Couvent

affirmer que ses esprits sont touchés mais que cela est passager. Marguerite, elle, se fait toute petite. Un soir, la comtesse avale un flacon de belladone. Le lendemain, le comte annonce à sa fille que sa mère va les quitter pour se rendre au couvent des Dunes où des moines prendront soin d’elle pendant six mois au moins. Marguerite espère recevoir un peu de réconfort de son père mais à cet instant il prononce une phrase très dure : «Qu’ai-je fait au Bon Dieu pour avoir dans ma vie une créature

début du chapitre 6. Il parle d’Emma lorsqu’elle était au couvent. Flaubert fait un retour en arrière pour trouver l’origine du problème d’Emma. Cette analyse montre l’aveuglement de celle-ci, sa rêverie et son incapacité à accepter la vie telle qu’elle est. Le passage à analyser peut se diviser en trois parties. * une première partie, des lignes 1à17 : « Il y avait … sa besogne. », qui nous présente le rôle de la vieille fille au couvent. Dans ce passage, Flaubert nous montre ce que cette dame

I.B/ Le temps de l'enfermement au couvent, se révèle pour Jeanne une manière d'ingénuitée. En effet, la perception d'un monde vivant, beau et heureux peut avoir une vision un peu naïve de la réalité, exprimée à travers l'isotopie de la vitalité, "écloses", "ensoleillé", "verte", "flambaient", "saignaient", "rayonnaient", "vie", "frétillaient" et "fécondants" et à travers l'omniprésence des couleurs, "poésie verte","pissenlits" représenté en jaune, "coquelicot" exprimé en rouge, "papillons jaunes"

baron * Dame Pluche, sa gouvernante * Rosette, sœur de lait de Camille Résumé de l’œuvre On ne badine pas avec l’amour : La pièce se déroule au XVIe siècle, elle a pour principaux personnages une jeune orpheline, Camille, qui sort du couvent, et son cousin Perdican, fraîchement diplômé de l'université. Perdican aime Camille, mais tous deux sont trop hautains pour s’avouer leurs sentiments. Pour pousser Camille à se révéler, Perdican décide de séduire Rosette, la sœur de lait de Camille

échangeant quelques mots avec la jeune servante, Jean Valjean reconnaît la fille de Fantine et l'aide à porter le seau jusqu'à l'auberge. Il lui fait cadeau de la poupée tant admirée, indemnise les affreux aubergistes et emmène Cosette avec lui. Le couvent Jean Valjean et Cosette se rendent à Paris où l'ancien forçat loue une maison vétuste et isolée, la masure Gorbeau. Il s'y installe avec la jeune fille qu'il protège d'un amour paternel. Quant à Cosette, elle a retrouvé sa gaieté et son insouciance

conception du mariage de l’époque par le personnage d’Arnolphe, qui est odieux, misogyne et qui a peur que sa future épouse le fasse cocu. Il en devient même obsédé parcette idée. Il choisit donc une jeune fille sotte, inculte puisqu’elle sort d’un couvent où elle a été élevée. Elle ne connaît donc rien de la vie, comme le souhaite Arnolphe, qui veut la modeler selonses envies, pour mieux la dominer. Nous allons nous intéresser à la scène 2 de l’acte 3 de l’école des femmes qui jette un regard critique

1, le réquisitoire contre l hypocrisie : A une critique du couvent -blâme dela vie au couvent mis en place avec le champ lexical de la religion « nonnes » « divin » « ciel » et « couvent » qui vont etre associé à la vision d’une prison ou d’un refuge pour les femmes ayant subi une souffrance amoureuse. -l’éducation donnée au couvent est caractérise par le champ lexical de la manipulation avec « le mensonge de l’amour divin » , « fait la leçon », « réçits hideux » , camille a été manipulée mentalement

l'aspect incipit de cette lettre, avant d'expliquer ce que ce texte nous apprend sur Cécile, jeune fille du XVIIIème siècle. I/Incipit (introduction à certains personnages capitaux, mise en place du style) 1)Mise en contexte de Cécile ->Sortie du couvent, qu'elle semble regretter (« je n'ai pas ma Sophie », « la mère Perpétue »...) elle a perdu ses amies en rentrant chez elles ->Affection pour Sophie (« Ma Sophie », « ma bonne amie ») elle souhaiterait l'avoir à ses côtés ->Maman souvent répété :

et s’oppose à une politique tolérante comme dans l’ordre des Jésuites, il s’oppose également aux longueurs et à l’ampleur démesurée de certaines cérémonies religieuses. Ci-dessus, représentation du couvent de Port Royal Dès 1640 la branche spirituelle du catholicisme s’installe au couvent de Port-Royal des Champs près de Paris. De nombreux magistrats, nobles et savants rejoignent alors le mouvement. L’ordre des Jésuites ainsi que le pouvoir royal est hostile au jansénisme, en effet pour

d'énonciation. Genre narratif épistolaire qui permet le réalisme et l'intimité.registre réaliste avec:Champ lexical du quotidien domestique: Femme de chambrel:2 , Secrétaire l:3 , langage spécifique:présence de la religion ; répétition du mot couvent l:8/34activités d'une noble : l:8 harpe, lecture, dessin, /se coiffer, se faire belle= activités futiles..l:5 Eléménts qui contribuent au réalisme et facilitent la compréhension ou l'identification pour la lectrice du 18e... (conclusion paragraphe)