Couvent des Feuillants

vient de sortir du couvent, elle vient vivre avec sa |Cécile de |Sophie |« … j’ai ma harpe, mon dessin et des livres comme au | | | |Château de |mère (dans son château). Même si personne ne le lui a dit clairement, elle sait|Volanges |Carnay |couvent » | | | |Mme de |qu’elle est sortie du couvent car elle va bientôt

des paroi,ses, et les chefH fln étaipnt margnilliprs. - 18- ou avec les romans de Diderot, dépouillaient leur creur de ton tes les croyances naYves et se faisaient philosophes pour se grandir; elles rejetaient comme un préjugé l'éducation des couvents; les jeunes filies aspiraient au role de la Julfe de Rousseau ou aux males dévouements des femmes de Sparte et de Lacédémone. Ces éducations se retrouvent a l'aurore de la Révolution frall(;aise dans les femmes qui se donnérent un róle; on ne pl'atiquait

indépendants. A droite, il y a les feuillants, La Fayette dirige cette tendance, c'est un parti constitutionnel, autrement dit, un parti très attaché au respect de la constitution et donc au respect des pouvoirs du roi. A gauche, les jacobins, sont attachés à la centralisation, sont appelés ainsi car ont pris l'habitude de se réunir au couvent des jacobins. Ils regroupent 200 députés environ, parti qui va se scinder, une partie quitte le club des jacobins pour rejoindre les feuillants. Parmi les députés restants

l’apparition d’une vie politique avec notamment la création de club, le plus connu c’est le club des jacobins, tout simplement par référence au lieu auquel il se réunit. L’assemblée supprime les ordres religieux, les couvents sont vides. Et on récupère les lieux et les jacobins portent le nom du couvent ou ils se réunissent. C’est aussi la période où apparaissent les tendances politiques, le 28 aout 1789 le clivage gauche droit voit le jour. Il y a des débats sur la constitution et si le roi à le pouvoir de

pompons ne prennent pas tout mon temps; il m'en restera toujours pour toi. J'ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble; et je crois que la superbe Tanville [Pensionnaire du même Couvent] aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu'elle n'a cru nous en faire toutes les fois qu'elle est venue nous voir in fiocchi . Maman m'a consultée sur tout; elle me traite beaucoup moins en pensionnaire que par le

pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m'en restera toujours pour toi. J'ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble ; et je crois que la superbe Tanville [Pensionnaire du même Couvent] aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu'elle n'a cru nous en faire toutes les fois qu'elle est venue nous voir in fiocchi . Maman m'a consultée sur tout ; elle me traite beaucoup moins en pensionnaire que par

Entommeures — en ajoutant à la nature. Mais, s'il est vrai que Frère Buinart se fâcha de la peinture, c'est qu'il est simple d'esprit, ou qu'il en juge par ouïdire et sur l'avis des malveillants. Rabelais, au sortir de Seuilly, entre comme novice dans le couvent de la Baumette, fondé par le roi René d'Anjou. Il y rencontre le jeune rejeton d'une vieille souche tourangelle, Geoffroy d'Estissac, qui devint évêque de Maillezais à vingt-trois ans, et deux des frères du Bellay, dont l'un est évêque et l'autre

s’est installée dans un ancien couvent qui a pour nom les jacobins. Ce club est ouvert à tous les députés, ouvert aussi à ceux qui peuvent payer un équivalent à 25 livres (soit un mois de travail d’un ouvrier qualifié). Ouvert aux patriotes aisés, aux bourgeois. Importante ramification en Province. Club élitiste qui a vocation à s’adresser à la province. (Plutôt droite) « La société des DHC » : est créé par Danton en juillet 1790. S’est installé dans l’ancien couvent des cordeliers. On l’appelle donc

pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m'en restera toujours pour toi. J'ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble ; et je crois que la superbe Tanville [Pensionnaire du même Couvent] aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu'elle n'a cru nous en faire toutes les fois qu'elle est venue nous voir in fiocchi . Maman m'a consultée sur tout ; elle me traite beaucoup moins en pensionnaire que par

du clergé dans les cahiers de doléance. Ils reprochaient le relâchement de ses mœurs. C'était vrai pour le monde du clergé régulier, ceux qui vivent selon les règles dans les monastères et les couvents. Relâchement avait conduit à une première mesure prise en février 1790. C'était la fermeture des couvents et monastères, la dissolution des congrégations, la constituante expliquant qu'elle ne reconnaissait pas les vœux monastiques perpétuels. Elle appliquera cette philosophie au mariage puisqu'il