Couteau de combat

jumelle Téléphone portable d'Hermile Lebel 5 Ce qui est là Aube. Forêt. Rochers. Arbres Nawal, Wahab. "Maintenant que nous sommes ensemble, ça va mieux" blancs. 6 Carnage Maison de Nawal Nawal (14 ans), Jihane 7 Un couteau planté dans Une chambre Nawal (15 ans) "L'enfance est un couteau que l'on vient de me planter dans la gorge". la gorge Nazira. Voix de Wahab Accouchement de Nawal. Le nez de clown dans les langes 8 Promesse Nuit Elhame, l'enfant. "Quoi qu'il arrive, je t'aimerai toujours". Nazira

partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme! Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. Montez de la mine, descendez des collines, camarades, Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades; Ohé franc tueurs, à la balle et au couteau tuez vite! Ohé saboteur, attention à ton fardeau, dynamite! C'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères, La haine à nos trousses, et la faim qui nous pousse, la misère. Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves

bombarde les plaines. « Les corbeaux » sont les oiseaux qui mangent les cadavres (au sens propre). Des vers 14 au vers 19, on peut identifier le champ lexical des armes : « fusils », « mitraille », « grenades », « balle » et « couteau ». Ce champ lexical traduit le combat, la révolution qui est nécessaire. Des vers 33 à35, on identifie une anaphore du mot « nous » (répétition, insistance) et une antithèse (=rapprochement de deux mots ou expressions pour mieux faire ressortir le contraste), pays

ouvriers et paysans, c'est l'alarme! Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. Montez de la mine, descendez des collines, camarades, Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades; Ohé Francs tireurs, à la balle et au couteau tirez vite! Ohé saboteur, attention à ton fardeau dynamite! C'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères, La haine à nos trousses, et la faim qui nous pousse, la misère. Il est des pays où les gens aux creux des lits font des

Taref), en Algérie, et mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin, dans l'Yonne, est un écrivain, philosophe,romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français. Il fut aussi un journaliste militant engagé dans la Résistance française et dans les combats moraux de l'après-guerre. L'œuvre de Camus comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurdité de la condition humaine mais

il a dit que les poètes arabes apprennent à leur école « comment le mot acquiert la forme du couteau ». Ces prisonniers, ces déracinés qui ont pour nom Samih El QACEM, Moïn BACHICHOU, Fadoua TOUQAN, Haroun HACHEM RACHID, Taoufik EZZAYED ont appris, à l’exemple de leur frère, le défunt Mahmoud DARWISH, à creuser de leurs plumes « un sentier pour le jour ». C’est pour cette raison que la violence du combat s’allie dans leur poésie à la lumière de la foi, et c’est cette fusion du soleil et du sang qui

troupes combattantes en décembre 1914 au 231e régiment d'infanterie avec lequel il participe aux combats en premières lignes jusqu'en 19163. La postérité se souviendra surtout du roman qu'il écrivit sur cette expérience Le Feu, prix Goncourt 1916, récit sur la Première Guerre mondiale dont le réalisme souleva les protestations du public de l'arrière autant que l'enthousiasme de ses camarades de combat. En 1917, il sera cofondateur et premier président de l'Association républicaine des anciens combattants

arrive au dernier moment, sous ce gros rocher il y avait un magnifique couteau que je pris très rapidement car je n'avais pas le temps de l'admirer. Je courus combattre ce gros taureau et lui sautai dessus en lui plantant mon couteau dans la tête mais il était encore vivant alors je pris le couteau qui était sous le rocher, lui plantai dans la tête alors qu'il me fonçait droit dessus et comme s'il y avait du poison dans le couteau, le taureau s'écroula par terre. J'allais ensuite délivrer cette dame

plus souvent son image dansait», il ne distingue pas bien son adversaire a cause du soleil Ligne 26 « Peut être a cause des ombres sur son visage, il avait l'air de rire » la chaleur et et l’éclairage altère sa vision Ligne 40 « L'arabe a tiré son couteau qu'il m'a présenté dans le soleil » l'arabe est le premier a dégainer Ligne 58 « La gâchette a cédé » Sous l'effet de la chaleur sa main n'a pas tenu, le coup part tout seul, sans aucune volonté. 2-La progression dramatique du récit La progression

maîtresse de Raymond. Ces alors que les deux groupes se battent, un combat où Raymond prit un coup de couteau. Les deux groupes préfèrent en rester là et les trois hommes rejoignent le cabanon. Un peu plus tard Meursault s'en va seul sur la plage muni du revolver de Raymond, un revolver qu'il avait prit à ce dernier pour l'empêcher de tuer l'un des arabes. Meursault rencontra alors par hasard le frère, qui à la vue du héros sort son couteau. Meursault tire alors un coup de revolver qui tue le frère mais