Couteau de combat

et l’élévage. Le commerce de la boisso « Tchapalo » est le dompaine de la femme Lobi. Soulignons aussi que c’est un peuple très courageux. Les hommes sont des guerriers et portent encore un arc en bandoulière et un couteau à la taille et n’hésitent pas à livrer combat pour les vétilles. II- Le Taupes Le « Taupe » danse traditionnelle en pays lobi, se pratique aussi bien en moment de réjouissance qu’à l’ occasion des funérailles et des adorations de fétiches. Dans le cadre de

magnifié par la charge poétique des images, d'une âpreté de circonstance. En résulte un réquisitoire tout aussi puissant contre la guerre, s'appuyant sur des silences éloquents et cette phrase charnière de l'oeuvre de Mouawad: «L'enfance est un couteau planté dans la gorge. On ne le retire pas facilement.» Le fil de violence doit être rompu, pour que la violence n'engendre plus la violence. Le ton général d'Incendies, le film, est plus sombre que celui de la pièce, allégée par le personnage,

mondiale. Il est élevé par sa mère et sa grand mère Grâce a son instituteur il rentre au lycée et poursuit ses études, tout en travaillant dans l’administration. Il devient par la suite journaliste et rédacteur en chef dans son propre journal « Le combat » qu'il fonda durant la 2nd guerre mondiale, et lance par la suite un appel a la révolte contre l'occupation allemande. Il est très touché voir traumatisé par les pertes humaines de la 2nd guerre mondiale et publie un éditorial le 8 aout 1945, intitulé

populaire. En 1940, le journal est interdit par le gouvernement collaborateur d’Algérie. Albert Camus part alors pour Paris où il est engagé à Paris-Soir. Ecrivain engagé sous l’Occupation nazie, il milite à partir de 1942 et publie des articles dans Combats, un journal de la Résistance. Cette année-là il publie l'Etranger et le Mythe de Sisyphe chez Gallimard. Ces deux livres enthousiasment les jeunes lecteurs et valent à Albert Camus d'accéder à la notoriété. En 1944 il fait la rencontre de Jean-Paul

(1898-1979), écrivain français et journaliste, un des premiers grands reporters, académicien) et par son neveu Maurice Druon (1918-2009), écrivain et académicien, auteur des Rois maudits, ancien ministre des Affaires culturelles). C’est un chant de combat, un appel intemporel à résister, mais aussi un hymne à la fraternité et à l’espoir. C’est un appel à la lutte pour la Liberté qui galvanisera tous les Peuples opprimés auxquels il s’adresse. Le texte, le poids des mots, et la musique ont la même importance

recherchant juste à se défouler, aime particulièrement le sentiment de peur peu avant les affrontements, et l’adrénaline que produit ces affrontements. Certaine hooligans avouent ne pas suivre du tout le football, que ce sport n’est qu’un alibi amenant ces combats. Pourtant il semble qu’auparavant les haines étaient réelles entre les hooligans supportant des équipes différentes, tandis que désormais cela ressemble davantage à une partie de plaisir, les cas de meurtre sont beaucoup moins fréquents et les incidents

arrêté à l’âge de 10 mais la souffrance demeurait. En effet, sa mère savait pour la maltraitance de sa fille mais elle n’a jamais rien dit. Sans doute parce qu’elle avait peur des représailles de son mari. A partir de cet instant, elle se lança dans le combat des violences contre les jeunes filles et les femmes. Malheureusement, une fois entrée au collège, elle devint alcoolique et écrit sa première thèse sur le suicide tout en se bagarrant dans les bars et ayant des relations avec hommes et femmes. A

chars, d’avions de chasse, des mitrailleuses…). La grande production d’arme étant équivalente au nombre de soldats engagés cela entraine beaucoup plus de morts. Comme le montre l’exemple à la ligne 2 :« Je revendique alors l’honneur de toucher un couteau à cran » ou encore l’exemple ligne 24 : « J’ai tué le Boche » ces deux exemples soulignent la motivation de guerre dont faisait preuve l’Etat envers les soldats. Cette guerre mondiale compte beaucoup pour les soldats qui partent à la guerre pour protéger

puisqu'elle trouble la vision de Meursault : Verbe employés montrent le trouble « je devinais son regard » l.1 + « son image dansait » l.18 + « mes yeux étaient aveuglés » l.35. La luminosité est source de confusion elle conduit à la métamorphose du couteau en épée (= glaire ) l.36 + fait croire à Meursault qu'il est agressé → Comparaison l.33 « c'était comme une longue lame ». - La chaleur également conduit au meurtre : On peut relever des personnifications → « toute cette chaleur s'appuyait sur

Elle demande à Tony d’empêcher le combat. Il promet. Tony, Maria, Anita, Bernardo (et les Sharks), et Riff (et les Jets), tous évoquent chacun de leur côté les événements de cette nuit (Tonight Quintet). Tony arrive et essaye d’arrêter la bagarre qui a déjà commencé. Mais Bernardo raille Tony, ridiculise sa tentative de faire la paix et le provoque de toutes les manières alors que Tony conserve son calme. Au milieu de la bagarre, Riff et Bernardo se battent au couteau. Tony conjure Riff de s’écarter