. I brut

Retentissement
 considérable.
 1920
 1937
 Enrichissement
 à
 la
 Bourse
 =
 se
 consacre
 aux
 écrits
 et
 à
 sa
 carrière
 diplomatique.
 1929
Participation
à
la
commission
d’enquête
sur
les
finances
et
l’industrie
 1030
Traité
sur
la
monnaie
 1936
Théorie
générale
de
l’emploi,
de
l’intérêt
et
de
la
monnaie.
 Dirige
l’une
des
3
commissions
de
la
conférence
de
Bretton
Woods

 Proposition
 alternative
 au
 Plan
 White
 comportant
 la
 création
 d’une
 banque
 de
 compensation
internationale
et
une
monnaie
internationale

pour souligner les valeurs ente les valeurs d'usage et les valeur d'echanges. L'optimum est le stade d'eficacite maximale possible grace au systeme de prix John M Keynes publie “ Theorie generale de l'emploi, de l'interet et de la monaie” en 1936 durant la crise economique marque le debut de la revolution Keynesienne. Plusieurs apports decisifs: La monaie n'est pas neutre le futur reste oujours incertain les agregats sont une macroquantite qui caracterisse une economie l'inteventionisme permet

Smith) ou l'interprétation marxiste. C'est donc dans ce contexte gravement troublé que Keynes apporte une vision médiane basée sur des fondements macro-économiques (à l'échelle nationale). Face à la durée de cette crise, la politique économique keynésienne est laissée de côté. Cependant, elle a connu un retour en grâce après la seconde guerre mondiale. Il est donc temps d'exposer dans les grandes lignes qu'elle était sa thèse. Selon Keynes, le constat du chômage admet un diagnostic nouveau : le chômage

Ressources » : * Y = Revenu (richesse produite) * C = Consommation * I = Investissement * G = Dépenses publiques Y = C + I + G Théories et modèles macroéconomiques * Modèle Keynésien : aucune confiance dans les mécanismes du marché pour restaurer l’équilibre (intervention de l’Etat…) * Modèle Néo-classique : théorie de la  « main invisible » de Smith, c'est-à-dire une confiance totale dans les mécanismes des marchés, aucune intervention de l’Etat ni d’aucun agents

Les limites de la théorie néo-classique A. La critique keynésienne de l’analyse néoclassique du marché du travail 1. Les relations salaires emploi : • La baisse des salaires ne réduit pas le chômage au niveau macroéconomique : - En provoquant une diminution de la demande effective( l'agrégation des anticipations sur les ventes futures, qui détermine le niveau de production reel) autrement dit de la demande production prévue par les chefs d’entreprises lorsqu’ils décident de

pensée keynésienne innove tout particulièrement, en ce qui concerne la la méthode de l'analyse économique, par son caractère général (opposé aux facilités des équilibres partiels), son emploi des quantités globales (opposé au point de vue micro-économique), son insistance sur certaines variables privilégiées (investissement, taux de l'intérêt). Enfin, c'est surtout dans le domaine de la politique économique que l'on peut parler de «révolution keynésienne ».