Créateurs de Beauté

début du XXe siècle, nait une obsession de la beauté. Non seulement dans les sociétés européennes et américaines, mais aussi en Chine et en Inde. Cette obsession se manifeste moins dans l'art que dans les comportements individuels (soins corporels, sport, chirurgie esthétique). On peut alors parler d'une esthétisation de la vie ancrée dans la consommation de masse. La beauté, qui était chose rare, fait l'objet d'une industrie.[2] Cette beauté se définit sur des critères spécifiques, reposant

poète peut-il être dissocié de l'homme réel ? Est-il différent des autres hommes ? Leur est-il supérieur ? Et en quoi leur est-il semblable ? Après avoir vu que le poète est un être humain semblable à ses congénères, nous montrerons que son statut de créateur l'éloigne cependant du commun des mortels. I. Le poète est semblable aux autres hommes 1. Un homme ordinaire, physiquement et affectivement Le poète est impliqué dans le quotidien, comme l'homme ordinaire ; il vit les joies et les difficultés

qui n'existait pas encore ; création : terme proche d'invention. - Activité artistique : faculté de produire un effet dans le domaine de l'art, c'est-à-dire de la production de la beauté par les oeuvres d'un être conscient. Sens du sujet Pour quelle raison utilise-t-on, en ce qui concerne la production de la beauté par les oeuvres d'un être conscient, un terme proche de la notion d'invention ? Problème Dans la mesure où l'on considère fréquemment l'activité artistique comme une reproduction

un objet fabriqué par l'être humain. Traditionnelement la création artistique s'appuie sur le savoir faire et le métier propre à l'artisanat mais en même temps l'idée d'oeuvre implique qu'on a affaire à un objet unique qui est revendiqué par son créateur comme étant l'une de ses créations originales. Enfin l'oeuvre d'art relève d'un ou de plusieurs beaux-arts et elle a pour fonction d'être belle. Cependant la fonction esthétique de l'oeuvre d'art n'est pas simplement une fonction décorative, elle

difficile, et varie selon les époques, au point que chaque siècle peut lui trouver une fonction et une expression différente aussi d'un poète à l'autre. Le mot « poésie » vient du grec ποιεῖν (poiein) qui signifie « faire, créer » : le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives, ce que révèlent aussi les termes du Moyen Âge, comme trouvère et troubadour. Le poète, héritier d'une longue tradition orale, privilégie la musicalité et le rythme, d'où, dans la plupart des textes poétiques,

La Joconde, le sourire est léger. Le jeu des ombres accentue l'ambiguïté que produit le sourire. Cette femme semble aussi nous regarder droit dans les yeux, elle hypnotise ses admirateurs, ses consommateurs. Comme le portrait de Mona Lisa, le créateur a ombré les coins de la bouche et les yeux, afin que la nature exacte du sourire ne puisse être déterminé.Les bras la ne sont pas croisé, dans une mains elle tient la part de pizzza que ont remarque très facilement. Cette femme parait aussi avoir

n'ont aucune fonction dans la société (ce qui les soustrait à la consommation et à l'usure). Les œuvres d'art existent pour le monde, c'est-à-dire qu'elles sont destinées à survivre aux générations. Un peintre pense en peignant : L'artiste est un créateur libre. En effet, contrairement à l'artisan il ne se contente pas d'appliquer des règles apprises au près d'un maitre. Le véritable génie artistique est capable d'improvisation, improviser c'est faire sans savoir à l'avance. Dans Amadeus de Milos

religion. Il y rappelle aussi le souvenir de son voyage en Amérique et de la découverte des chutes du Niagara. Dans l’extrait que nous étudions, nous pouvons nous demander comment, grâce à l’usage d’une prose poétique Chateaubriand parvient à rendre la beauté d’un paysage romantique. Nous verrons dans une première partie que ce passage est une description en prose poétique et nous étudierons dans une seconde l’originalité de cette description à la sensibilité romantique. I/1) une description Il s’agit

Les deux, se touchent. Le point de contact est le centre de la composition, se détachant sur un ciel clair. L’artiste donne vie à son idéal esthétique, réalisation de corps parfaits, proportionnés, athlétiques et majestueux dans lequel il reflète la beauté de la divinité. B – Composition de l’Œuvre (joindre photo de la Création d’Adam) La voûte de la chapelle Sixtine a tellement imprégnée la mémoire visuelle de la culture occidentale avec des icônes symboliques, qu’il est difficile de l’observer

nature comme étant par définition laide. Condamné et censuré à sa sortie, trop choquant pour la morale bourgeoise. Il y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel.  Tentative désespérée d’extraire la beauté de la souffrance, du pêché. - mal social (être déchu) - mal moral (goût pour le crime et le sadisme) - mal physique - mal métaphysique (âme angoissée car il ne croit pas en Dieu) 1. Spleen & idéal : le poète