Courbe plane

euros. Les contraintes matérielles imposent que 0⩽x⩽120 et 0⩽y⩽100. La figure 1 donnée en annexe représente la surface S d'équation z=f⁡xy. La figure 2 donnée en annexe représente la projection orthogonale de la surface S sur le plan xOy, les courbes de niveau de cette surface étant représentées pour z variant de 10 en 10. 1. 1. Les points A2040zA et B60yB60 sont des points de la surface S. Déterminer pour chacun la coordonnée manquante.

prix d’une obligation : Nous pouvons développer cette équation en posant, dans notre cas :   ic = 10,681% Le taux zéro coupon de cette obligation équivaut donc à 10,681% Il est ensuite intéressant de construire la courbe des taux zéros coupons. Des extrapolations de la courbe se font pour les maturités n’existant pas sur le marché. Par exemple, ic1,25 = 0,5*1+0,5*1,5. Les taux forwards = taux d’emprunt/placement pour des périodes futures. = taux futur observable afin qu’un placement d’une

Courbe de Phillips Cette courbe traduisant la relation entre l’inflation et le chômage appelée courbe de Phillips se retrouve dans tous les pays industrialisés, elle sera utilisée comme base des politiques économiques dans la plupart des pays occidentaux jusqu’au milieu des années 1970. Elle met en évidence le fait qu’on ne peut combattre l’inflation et le chômage en même temps. On constate donc grâce à la courbe de Phillips qu’un très faible taux de chômage

Etats-Unis en indiquant notamment pour chaque pays les quantités maximales de bien 1 et 2 pouvant être produites (extrémités de la droite des possibilités de production) et les quantités de bien 1 et 2 produites et consommées en autarcie. Tracer la courbe d'indifférence tangente à la droite des possibilités de production en autarcie et indiquer son équation sur le graphique dans l'encadré réservé à cet effet : Compléter les encadrés dans la phrase suivante (1 point) : En situation d'autarcie, la

choisi par le consommateur se trouve rapidement en dessinant sa droite budgétaire et en représentant ses 'courbes d'indifférence' (qui sont dans ce cas des droites). Dans le cas particulier où les courbes d'indifférence et la droite budgétaire ont la même pente, tout point de cette dernière maximise l'utilité de l'individu sous la contrainte budgétaire. Dans le cas plus général où les courbes d'indifférence et droite de budget n'ont pas la même pente, on obtient ce que l'on appelle une solution en

cardinale * 1.1.2 Utilité ordinale * 1.1.2.1 Préférences * 1.1.2.2 Courbe d'indifférence * 1.1.2.3 Taux marginal de substitution * 1.1.2.4 Fonction d'utilité * 1.1.3 Contrainte budgétaire * 1.1.4 Équilibre du consommateur * 2 Fonctions de demande * 2.1 Élasticité de la demande par rapport au prix ou au revenu * 2.2 Courbe de consommation revenu * 3 Effets des variations de prix * 4 Théorie hédoniste du consommateur

plus pour l’obtenir. Tous ces critères semblent acceptables mais il faudrait que l’écart entre les nombres ait une signification opérationnelle. Pour construire une fonction d’utilité, nous disposons d’une méthode pour associer les valeurs aux courbes d’indifférence, du moins quand les préférences sont monotones. Cette méthode n’est pas toujours la plus naturelle mais elle a en tout cas le mérite de montrer que le concept d’utilité ordinale est très général : presque tous les types de préférence

stationnaire. 1. Revue de littérature : 1.1. Travaux théoriques Du point de vue théorique, la prévision de la dynamique de l’inflation se fait le plus souvent à l’aide des courbes de Phillips, néo-keynésiennes. L’inflation y est représentée comme un phénomène totalement tourné vers le futur. Les nouvelles courbes de Phillips Keynésiennes, présentant l'inflation actuelle comme une fonction linéaire de l'inflation anticipée et de l'écart de production, sont les plus utilisées dans les approches

passifs et solution LDI retenue........................................................ 54 2.3.1. Etude de cas et retraitement des passifs .................................................................................................... 54 2.3.2. Courbe des taux zéro-coupon et valorisation « marked to market » des passifs ....................................... 56 2.3.3. Notre solution LDI retenue en pratique .......................................................................................

3. Les trois concepts d'équité 6.4. De la théorie à la pratique 6.5. Enseignements et limites du modèle Chapitre 7 Les effets économiques des impôts 7.1. Le choix entre travail et loisirs 7.2. Le choix entre consommation et épargne 7.3. La courbe de Laffer Semestre d'automne Chapitre 8 Les impôts sur les activités économiques 8.1. L'impôt sur le bénéfice des sociétés 8.2. La TVA 8.3. Les impôts sur les ventes sont-ils équitables? Chapitre 9 Le critère de neutralité 9.1. Exposition